Bienvenue, Stijn!
Notre collègue Maya attend son deuxième enfant, une petite fille, pour le début du mois de juin. C'est pourquoi elle reçoit déjà le renfort de Stijn en matière de communication. Au cours de ses premières semaines, Stijn a dû se lancer à corps perdu dans notre deuxième débat électoral. Nous sommes heureux de vous le présenter !
Que feras-tu au BRAL ?
En tant que remplaçant temporaire de Maya, je m'occuperai des communications externes du BRAL aussi bien et précisément que possible. Mes tâches se concentreront principalement sur la gestion du site web, la rédaction des bulletins d'information, la maintenance des canaux de médias sociaux et l'édition des différentes publications du BRAL.
Quelle est ton histoire ?
J'ai étudié la communication marketing et le journalisme, puis j'ai travaillé pour une entreprise de content marketing où j'étais responsable de l'ensemble du cycle de production digitale.
En 2021, j'ai décidé de changer de voie. J'ai choisi de reprendre mes études et de suivre un master en études sur "Conflict and Development" dans le but d'élargir mes connaissances et d'apporter un bagage supplémentaire dans ma recherche d'un emploi plus intéressant.
Comment as-tu appris à connaître le BRAL ?
Je ne connaissais le BRAL que de nom, pour l'avoir entendu ici et là à Bruxelles. Ce n'est que lorsque j'ai cherché un emploi et que je suis tombé sur l'offre d'emploi que j'ai approfondi ma connaissance du BRAL. Cela m'a tellement intrigué que je n'ai pas hésité une seconde à poser ma candidature.
Quel est ton lien avec Bruxelles ?
J'ai grandi en périphérie, à Dilbeek, près de Neerpede. Depuis l'école secondaire, j'ai toujours suivi des cours à Bruxelles, y compris pendant mes études supérieures. J'ai toujours eu un faible pour la diversité de notre capitale et ses nombreux endroits fantastiques.
En même temps, la situation actuelle de Bruxelles peut susciter une certaine frustration. Cette ville est donc tout aussi stimulante. C'est pourquoi j'apprécie beaucoup que des organisations comme le BRAL travaillent à 100 % chaque jour pour éliminer ces frustrations.
Quel est votre moyen de transport préféré ?
J'hésite entre les transports en commun et le vélo. Je pense que, compte tenu de la pluviométrie moyenne en Belgique, je choisis quand même les transports en commun. Je trouve super pratique que l'on puisse aller partout à Bruxelles sans voiture. Ce que j'apprécie le plus, c'est de prendre le tram (en dehors des heures de pointe), car c'est à ce moment-là que l'on peut le mieux apprécier la vue sur notre ville.
En tant que ministre-président de Bruxelles, que ferais-tu d'abord ?
Interdire toutes les voitures dans le centre-ville. Même si vous rencontrerez des résistances, vous vous y habituerez au bout d'un moment et tout le monde sera plus heureux à la fin. Je suis également partisan de la gratuité des transports publics, de sorte que les fous de la voiture finissent par apprendre à apprécier le plaisir que procurent les trams.