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Le « Contrat de Quartier Athénée » [CDQA] est le 6e contrat de Quartier attribué par la Région de Bruxelles-Capitale à la Commune d'Ixelles. Doté d’un montant de 15 millions d’euro, il couvre le haut d'Ixelles pour une période allant de 2017 à 2020. Pendant ces quatre années, différents porteurs de projets socio-économiques se mobilisent pour renforcer l'identité du quartier, la cohésion sociale, la qualité de vie et le bien-être des usagers et des riverains. 

Créer un pôle dynamique, ouvert sur le quartier, autour de l'ancien Athénée ‘Rabelais’ en se penchant sur la question de l'urbanisme scolaire et des synergies entre l'école et son quartier est le premier objectif de ce contrat de quartier. 

La communauté africaine de Matonge regrette souvent que la composition sociologique du quartier ne soit pas mieux représentée dans les différents projets et dans les commissions. Les processus, bien que participatif, ne parviennent pas toujours à toucher les citoyens issus du continent africain. Cette conférence présentera à la communauté de ‘Matonge’ les actions développées dans le cadre du CDQA afin de se questionner sur le devenir de ce quartier autour de problématiques du vivre-ensemble, de la mobilité, de la place des jeunes, du développement social, économique, et culturel, etc. Elle vous présentera les différentes possibilités permettant aux habitants et usagers de Matonge de s’impliquer dans la réflexion, la conception et la mise en œuvre des actions. 
 

Depuis 5 ans, le Community Land Trust Bruxelles (CLTB) est reconnu par la Région Bruxelloise pour la production de logements sociaux acquisitifs. Le Community Land Trust Bruxelles propose, via une formule innovante, des logements abordables à des familles à faible revenu, tout en participant à l’amélioration des quartiers et du vivre ensemble.
Il est reconnu comme l’un des pionniers du modèle CLT en Europe.

Le CLTB peut déjà compter sur une assistante administrative à mi-temps, mais la gestion de nos membres exigeant un travail de back-office croissant, nous cherchons à renforcer notre équipe.

Fonction

En collaboration avec l’assistante administrative,
– vous vous chargez de la gestion administrative des inscriptions et des attributions de logements
– vous aidez à l’organisation des réunions et vous faites les PV
– vous êtes responsable pour l’accueil, et notamment de l’accueil téléphonique
– vous participer à la mise en place d’une nouvelle base de données
– vous aidez à l’actualisation des informations sur notre site et à la rédaction de notre newsletter
– vous êtes responsable de la gestion logistique des locaux et du matériel
– vous aidez à l’organisation d’activités

En collaboration avec la coordination,
– vous préparez les payements
– vous encodez les factures d’achat

Profil recherché

– vous possédez un diplôme et/ou une expérience pertinente ;
– vous avez une bonne connaissance du français et du néerlandais ;
– vous maîtrisez les logiciels nécessaires (MS Office, outils de publipostage, bases de données) ;
– vous aimez travailler en équipe ;
– vous êtes attentif/ve au respect des délais et vous êtes précis dans votre travail ;
– vous avez de bonnes  compétences sociales et vous sentez à l’aise dans l’accompagnement de publics aux origines très diverses et publics fragilisés;
– vous souscrivez aux objectifs sociaux de notre organisation et êtes motivé à mettre vos connaissances à son service ;

Nous offrons

–  un emploi à mi-temps de durée déterminé du 1er mars 2018 au 31 décembre 2018 avec possibilité de reconduction ;
– un emploi motivant  au sein d’une équipe enthousiaste, dans une organisation innovante sur le plan social ;
– un environnement de travail flexible et stimulant laissant une grande place à l’esprit d’entreprise et d’initiative ;
–  une rémunération en fonction du diplôme et de l’expérience, selon les barèmes de la Commission Paritaire 319.00.

Candidature

Envoyez votre CV  accompagné d’une lettre de motivation avant le 15 février 2018 par e-mail à Community Land Trust Brussel ASBL, à l’attention de Thibault Leroy, coordinateur thibault.leroy[a]cltb.be.
Pour des renseignements complémentaires envoyez un message à la même adresse ou téléphonez-nous au 02/840 61 49.

Vous trouverez de plus amples informations sur notre fonctionnement sur le site www.cltb.be.

Que penser du projet de nouvelle ligne de métro nord-sud ? Plus de transports en commun, on ne demanderait pas mieux, n’est-ce pas ? Évidemment, mais nous nous posons tout de même de nombreuses questions sur ce projet spécifique. Et nous ne sommes pas les seuls.

Nous avons donc étudié attentivement les arguments pour et contre et avons prêté l’oreille à ce qu’en disent des spécialistes, des citoyens et d’autres organisations. La présente synthèse fait le point sur cette quête. Nous aborderons ces questions, entre autres :

  • Un métro souterrain, plus de voitures au sous-sol ?
  • Qu'en est-il de l'espace public?
  • Le commerce local, serait-il suffisamment accessible? Et le commerce souterrain suffisamment divers?
  • Est-ce qu'un métro souterrain profond ralentirait ou accélérait un déplacement?
  • Attirerait le nouveau métro suffisamment d'utilisateurs? Quelles sont les conséquences quand il ne le ferait pas?
  • Quels sont les frais totals de ce projet? En qui les paierait? 
  • Quel est l'impact total du projet sur l'environnement?

Au BRAL, nous accordons une grande importance à votre avis (argumenté). Cette brochure peut vous aider à vous forger votre opinion. Vous pouvez la lire comme une liste de dix arguments susceptibles d’intervenir dans le débat. Réfléchissez-y tranquillement, mais surtout, cogitez par vous-même pour vous faire votre propre avis.

Avec cet « argumentaire », BRAL espère étayer et lancer le débat public sur le métro d’aujourd’hui et de demain à Bruxelles. Parce que même si la politique semble décidée, de nombreuses demandes de licence suivront.

Lors du premier atelier, nous réfléchirons aux manières de faire connaître Looper dans le quartier Helmet. Looper est un projet participatif qui a pour objectif de travailler sur les nuisances dues à la mobilité. Au-delà du processus participatif, le but est de trouver et mettre en place, avec tous les acteurs du quartier, une mesure concrète pour pallier le(s) problème(s) identifié(s). En savoir plus sur les principes du projets. 

Que faisons-nous dans le premier atelier?

  • Nous définissons le message que nous voulons communiquer dans le quartier . 
  • Nous identifions les réseaux qui existent dans le quartier et définissons qui nous voulons impliquer dans le projet . 
  • Nous développons des  flyers, posters et autres outils de communication pour parler du projet à ses voisin.e.s .

 

Un autre atelier suivra le 25 mars.

Dans le cadre de notre projet ‘Connecteurs’, nous vous invitons à un repas et un temps de réflexion partagée autour de Matongé.

Qu’est-ce que Matongé ? Quelles en sont les limites? Qui est-ce que ça représente ?

Programme en deux temps :
• 17h30-19h15 : Repas des connecteurs. Moment convivial d’échange et brève présentation du projet ‘’Connecteurs“. Un verre et une soupe vous seront offerts.

• 19h30-21h30 : Temps de réflexion partagée autour de Matongé, de ses ressources et de la reconnaissance culturelle. Dans le cadre d’une recherche-action-participative, nous aimerions réfléchir autour de ces trois questions avec vous.

Le projet „Connecteurs“ est entre autres une recherche-action-participative menée à Matongé.

Ce projet de recherche-action est né du constat qu’il existe des dénis de reconnaissance culturelle liés à la communauté subsaharienne à Matongé (frustrations et souffrances identitaires, discriminations en termes d’emploi, de logement et d’accès à la culture...).  Le projet « Connecteurs » vise à partir des ressources et atouts de Matongé et des personnes qui y habitent ou le fréquentent (compétences, savoir-faire, passions…) pour soutenir des initiatives citoyennes collectives.

La démarche dans laquelle s’inscrit ce projet de recherche-action-participative est la „co-création“, c’est-à-dire la volonté de co-produire des savoirs entre des citoyens, des associations, des chercheurs.

C’est dans ce cadre que nous vous invitons à poursuivre l’analyse entamée depuis mars 2017, dans le but de réfléchir ensemble autour de ces questions : Matongéses ressources et la reconnaissance culturelle.

Voici quelques exemples de questions que nous pourrions aborder, à compléter selon vos propositions et intérêts :

  • Qu’est-ce que Matongé ? Quelles en sont les limites ?  Qui est-ce que ça représente ? Y a-t-il un sentiment d’appartenance / d’identité lié au quartier ? Qu’est-ce qui a fait que Matongé soit Matongé ? Quelles sont ses ressources (du quartier et des personnes : « atouts », compétences, savoir-faire…)?  Quel avenir pour Matongé ? Quels sont les enjeux liés à Matongé ? Quelles sont vos rêves/envies pour Matongé ? …
  • Y a-t-il déjà un cadre institutionnel qui prend en compte/reconnaît les atouts/les ressources ? Est-ce que vous avez déjà participé à des projets ou initiatives lors desquelles les ressources de Matongé ou des personnes qui fréquentent/habitent Matongé ont été mobilisées/valorisées ? Comment pourrait-on soutenir des initiatives citoyennes sur base des ressources de Matongé ? …

 

Cette dynamique pourra continuer et évoluer selon les envies et choix du groupe.

  • Au plaisir de vous y retrouver,

Piet (BRAL), Kinch (BRAL) & Chloé (ULB)

Cet échange est organisé dans le cadre du projet CitizenDev, mené en partenariat par le BRAL vzw-asbl et la Faculté d’Architecture de l’ULB, soutenu par Innoviris (Institut Bruxellois de soutien à la recherche et l’innovation).

Les données AIR sont essentielles pour comprendre et combattre la pollution toxique dans nos villes. Grace à des initiatives comme Aircasting Brussels du BRAL ou www.influencair.be ... c'est à vous de participer à la récolte des connaissances et à utiliser leurs possibilités d'analyses!

Le 3 mars, du matin (présentations) au soir (workshops) rencontrez des porteurs de projet et leur savoir-faire, construisez votre capteur PM2.5/10 et rejoingez les citizen-scientists en mouvement, avec Civic Lab Brussels, BRAL et plein d'autres groupes citoyens actifs.

 

En savoir plus: https://www.eventbrite.co.uk/e/towards-clean-air-with-open-data-opendat…

 

Des ateliers pleins de voitures, des bricos, des grossistes, et beaucoup d’habitants. Quelle mixité donc, mais pour combien de temps encore ? Si d’emblée tout le monde semble d’accord sur l’idée de maintenir les activités économiques –Région, Port, habitants, commerçants… à y regarder de plus près les choses ne sont pas si simples.

Pourtant, c’est bien pour venir voir tout cela de plus près que nous étions une bonne soixantaine ce samedi 10/02 pour la visite-débat du quartier Masui. Et qu’y avons-nous vu ?

  • Que les habitants cohabitent volontiers avec les activités économiques, mais seulement si la mobilité/logistique des uns et des autres est améliorée. Et bien sûr aussi si on maintient le dialogue.
  • Que si transformer un entrepôts en logements voire bureaux est facile et rentable, l’inverse n’est pas du tout aussi vrai
  • Que Perspective Brussels s’occupe de planifier l’aménagement du quartier, mais pas de la mobilité qui reste la compétence de Bruxelles Mobilité
  • Que Citydev s’occupe de promouvoir l’économie à Bruxelles et est sur le point d’acheter un bel entrepôt rue Masui.

Bref, pour en savoir plus, suivez notre promenade du 10 février de près, lisez le compte-rendu complet ci-dessous.

Perpective Brussels organise jusqu’au vendredi une ‘Semaine de réflexion’ autour le ‘Plan d'Aménagement Directeur (PAD) Maximilien – Vergote’ Vous trouverez plus d’info sur entre autres le PAD dans le compte rendu et ici.  

Update: Ecoutez aussi le podcast!

Le mercredi 7 mars, la commission de concertation de la Ville de Bruxelles examinera les demandes de certificat de la phase I du projet Neo. Au programme : plus de 500 logements, du bureau, des espaces de loisir mais surtout le plus grand centre commercial de Belgique (72.000 m² !) et les 3.700 places de parking qu’il nécessite. Et cerise sur le gâteau, une liaison avec l'A12 à travers le parc de Laeken.

Le projet prend place à côté de l'Atomium. Est-ce pour cela qu’il témoigne d'une mentalité des années 1950 ? En effet, le projet est construit sur une gigantesque dalle de béton recouvrant plusieurs milliers de places de parking, connectées par des trémies à des liaisons vers l'autoroute. La structure sur dalle qui compense la déclivité du site n’est pas sans rappeler un autre «monstre sacré» du modernisme : la Cité administrative. Ville et Région ratent ainsi une opportunité de développer un projet  en phase avec les défis du XXIème siècle.

C’est pour cette raison mais aussi parce que ce projet ne répond à aucun besoin[1], qu’il sacrifie  la qualité de vie des quartiers pour un produit spéculatif et qu’il nuira gravement à la qualité de vie des riverains que l’UCM, l’Unizo, IEB, BBL, le BRAL, ACV-CSC et Beweging.net Halle-Vilvoorde réunis au sein de la Plate-forme interrégionale pour une économie durable rejointe par l’ARAU, le Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, le Comité Marie-Christine/ Reine/Stéphanie et Tout Autre Chose Laeken s'opposent fermement à Neo I. 

Pourquoi Neo va nous asphyxier ?

Le projet prévoit 3.200 places de parking en sous-sol rien que pour le centre commercial auxquelles il faut ajouter les 4.500 places des deux futurs parkings de dissuasion à proximité (de facto des parkings pour le centre commercial) alors que le site dispose déjà de 10.000 places sur le Parking C. Tel quel, le projet entraînera plus de 4.500 mouvements de voiture par heure aux heures de pointe le samedi ou encore 33.160 nouveaux déplacements les samedis après-midi. Un flux tout simplement impossible à absorber dans cet endroit de la Région déjà congestionné. Et incompatible avec les objectifs du Plan Iris 2 qui exige de réduire la pression automobile de 20% d'ici 2020.

Faut-il rappeler que le Conseil d'État a annulé la première version du PRAS qui créait la base légale du projet Neo en considérant qu’elle offrait une sécurité juridique insuffisante pour répondre aux problèmes de mobilité. Un recours est d’ailleurs toujours pendant contre la nouvelle version du PRAS[2].

En outre, le trafic très dense généré par le centre commercial et l’abattage planifié de 749 arbres  détérioreront une qualité de l’air déjà médiocre. La norme européenne pour le NO2 n'est déjà pas respectée dans cette partie de la Région (comme en témoigne la carte ci-dessous). L’étude d’incidences pointe d’ailleurs les conséquences sur la pollution de l'air dans les zones résidentielles, notamment avenue des Magnolias où se trouvent trois écoles, ainsi que l’augmentation de la concentration des polluants  « évaluée à un doublement des émissions atmosphériques sur les deux principales avenues [Houba de Strooper et Impératrice Charlotte]».

Enfin, rappelons également que les autorités régionales se sont engagées à respecter la « Convention des Maires » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de 30% d'ici 2025 (par rapport à 1990). Si la Région prend cet engagement au sérieux, aucun certificat d’environnement ou d’urbanisme ne devrait être délivré pour le Mall of Europe.

3600 voitures par heure à travers le parc de Laeken pour quel bénéfice public ?

La voirie actuelle, régulièrement congestionnée, est incapable d’absorber le flux automobile crée par le projet : les environs seront totalement bloqués.

Une nouvelle route qui sera bientôt tracée le long des palais du Heysel depuis le parking C n’arrangera rien à ce tableau. L’étude d’incidences analyse donc l’impact d’une liaison vers l’A12 et la présente comme seule alternative valable. Or ce scénario renvoie 3.600 voitures par heure à travers le parc de Laeken le samedi.  De la folie pure! D’autant qu’il est probable que le gouvernement bruxellois en paiera les coûts. Un cadeau généreux pour un promoteur privé et empoisonné pour les riverains.

Même avec cette alternative, les voiries seront totalement bloquées, comme le montre la carte ci-dessous.
La seule raison d’être de ce shopping mall est un hypothétique positionnement sur la carte internationale.

Les 72.000 m² de nouvelles surfaces commerciales  n’apporteront pas la moindre solution au problème posé par les 140.000 m² de surfaces commerciales inoccupées en Région bruxelloise, ni ne résoudront les problèmes de chômage. Le projet générera surtout des déplacements ou des compensations d’emplois disparus bien plus que des nouveaux emplois nets.

Quant au nouveau parc des sports, il est prévu pour une phase ultérieure : en attendant nul ne sait ce qu’il adviendra des asbl sportives qui utilisent les terrains que le projet transformera en chantier pendant au moins 4 ans. Le promoteur choisit en effet de lancer d’abord la phase la plus rentable de Neo, rentabilité qui est  déjà assurée grâce aux 500 logements privés (les 90 logements publics sont là au titre de charge d’urbanisme) et à la maison de retraite (c’est aujourd’hui un produit d’investissement), le centre commercial n’y est donc pas nécessaire.

Rappelons que ce programme prend place sur un terrain public appartenant à la Ville de Bruxelles. Elle devrait y promouvoir des équipements publics dont la Région manque crûment. Or le projet ne prévoit que 15 % de logement publics. Des écoles ? Aucune. Une piscine ? On parle vaguement d’un plan d’eau. Bref, ce projet n'offre aucune valeur ajoutée pour les résidents locaux, et très peu finalement pour les habitants, tant de la Région bruxelloise que de la Région flamande.

Nous voulons un projet d’intérêt général sur un terrain public !

Il suffirait de revenir à une superficie commerciale nettement plus raisonnable de l’ordre de 15.000 m² pour que ce cauchemar cesse. Car sans centre commercial démesuré, nulle besoin de dalle de béton, de milliers de parkings en sous-sol, de trémies et liaisons autoroutières à travers un parc. Les habitants et les sols peuvent respirer, les commerçants prospérer grâce à un réaménagement équilibré du plateau du Heysel. Et, dans ce contexte, le stade Roi Baudouin peut parfaitement être rénové pour assumer ses fonctions de stade national.  

Il est encore temps que les autorités bruxelloises fassent preuve de courage et de réelle ambition, se montrent progressistes et redessinent un projet prenant mieux en considération l’intérêt des habitants et des commerçants.

Contacts presse

UCM : Antoine Bertrand, 0494/254478
UNIZO Vlaams-Brabant & Brussel : Anton Van Assche, 0478/444119
IEB: Claire Scohier, 0473/667505
BBL: Erik Grietens, 0474/406394
BRAL: Steyn Van Assche,  0498/132586
ACV-CSC Brussel: Benoît Dassy, 0498/518915
Beweging.net Halle-Vilvoorde: Pieter-Jan Mattheus, Pieterjan.Mattheus@beweging.net
ARAU – Isabelle Pauthier - 02 219 33 45, 0477/330378                                                              
Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, Jean-Charles Verhaege, 0473 91 12 30
Tout Autre Chose Laeken : Werner SIMON, 0484/115.192                                                                               
Comité Marie-Christine-Reine-Stéphanie: Myriam Simon-Hendrick, 0486/606569

[1]Voir notre carte blanche parue dans Le Soir : http://plus.lesoir.be/141176/article/2018-02-20/le-volet-commercial-de-neo-ne-repond-aucun-besoin.
[2]http://www.ieb.be/UNIZO-IEB-le-BRAL-l-ARAU-et-BBL-en-recours-devant-le-Conseil-d-Etat-contre-la.

Si vous vous posez des questions sur la qualité de l’air que nous respirons à Bruxelles et son impact sur notre santé, venez participer aux ateliers à Molenbeek. Vous y apprendrez comment mesurer la qualité de l’air (Particules fines) dans votre quartier, lors de vos déplacements, sur le chemin de l’école de vos enfants.

Cela vous permettra de devenir des acteurs-scientifiques de votre santé !

 

Le Musée du Capitalisme a été mise sur pied par une quinzaine de jeunes bénévoles, lors d’une visite au Musée du Communisme à Prague. La visite interactive vous présente l’histoire du capitalisme mais aussi ses limites et ses alternatives. Les thèmes de l’alimentation, la santé, la culture, la consommation ou la finance sont abordés et discutés lors de la visite.

Cette exposition itinérante à récemment ré-ouvert les portes à Anderlecht et nous vous proposons de visiter ensemble ce musée le jeudi 29/3 à 17h30.

Déjà membre ? Alors c'est gratuit.

Pas (encore) membre ? Nous te proposons de le devenir le jour même et le BRAL payera alors ton prix libre OU tu peux aussi payer toi-même. Tout le monde est le bienvenue !

Prix: gratuit pour les membres. Les non-membres payent eux-mêmes le prix libre (prix indicatif : 2€/personne pour défrayer le guide)

Vendredi 23 février 2018, Sénat

 Bruxsel’Air, BRAL, Greenpeace, IEW, Straten-Generaal et Ademloos s’adressent au sénat à la demande de la Commission Compétences Transversales. C'est une reconnaissance de l’impact de l’action citoyenne très active : les « sages du pays » réfléchissent à une réponse politique de tous les niveaux de pouvoir . L’Etat doit-il faire rapport en faveur d’une meilleure collaboration des institutions sur la qualité de l’air ?

BRAL est déjà de l'avis, et préconise un Comité interministériel pour la qualité de l'air. Le but? Mettre en place une politique de santé environnementale cohérente qui intègre la surveillance, l'assainissement, la prévention et les soins.

Avec 12 000 décès prématurés et une multitude de problèmes de santé respiratoire et autres en Belgique, la souffrance humaine est beaucoup trop élevée. Mais les coûts sociaux augmentent également; pour les soins de santé, par l'absentéisme et la réduction des performances scolaires, en raison de la perte d'attractivité de l'environnement de vie et de travail.

Rassembler toutes les connaissances et tous les instruments disponibles est nécessaire pour garantir notre droit à un air sain.

Regardez ci-dessous ou via ce lien notre présentation.

Si vous vous posez des questions sur la qualité de l’air que nous respirons aux Marolles et son impact sur notre santé, venez participer à nos ateliers en collaboration avec le BRAL (mouvement urbain pour Bruxelles). Vous y apprendrez comment mesurer la qualité de l’air (Particules fines) dans votre quartier, lors de vos déplacements, sur le chemin de l’école, du travail, ou du CPAS. Cela vous permettra de devenir des acteurs-scientifiques de votre santé !

Nous aimerions profiter de cette rencontre pour vous permettre de découvrir, de discuter, d'être inspirés et de vous impliquer. Le plan de cette première réunion est de vous donner une mise à jour sur la dernière action que nous avons fait dans le quartier, « 24h de la vie d’Ab dans l’enfer des particules fines » de rassembler les personnes qui souhaitent partager des idées et du temps et entreprendre des actions spécifiques motivantes.

La pollution de l’air a un impact important sur notre santé et sur l’environnement.

On estime ainsi que, chaque année, 12 000 belges décèdent prématurément des suites de la mauvaise qualité de l’air en Belgique. Bruxelles n’est pas épargnée par ce problème. Notre capitale, mondialement connue pour ses embouteillages, a en outre récemment été mise en demeure par la Commission européenne pour ses entorses systématiques aux normes de qualité de l’air européenne. Cinq citoyens bruxellois ont récemment décidé de poursuivre le gouvernement de la région en justice.

Organisé par BRAL.Brussels, et La petite Maison du Peuple pour #BACK2NATUREbxl
Avec le soutien de Bruxelles Environement

https://www.facebook.com/events/2037086503231042/