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Hourra, un bébé! Il vous faut à présent aménager la chambre! Mais de quoi avez-vous besoin ? D’une foule de choses, à en croire les nombreux conseils et listes de naissance. La Babythèque propose une alternative sociale, durable et économique: un système de prêt de matériel pour bébés qui ne servent que très peu de temps. Que votre espace de vie soit restreint, que vous accueilliez votre petite nièce plusieurs fois par an, que votre budget soit limité ou que vous ayez décidé de consommer moins, la Babythèque constitue la solution idéale.

Qui est à l’origine de ce projet?

Une initiative commune de l’association Netwerk Bewust Verbruiken et du centre culturel GC Elzenhof qui jouent la carte de la solidarité et du partage, des valeurs au coeur de notre société actuelle.

Comment fonctionne la Babythèque?

Tout le monde peut devenir membre de la Babythèque: parents, grands-parents, populations défavorisées, familles monoparentales ou recomposées, locaux et nouveaux arrivants, les minimalistes comme les gens qui veulent d’abord essayer avant d’acheter.

La cotisation annuelle est de 20€ .

Grâce à ce montant, les membres peuvent emprunter un certain nombre d'articles à la fois pendant un mois. Si nécessaire, il est possible de prolonger le prêt plusieurs fois.

Quels sont les avantages?

1. Les parents peuvent tester les produits pour voir si cela leur convient à eux et leur bébé avant d’éventuellement acheter: pas tous les enfants ne supportent les porte-bébés par exemple.
2. La réduction des déchets en prolongeant la durée d’utilisation des objets qui seront utilisés par plusieurs familles.
3. C’est une solution pour les personnes ayant des espaces de vie restreints. Le matériel pour bébé reste dans la maison seulement le temps nécessaire et n’encombre donc pas l’habitation.
4. Cela permet à des jeunes parents ayant un budget limité de malgré tout bien s’équiper et accueillir l’enfant dans de bonnes conditions.
5. La Babythèque est un lieu de rencontre pour les jeunes parents en plein coeur de Bruxelles.

Aidez la Babythèque à démarrer!

Le montant de 12 000 euros est necessaire pour débuter l’activité. Afin de récolter ce montant, Elzenhof & Netwerk Bewust Verbruiken lancent une campagne de collecte de fonds à travers Growfunding: une plate-forme bruxelloise innovante. Celle-ci reprend le principe du crowdfunding et permet ainsi à des projets citadins d’émerger, qu’ils soient à vocation durable ou sociale. La récolte de financement servira à acheter des fournitures durables et de qualité pour bébé, à construire un lieu d’accueil et d’échange confortable à Elzenhof et à créer une plate-forme de prêt en ligne, claire et accessible à tous.

L’objectif est d’ouvrir la Babythèque le 1er février 2018.

Plus d’infos
Lisez aussi l’interview (en NL) avec les responsables Sarah Van Riel et Hanne De Valck.

Le Gouvernement bruxellois et la commune d’Anderlecht sont en passe de délivrer les dernières autorisations nécessaires pour la réalisation d’une marina le long du canal, sur le quai de Biestebroeck, baptisé The Dock. Ce bassin de 5 000 m² destiné à accueillir des yachts de plaisance en plein cœur d’Anderlecht, à deux pas de la rue Wayez, s’accompagne d’un versant de spéculation immobilière avec la création d’un parc de logements de standing. Une commission de concertation est prévue le 18 janvier. Il est encore temps de s’opposer à ce projet scandaleux auquel les pouvoirs publics ont donné des autorisations sur mesure, et malgré de nombreux avis contraires, pour servir les ambitions d’un promoteur immobilier. Ce projet ouvre grand la voie à une vague de spéculation dans le quartier.
Signez la pétition. Les arguments contres ...

Nous avons appris que quelqu’un est en train de distribuer des flyers au Quartier Européen, avec notre logo, ainsi que le logo du Gracq, celui de l’Arau et un logo hypothétique de Schone Lucht BXL Air Propre. Selon le texte l’aménagement de la Place Schuman consiste à faire passer le traffic de quelques rues principales vers des rues plus petites. Et le flyer affirme: “Non au Plan Smet”.

Ceux qui nous connaissent, savent que le Bral utilise rarement des slogans tels que celui-ci. Nous avons l’habitude d’employer plus de nuance dans notre discours. Bral n’est aucunement impliqué dans cette demarche. Nous n’avons pas été consultés et nous ne savons pas qui est à l’origine de cette initiative. Nous savons qu’Arau (l'Atelier de Recherche et d'Action Urbaines) n’est pas au courant non plus.

A ce moment nous ne sommes pas en mesure de prendre position par rapport au contenu de ce flyer. Nous ne savons pas confirmer ni démentir si l’aménagement de la Place Schuman engendra une augmentation du traffic dans les rues avoisinantes ou pas. Nous ne sommes pas au courant d’une modellisation qui démontrerait un tel résultat. Or, nous demandons les auteurs de ce flyer de prendre contact avec nous et de présenter leurs arguments, plutôt que d’utiliser notre nom sans notre approbation.

Le Bral

 

Le quartier Masui est en pleine mutation. Son tissu urbain y voit du logement y côtoyer nombre d’entreprises, sources d’emploi et d’activité économique. Depuis peu, des bâtiments industriels y laissent place à de nouvelles affectations. Qu’en adviendra-t-il ? Du logement ? D’autres activités commerciales ? Ou encore un mélange des deux ? Quel avenir s’ouvre à ces quartiers ? Quelles relations entretient-il avec le bassin Vergote ? Subit-il aujourd’hui une certaine pression ?

Bref, une série d’enjeux déterminants se dessinent pour la région à l’intérieur de ce périmètre. Le quai Vergote et le quartier Masui arrivent tous deux à un tournant décisif de leur histoire. Il est donc grand temps d’y ouvrir un débat public!

C’est pourquoi le Bral y organise une promenade urbaine. Le départ est prévu au 24ème étage de la tour WTC 1 à 14 heures du haut duquel Perspective Brussels présentera le nouveau Contrat de Rénovation Urbaine pour la zone. Nous partirons ensuite sur le terrain, l’occasion pour un représentant du Port de Bruxelles, Citydev, des commerçants et des acteurs locaux de chacun exposer leur point de vue sur le quartier. À 17 heures, nous clôturerons par un débat et des conclusions en présence de tous les intervenants, autour d’un drink.

La participation à la promenade est gratuite et l’inscription est obligatoire, par mail à ingrid[a]bral.brussels. Pour plus d’informations sur l’évènement, contactez steyn[a]bral.brussels. Les échanges se feront en néerlandais, français et/ou anglais.

Départ : 13h45, WTC 1, Boulevard du Roi Albert II 28-30 – RDV au rez-de-chaussée

Débat et drink : 17h, café/resto  Chez Lucia, Chaussée d’Anvers 222

En présence de / avec la collaboration de :

  • Perspective Brussels
  • Le Centre de services local De Harmonie
  • Le Port de Bruxelles
  • L’Union des Locataires Quartier Nord asbl
  • Citydev
  • Architecture Workroom

La Maison de quartier Bonnevie recrute actuellement un CONSEILLER EN RENOVATION (F/H) pour venir compléter son équipe.

Il (elle) informera et assurera l’accompagnement individuel de personnes désirant rénover leur logement à trouver les solutions les plus abordables sur le plan financier et qui répondent aux critères de santé et de sécurité.

Peut-être que notre futur(e) collaborateur(trice) fait partie de vos connaissances ?
-          Un(e) architecte avec une expérience de terrain de 3 ans ;
-          Organisé(e), travaillant en équipe, autonome et créatif(ve) ;
-          Ayant une bonne connaissance de la 2ème langue.

Alors n’hésitez pas à transférer cette annonce !

Pour plus de renseignements, téléphonez-nous au 02/410 76 31 et demandez Marie-Claire Migerode ou consultez notre site www.bonnevie40.be.

Adressez votre CV et une note explicative reprenant votre expérience en relation avec notre travail,  ainsi que la plus-value que vous apporteriez à l’équipe de Bonnevie,

avant le 17 février 2018 à marie-claire.migerode@bonnevie40.be

 

 

Depuis 5 ans, le Community Land Trust Bruxelles (CLTB) est reconnu par la Région Bruxelloise pour la production de logements sociaux acquisitifs. Le Community Land Trust Bruxelles propose, via une formule innovante, des logements abordables à des familles à faible revenu, tout en participant à l’amélioration des quartiers et du vivre ensemble.
Il est reconnu comme l’un des pionniers du modèle CLT en Europe.

Le CLTB peut déjà compter sur une assistante administrative à mi-temps, mais la gestion de nos membres exigeant un travail de back-office croissant, nous cherchons à renforcer notre équipe.

Fonction

En collaboration avec l’assistante administrative,
– vous vous chargez de la gestion administrative des inscriptions et des attributions de logements
– vous aidez à l’organisation des réunions et vous faites les PV
– vous êtes responsable pour l’accueil, et notamment de l’accueil téléphonique
– vous participer à la mise en place d’une nouvelle base de données
– vous aidez à l’actualisation des informations sur notre site et à la rédaction de notre newsletter
– vous êtes responsable de la gestion logistique des locaux et du matériel
– vous aidez à l’organisation d’activités

En collaboration avec la coordination,
– vous préparez les payements
– vous encodez les factures d’achat

Profil recherché

– vous possédez un diplôme et/ou une expérience pertinente ;
– vous avez une bonne connaissance du français et du néerlandais ;
– vous maîtrisez les logiciels nécessaires (MS Office, outils de publipostage, bases de données) ;
– vous aimez travailler en équipe ;
– vous êtes attentif/ve au respect des délais et vous êtes précis dans votre travail ;
– vous avez de bonnes  compétences sociales et vous sentez à l’aise dans l’accompagnement de publics aux origines très diverses et publics fragilisés;
– vous souscrivez aux objectifs sociaux de notre organisation et êtes motivé à mettre vos connaissances à son service ;

Nous offrons

–  un emploi à mi-temps de durée déterminé du 1er mars 2018 au 31 décembre 2018 avec possibilité de reconduction ;
– un emploi motivant  au sein d’une équipe enthousiaste, dans une organisation innovante sur le plan social ;
– un environnement de travail flexible et stimulant laissant une grande place à l’esprit d’entreprise et d’initiative ;
–  une rémunération en fonction du diplôme et de l’expérience, selon les barèmes de la Commission Paritaire 319.00.

Candidature

Envoyez votre CV  accompagné d’une lettre de motivation avant le 15 février 2018 par e-mail à Community Land Trust Brussel ASBL, à l’attention de Thibault Leroy, coordinateur thibault.leroy[a]cltb.be.
Pour des renseignements complémentaires envoyez un message à la même adresse ou téléphonez-nous au 02/840 61 49.

Vous trouverez de plus amples informations sur notre fonctionnement sur le site www.cltb.be.

Que penser du projet de nouvelle ligne de métro nord-sud ? Plus de transports en commun, on ne demanderait pas mieux, n’est-ce pas ? Évidemment, mais nous nous posons tout de même de nombreuses questions sur ce projet spécifique. Et nous ne sommes pas les seuls.

Nous avons donc étudié attentivement les arguments pour et contre et avons prêté l’oreille à ce qu’en disent des spécialistes, des citoyens et d’autres organisations. La présente synthèse fait le point sur cette quête. Nous aborderons ces questions, entre autres :

  • Un métro souterrain, plus de voitures au sous-sol ?
  • Qu'en est-il de l'espace public?
  • Le commerce local, serait-il suffisamment accessible? Et le commerce souterrain suffisamment divers?
  • Est-ce qu'un métro souterrain profond ralentirait ou accélérait un déplacement?
  • Attirerait le nouveau métro suffisamment d'utilisateurs? Quelles sont les conséquences quand il ne le ferait pas?
  • Quels sont les frais totals de ce projet? En qui les paierait? 
  • Quel est l'impact total du projet sur l'environnement?

Au BRAL, nous accordons une grande importance à votre avis (argumenté). Cette brochure peut vous aider à vous forger votre opinion. Vous pouvez la lire comme une liste de dix arguments susceptibles d’intervenir dans le débat. Réfléchissez-y tranquillement, mais surtout, cogitez par vous-même pour vous faire votre propre avis.

Avec cet « argumentaire », BRAL espère étayer et lancer le débat public sur le métro d’aujourd’hui et de demain à Bruxelles. Parce que même si la politique semble décidée, de nombreuses demandes de licence suivront.

Des ateliers pleins de voitures, des bricos, des grossistes, et beaucoup d’habitants. Quelle mixité donc, mais pour combien de temps encore ? Si d’emblée tout le monde semble d’accord sur l’idée de maintenir les activités économiques –Région, Port, habitants, commerçants… à y regarder de plus près les choses ne sont pas si simples.

Pourtant, c’est bien pour venir voir tout cela de plus près que nous étions une bonne soixantaine ce samedi 10/02 pour la visite-débat du quartier Masui. Et qu’y avons-nous vu ?

  • Que les habitants cohabitent volontiers avec les activités économiques, mais seulement si la mobilité/logistique des uns et des autres est améliorée. Et bien sûr aussi si on maintient le dialogue.
  • Que si transformer un entrepôts en logements voire bureaux est facile et rentable, l’inverse n’est pas du tout aussi vrai
  • Que Perspective Brussels s’occupe de planifier l’aménagement du quartier, mais pas de la mobilité qui reste la compétence de Bruxelles Mobilité
  • Que Citydev s’occupe de promouvoir l’économie à Bruxelles et est sur le point d’acheter un bel entrepôt rue Masui.

Bref, pour en savoir plus, suivez notre promenade du 10 février de près, lisez le compte-rendu complet ci-dessous.

Perpective Brussels organise jusqu’au vendredi une ‘Semaine de réflexion’ autour le ‘Plan d'Aménagement Directeur (PAD) Maximilien – Vergote’ Vous trouverez plus d’info sur entre autres le PAD dans le compte rendu et ici.  

Update: Ecoutez aussi le podcast!

Le mercredi 7 mars, la commission de concertation de la Ville de Bruxelles examinera les demandes de certificat de la phase I du projet Neo. Au programme : plus de 500 logements, du bureau, des espaces de loisir mais surtout le plus grand centre commercial de Belgique (72.000 m² !) et les 3.700 places de parking qu’il nécessite. Et cerise sur le gâteau, une liaison avec l'A12 à travers le parc de Laeken.

Le projet prend place à côté de l'Atomium. Est-ce pour cela qu’il témoigne d'une mentalité des années 1950 ? En effet, le projet est construit sur une gigantesque dalle de béton recouvrant plusieurs milliers de places de parking, connectées par des trémies à des liaisons vers l'autoroute. La structure sur dalle qui compense la déclivité du site n’est pas sans rappeler un autre «monstre sacré» du modernisme : la Cité administrative. Ville et Région ratent ainsi une opportunité de développer un projet  en phase avec les défis du XXIème siècle.

C’est pour cette raison mais aussi parce que ce projet ne répond à aucun besoin[1], qu’il sacrifie  la qualité de vie des quartiers pour un produit spéculatif et qu’il nuira gravement à la qualité de vie des riverains que l’UCM, l’Unizo, IEB, BBL, le BRAL, ACV-CSC et Beweging.net Halle-Vilvoorde réunis au sein de la Plate-forme interrégionale pour une économie durable rejointe par l’ARAU, le Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, le Comité Marie-Christine/ Reine/Stéphanie et Tout Autre Chose Laeken s'opposent fermement à Neo I. 

Pourquoi Neo va nous asphyxier ?

Le projet prévoit 3.200 places de parking en sous-sol rien que pour le centre commercial auxquelles il faut ajouter les 4.500 places des deux futurs parkings de dissuasion à proximité (de facto des parkings pour le centre commercial) alors que le site dispose déjà de 10.000 places sur le Parking C. Tel quel, le projet entraînera plus de 4.500 mouvements de voiture par heure aux heures de pointe le samedi ou encore 33.160 nouveaux déplacements les samedis après-midi. Un flux tout simplement impossible à absorber dans cet endroit de la Région déjà congestionné. Et incompatible avec les objectifs du Plan Iris 2 qui exige de réduire la pression automobile de 20% d'ici 2020.

Faut-il rappeler que le Conseil d'État a annulé la première version du PRAS qui créait la base légale du projet Neo en considérant qu’elle offrait une sécurité juridique insuffisante pour répondre aux problèmes de mobilité. Un recours est d’ailleurs toujours pendant contre la nouvelle version du PRAS[2].

En outre, le trafic très dense généré par le centre commercial et l’abattage planifié de 749 arbres  détérioreront une qualité de l’air déjà médiocre. La norme européenne pour le NO2 n'est déjà pas respectée dans cette partie de la Région (comme en témoigne la carte ci-dessous). L’étude d’incidences pointe d’ailleurs les conséquences sur la pollution de l'air dans les zones résidentielles, notamment avenue des Magnolias où se trouvent trois écoles, ainsi que l’augmentation de la concentration des polluants  « évaluée à un doublement des émissions atmosphériques sur les deux principales avenues [Houba de Strooper et Impératrice Charlotte]».

Enfin, rappelons également que les autorités régionales se sont engagées à respecter la « Convention des Maires » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de 30% d'ici 2025 (par rapport à 1990). Si la Région prend cet engagement au sérieux, aucun certificat d’environnement ou d’urbanisme ne devrait être délivré pour le Mall of Europe.

3600 voitures par heure à travers le parc de Laeken pour quel bénéfice public ?

La voirie actuelle, régulièrement congestionnée, est incapable d’absorber le flux automobile crée par le projet : les environs seront totalement bloqués.

Une nouvelle route qui sera bientôt tracée le long des palais du Heysel depuis le parking C n’arrangera rien à ce tableau. L’étude d’incidences analyse donc l’impact d’une liaison vers l’A12 et la présente comme seule alternative valable. Or ce scénario renvoie 3.600 voitures par heure à travers le parc de Laeken le samedi.  De la folie pure! D’autant qu’il est probable que le gouvernement bruxellois en paiera les coûts. Un cadeau généreux pour un promoteur privé et empoisonné pour les riverains.

Même avec cette alternative, les voiries seront totalement bloquées, comme le montre la carte ci-dessous.
La seule raison d’être de ce shopping mall est un hypothétique positionnement sur la carte internationale.

Les 72.000 m² de nouvelles surfaces commerciales  n’apporteront pas la moindre solution au problème posé par les 140.000 m² de surfaces commerciales inoccupées en Région bruxelloise, ni ne résoudront les problèmes de chômage. Le projet générera surtout des déplacements ou des compensations d’emplois disparus bien plus que des nouveaux emplois nets.

Quant au nouveau parc des sports, il est prévu pour une phase ultérieure : en attendant nul ne sait ce qu’il adviendra des asbl sportives qui utilisent les terrains que le projet transformera en chantier pendant au moins 4 ans. Le promoteur choisit en effet de lancer d’abord la phase la plus rentable de Neo, rentabilité qui est  déjà assurée grâce aux 500 logements privés (les 90 logements publics sont là au titre de charge d’urbanisme) et à la maison de retraite (c’est aujourd’hui un produit d’investissement), le centre commercial n’y est donc pas nécessaire.

Rappelons que ce programme prend place sur un terrain public appartenant à la Ville de Bruxelles. Elle devrait y promouvoir des équipements publics dont la Région manque crûment. Or le projet ne prévoit que 15 % de logement publics. Des écoles ? Aucune. Une piscine ? On parle vaguement d’un plan d’eau. Bref, ce projet n'offre aucune valeur ajoutée pour les résidents locaux, et très peu finalement pour les habitants, tant de la Région bruxelloise que de la Région flamande.

Nous voulons un projet d’intérêt général sur un terrain public !

Il suffirait de revenir à une superficie commerciale nettement plus raisonnable de l’ordre de 15.000 m² pour que ce cauchemar cesse. Car sans centre commercial démesuré, nulle besoin de dalle de béton, de milliers de parkings en sous-sol, de trémies et liaisons autoroutières à travers un parc. Les habitants et les sols peuvent respirer, les commerçants prospérer grâce à un réaménagement équilibré du plateau du Heysel. Et, dans ce contexte, le stade Roi Baudouin peut parfaitement être rénové pour assumer ses fonctions de stade national.  

Il est encore temps que les autorités bruxelloises fassent preuve de courage et de réelle ambition, se montrent progressistes et redessinent un projet prenant mieux en considération l’intérêt des habitants et des commerçants.

Contacts presse

UCM : Antoine Bertrand, 0494/254478
UNIZO Vlaams-Brabant & Brussel : Anton Van Assche, 0478/444119
IEB: Claire Scohier, 0473/667505
BBL: Erik Grietens, 0474/406394
BRAL: Steyn Van Assche,  0498/132586
ACV-CSC Brussel: Benoît Dassy, 0498/518915
Beweging.net Halle-Vilvoorde: Pieter-Jan Mattheus, Pieterjan.Mattheus@beweging.net
ARAU – Isabelle Pauthier - 02 219 33 45, 0477/330378                                                              
Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, Jean-Charles Verhaege, 0473 91 12 30
Tout Autre Chose Laeken : Werner SIMON, 0484/115.192                                                                               
Comité Marie-Christine-Reine-Stéphanie: Myriam Simon-Hendrick, 0486/606569

[1]Voir notre carte blanche parue dans Le Soir : http://plus.lesoir.be/141176/article/2018-02-20/le-volet-commercial-de-neo-ne-repond-aucun-besoin.
[2]http://www.ieb.be/UNIZO-IEB-le-BRAL-l-ARAU-et-BBL-en-recours-devant-le-Conseil-d-Etat-contre-la.

Vendredi 23 février 2018, Sénat

 Bruxsel’Air, BRAL, Greenpeace, IEW, Straten-Generaal et Ademloos s’adressent au sénat à la demande de la Commission Compétences Transversales. C'est une reconnaissance de l’impact de l’action citoyenne très active : les « sages du pays » réfléchissent à une réponse politique de tous les niveaux de pouvoir . L’Etat doit-il faire rapport en faveur d’une meilleure collaboration des institutions sur la qualité de l’air ?

BRAL est déjà de l'avis, et préconise un Comité interministériel pour la qualité de l'air. Le but? Mettre en place une politique de santé environnementale cohérente qui intègre la surveillance, l'assainissement, la prévention et les soins.

Avec 12 000 décès prématurés et une multitude de problèmes de santé respiratoire et autres en Belgique, la souffrance humaine est beaucoup trop élevée. Mais les coûts sociaux augmentent également; pour les soins de santé, par l'absentéisme et la réduction des performances scolaires, en raison de la perte d'attractivité de l'environnement de vie et de travail.

Rassembler toutes les connaissances et tous les instruments disponibles est nécessaire pour garantir notre droit à un air sain.

Regardez ci-dessous ou via ce lien notre présentation.

L'avenir de Tour et Taxis se joue pour l'instant à l'occasion d'une nouvelle enquête publique. La plateforme TouTPubliek, qui rassemble des habitants et des associations engagés dans le quartier de Tour et Taxis, a analysé le plan et considère qu'il ne répond pas suffisamment aux besoins élémentaires des quartiers avoisinants et la région.

C’est pourquoi ils font quelques propositions constructives qui donnent plus de garanties à un meilleur ancrage de la zone dans ses environs.

Le développement de T&T est une occasion exceptionnelle pour trouver des réponses aux défis sociaux, économiques et écologiques. Ne gâchons pas cette occasion !

Que pouvez-vous faire ?

  • Envoyez un mail avant vendredi 13/04/2018 -minuit à commissionconcertation.urbanisme@brucity.be. Il faut mettre en pièce jointe la requête ci-inclus pour demander à être entendu à l'occasion de la Commission de concertation qui aura lieu le 25 avril.  Cette réunion a souvent lieu pendant les heures de bureaux, ils vous suggèrent dès lors de demander qu'elle ait lieu en soirée. Plus nous serons à le demander, plus nous aurons de chances d'être entendus !
  • Joignez vos commentaires ou revendications au mail précédent ou envoyez les séparément à commissionconcertation.urbanisme@brucity.be.
  • Demandez explicitement que votre réaction soit jointe au dossier. Plus il y aura de commentaires envoyés, plus nous aurons des chances d'être entendus !
  • Venez à la Commission de concertation le 25/04/18. Plus il y aura de présents, plus nous pourrons influencer les débats !
  • Informez et mobilisez vos amis, voisins, connaissances et collègues !
    N'oubliez pas de mettre TouTPubliek en copie de vos messages envoyés à la Commission de concertation : toutpubliek@gmail.com!

    Nous comptons sur votre soutien massif,
    La plateforme TouTPubliek

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Sécurité des données

Nous avons pris les mesures techniques et organisationnelles appropriées pour protéger vos données personnelles contre tout traitement illicite :

  • Toutes les personnes qui peuvent entendre vos coordonnées au nom de BRAL sont liées par l'obligation de confidentialité.
  • Nous avons une politique de nom d'utilisateur et de mot de passe sur tous nos systèmes.
  • Nous cryptons les données personnelles s'il y a des raisons de le faire.
  • Nous faisons des sauvegardes des données personnelles afin de pouvoir les récupérer en cas d'incidents physiques ou techniques.
  • Nous testons et évaluons régulièrement nos mesures.
  • Nos employés ont été informés de l'importance de la protection des données personnelles.