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Nous voulons vous inviter pour la fête d’inauguration de Recup’Kitchen. Ce dimanche 24 avril 2016 de 12h à 17h, situé sur le site de l'ancienne gare Josaphat (Avenue Gustave Latinis, à hauteur du numéro 152, 1030 Schaerbeek).

Invitation en annexe.

« Un moment pour se rencontrer, faire la fête ... et vous remercier de votre soutien !"»  

- Hanne Van Reusel, un des membres de collectif Recup’Kitchen.

CONTACT

NL// Hanne Van Reusel hanne.vanreusel@kuleuven.be 0478 580 227

FR// Quentin Fabri quentin.fabri@gmail.com 0474 590 477

RECUP’KITCHEN

Recup’Kitchen : une cuisine mobile qui propose une alimentation saine et à petit prix. Concrètement, RECUP’KITCHEN prépare des plats végétariens à "prix libre", cuisinés à partir des invendus des marchés bruxellois. Mais la cuisine est aussi et surtout un lieu convivial! Recup’Kitchen ambitionne d’être un instrument de création de liens entre les citoyens, nous avons l'intention d’en faire un point de rencontre et de discussion sur les questions d’alimentation et d’espace public à Bruxelles. A dimanche".

En créant un vaste piétonnier dans le centre de Bruxelles, ce conseil communal a pris une décision courageuse. BRAL demande à la Ville et à la Région d’aller de l’avant avec une détermination inchangée, mais surtout d’engager une concertation coordonnée avec tous les riverains, les commerçants et les visiteurs du centre-ville. Il n’est pas trop tard !

Bruxelles va bientôt transformer l’esplanade devant la Bourse en place digne de ce nom, une décision qui n’est pas tombée du ciel. En 2012, BRAL lançait le concours d’idées ParcAnspachpark, tandis que Pic Nic the Streets s’arrangeait pour que le projet de bannir les voitures de cet endroit devienne une priorité politique. La même année, des actions étaient déjà organisées sur les boulevards du centre pour plaider en faveur d’une autre approche : Bruxelles a besoin d’un centre où la voiture ne règne plus en maître et laisse le champ libre à un espace public de qualité. Une évolution logique, bénéfique pour les Bruxellois comme pour les visiteurs. Tout le monde est donc satisfait, pourrait-on penser. Pourtant, la résistance est forte. Et se fait de plus en plus virulente avec les semaines qui passent.

Oui, il y a aujourd’hui de nombreux autres facteurs (tunnels, lockdown, attentats, etc.) qui compliquent une évaluation correcte de la phase de test. Et oui encore, ce que nous voyons actuellement n’est pas le « piétonnier » mais de simples travaux préparatoires. Nul ne nie plus cependant que l’approche et la communication ne sont pas adaptées. La semaine dernière par exemple, seule une poignée de personnes assistait à la soirée d’information annoncée en grande pompe par la Ville et Sibelga pour parler des travaux prévus. Dommage. Mais c’est surtout le signe qu’un changement s’impose.

BRAL demande à la Ville et à la Région d’aller de l’avant avec une détermination inchangée, mais surtout d’engager une concertation coordonnée avec tous les riverains, les commerçants et les visiteurs 

Le maillon faible : le plan de circulation

Le Conseil communal a récemment décidé que la rue de Laeken serait rouverte à la circulation à partir de la petite ceinture. Un tronçon de la rue du Midi reverra passer des voitures dans les deux sens. Ces modifications, deux mois après la fin d’une « phase de test » de huit mois, montrent que la Ville ne dispose toujours pas d’un plan d’approche clair. Sans compter que ces changements permettent à nouveau le trafic de transit à travers le Pentagone. Un résultat en opposition avec un plan de mobilité destiné à réduire la pression automobile dans le centre. Ce que nous avons retenu de la phase de test, c’est que ces deux rues voyaient passer moins de voitures, garantissant ainsi une meilleure sécurité des cyclistes par exemple. On ne peut donc que déplorer ce retournement de situation. La Ville s’est égarée dans de petites retouches ponctuelles au fil des derniers mois. Celles-ci trahissent l’improvisation et une réaction au coup par coup à des circonstances ou problèmes spécifiques. En attendant, la Ville oublie de mettre sur pied un dialogue honnête et coordonné avec les riverains et les commerçants.

Il n’y a pas de dialogue, pas de site web interactif, pas de réunions publiques, pas de plan par étapes, pas de plan de communication global, pas de gestionnaire de projet susceptible d’encadrer le processus dans les prochaines années. 

Interaction

La Ville et la Région sont les plus à blâmer de la chute de popularité que le piétonnier connaît ces derniers mois. Aucune transparence n’a été faite sur les décisions prises pendant cette période. Toutes deux mettent régulièrement les riverains devant le fait accompli, il n’y a pas de dialogue, pas de site web interactif, pas de réunions publiques, pas de plan par étapes, pas de plan de communication global, pas de gestionnaire de projet susceptible d’encadrer le processus dans les prochaines années. Autant d’éléments qui provoquent de l’amertume et du mécontentement. La politique doit garantir une plus grande transparence, bonnes et mauvaises nouvelles confondues.

C’est pourquoi BRAL et trois groupes de recherche de la VUB collectent, depuis l’année dernière, des chiffres sur les récents changements. Nous sommes donc en mesure de nous baser sur des données objectives. BRAL et la VUB organiseront également une grande journée d’étude sur le piétonnier en novembre 2016. À ce jour, la Ville ne nous a pas encore communiqué toutes les informations demandées. Pourquoi ?

Depuis les premières ébauches du projet, BRAL en appelle au dialogue avec la société civile, à un suivi professionnel et à une participation poussée. Au début de la phase de test en septembre 2015, nous avons suggéré de constituer un comité d’accompagnement composé notamment de représentants des associations et des commerçants, une proposition restée sans réponse. Ce qui est regrettable, car rien n’a d’autre n’a été fait.

Pouvons-nous faire une suggestion ?

Un tel trajet susceptible de se dérouler parallèlement aux processus de décision politiques de manière à ne pas ralentir le projet aurait pu aplanir de nombreux désaccords. Une participation des riverains ou des commerçants au débat n’implique absolument pas qu’il faille donner suite à la moindre remarque. Débat et participation peuvent aboutir à des points de vue partagés et à des solutions communes. Pourquoi ne pas laisser les riverains prendre part aux travaux de réflexion sur la manière dont nous allons passer l’été, par exemple ? De bancs et des tables de ping-pong vont-ils à nouveau être installés ? Pouvons-nous faire une suggestion ? Force est aujourd’hui de constater que c’est la polarisation qui règne et que ni la Région ni la Ville ne parviennent à offrir de réponse. Vont-elles attendre passivement la prochaine pétition ou la prochaine campagne d’affichage agressive ou vont-elles engager le débat de manière structurelle ?

BRAL ne veut pas d’un retour à des boulevards remplis de voitures et plaide pour le réaménagement rapide d’un piétonnier. Et s’il vous plaît, impliquez les Bruxellois dans ce projet !

Joost Vandenbroele – collaborateur BRAL – joost@bral.brussels

Du 15 juin au 1 juillet, nous reprenons notre exposition "Ambassade de Selfcity: une nouvelle génération d'initiatives citoyennes à Bruxelles", et ceci dans les locaux du Bral.  

Par des photos, des films, des textes et des objets, le BRAL montre le visiteur le chemin à la recherche de la société 'bottom-up'

Selfcity ? 

Bruxelles est une ville riche.  Riche en initiatives citoyennes, entendons-nous.   Les Bruxellois se regroupent pour épargner, construire, échanger, partager, réparer, etc.  D'autres gèrent des terrains ou des bâtiments. Certains groupe, agacés de voir que rien n'avance, se substituent alors aux pouvoirs publics.

Le BRAL a, en collaboration avec Brussels Academy, organisé une série d'ateliers. Pendant u an nous avons suivi et collaboré avec 11 initiatives bruxelloises. Les résultats sont présentés dans cette exposition "Ambassade de Selfcity".

Rendre visite? 

Du 15 juin au 1 juillet libre, chaque mercredi, jeudi et vendredi, entre 12h00 et 14h00 et entre 16h30 et 19h00.

Vous désirez une visite guidée? 

Faites votre demande à Piet Van Meerbeek et on trouvera bien un moment.

Plus d'info?

www.selfcity.brussels ou lisez la publication récente (3 langues) Selfcity BXL (jan 2016).

 

« Le métro oui, une nouvelle station à Stalingrad et ses travaux pharaoniques, non », voici en résumé la voix des commerçants et habitants venus s’exprimer en nombre ce mercredi matin, après une longue attente dans les couloirs de la ville de Bruxelles mercredi 25/5. Retours de cette première commission de concertation.

Lundi, deux jours avant la commission de concertation, à l’initiative de Convivence, BRAL - mouvement urbain pour Bruxelles et Inter-Environnement Bruxelles, les enjeux et conséquences du projet furent débattus par les habitants dans le Centre Communautaire Anneessens : 6 ans de travaux sous le sol, sans garantie que l’avenue de Stalingrad soit au plus vite rendue disponible à la flânerie. Il y a pourtant sur ce bel espace public des dizaines de boutiques qui nourrissent et fournissent de l’emploi aux bruxellois : « J’ai 10 employés dans ma boulangerie artisanale», dit un petit patron.

Le projet de « maillon manquant » du métro Nord-Sud contient un grand projet de double station qui pourrait être  la chute de Stalingrad. « Nos avons eu le courage de rester pendant 45 ans », s’exclame un vieux riverain.  Un espace de rencontre diversifié de taille humaine, qui anime une rambla rénovée par le dernier contrat de quartier, et s’est adapté à une mobilité apaisée.  Derrière l’association Stalem et son président Nour Eddine Layachi, ces petits investisseurs issus de l’immigration expriment avec émotion le risque de perdre, avec ces travaux, la clientèle de leur affaire familiale qu’il s’apprètent à léger à leurs enfants.

Mercredi la commission se termine et l’avis est rapidement remis. Des questions complémentaires sont adressées au demandeur.  L’avis déterminera quels impacts environnementaux et socio-économiques doivent être pris en compte avant la demande de permis d’urbanisme.  Le moins que l’on puisse dire au sortir de cette concertation de la population, c’est qu’il y en aura, des conséquences à ce grand projet régional de metro Nord-Sud. 

Deze tekst bestaat enkel in het Frans. Voor meer uitleg in het Nederlands, contacteer stafmedewerker Liévin Chemin:  lievin@bral.brussels.

Le weekend prochain nos ministres régionaux  entreront en réunion spéciale pour la qualité de l’air.  Le plan Air Climat-Energie sera-t-il enfin adopté ? D’après la première lecture, il ne contient quasi aucune mesure concrète pour que notre droit à respirer un air propre devienne une réalité.

Intéressé ? Prépare-toi à une action ludique le jeudi 2 juin à 8h30 (BIP, place Royale).

Envoie un message à Liévin pour connaître les détails pratiques. 

Ces dernières années, à Bruxelles, aucun projet d’urbanisme n’a suscité un débat aussi enflammé que l’aménagement du piétonnier. Les avis sont partagés. Ils se basent sur des expériences personnelles, sur des enquêtes, parfois sur des calculs ou des études sérieuses. Le piétonnier vit, mais il n’est pas rare que fassent défaut les fondations d’une discussion digne de ce nom : une bonne dose de confiance et… des données objectives. Or, des données ont été collectées en grand nombre. Le moment est dès lors venu de les rassembler et de hisser le débat au niveau supérieur ! Donc : let’s talk (about le piétonnier) !

Ci-dessous vous trouveriez le programme et les différentes présentations qui ont été donnés lors de cette journée. Un  compte-rendu plus complet suivra plus tard. 

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Un “gouvernement spécial” réunit nos ministres régionaux pour finaliser le Plan Air-Climat-Energie.  Dans une lettre ouverte, associations, citoyens et académiques interpellent: le plan ne prévoit pas de mesure concrète pour enrayer la pollution toxique de l’air. Une action se tient sous les fenêtre du Gouvernement.

Citoyens et associations se rassemblent mercredi entre 8h30 et 9h15 devant le BIP, place Royale. Théâtralement, ils  étouffent sous des masques à poussières, asphyxient dans des sacs plastique bleus.  Ils portent aussi des messages écrits: respirer un air propre est un droit.

Jeudi 2/6, associations et groupes citoyens, supportés par plusieurs académiques, ont adressé à la ministre Céline Frémault une lettre ouverte comportant leurs doléances vis à vis du Plan Air-Climat-Energie qu’ils jugent trop faible en la matière.

Ici-dessous vous trouvez cette lettre (FR/NL) que les citoyens soutiennent.

Face à l’urgence d’un air sévèrement plus toxique que les valeurs limites, ils dramatisent pour porter leur message: Le plan Air-Climat-Energie doit être plus ambitieux, avoir des effets mesurables sur la qualité de l’air, pour ramener le plus rapide possible les taux de dioxyde d’azote et des autres polluants sous les limites autorisées conformément à la directive européenne.

DANS LA PRESSE

Voir des interventions de notre collègue Jeroen Verhoeven ici-dessous (sur BRUZZ) et écouter notre autre collègue Liévin Chemin dans le JT de BX1 du 8 juin

Contact:

Liévin Chemin [FR] - lievin@bral.brusselsgsm: 0492 53 84 85

Jeroen Verhoeven [NL/FR] - jeroen@bral.brusselsgsm: 0477 46 31 81

Le Gouvernement Bruxellois a décidé que toute la Région sera une zone de basse émissions permanente.  Un pas important : des caméras intelligentes contrôleront l’application de la mesure. Cette contrainte contre le trafic polluant rompt enfin avec le passé, mais la mesure devra être renforcée.

** Le reste de l’article est en Néerlandais. Contactez Liévin Chemin pour en savoir plus en Français **

 

Op 2 juni kwam de Brusselse regering samen voor een speciaal overleg over het Lucht-Klimaat- en Energieplan. Bral voerde actie samen met een brede groep van organisaties en mensen die een open brief ondertekenden, die we voor aanvang van de regeringsbijeenkomst persoonlijk aan de ministers overhandigden. Eerder die week lekte in de pers al de inhoud van een brief waarmee de Europese Commissie de Belgische staat officieel in gebreke stelt, omwille van het gebrek aan actie van het Brusselse Hoofdstedelijke Gewest om de uitstoot van NO2 te beperken.

Op de regering van 2 juni werd naat het LKE-plan ook het Regeringsbesluit (in eerste lezing) in verband met de LEZ goedgekeurd. In dat besluit staan onder meer de toegangscriteria op basis van de Euronormen, het territorium (= BHG, uitgezonderd de R0) en een aantal uitzonderingen (mindervaliden, ambulances, oldtimers, ..). 

Ging het hier dus om een regeringszitting die nog zal nazinderen?

Meer dan stickers

In de open brief riepen we de Brusselse regering op om verder te gaan dan de eerder aangekondigde Lage Emissie Zone (LEZ), die zou gecontroleerd worden op basis van stickertjes op de voorruit van auto’s. Iedereen weet dat dergelijke stickertjes geen resultaten zouden opbrengen.

Bovendien “telt enkel het resultaat” herinnerde de Europese Commissie er de Brusselse regering aan. Want dat is ook de interpretatie die het Europees Gerechtshof geeft aan de Europese richtlijn rond minimum-luchtkwaliteitsnormen. Die moesten gehaald worden in 2010. Als die normen niet gehaald werden, moet er volgens de richtlijn een plan bestaan om de normen “zo snel als mogelijk” te halen. Brussel haalt sinds 2010 die normen niet, en heeft nog altijd geen plan om die normen te halen. De Europese Commissie bracht België trouwens al eerder voor het Europees gerechtshof omwille van het niet naleven van de norm voor de uitstoot van fijn stof (PM10).

Brussel heeft de grootste

Antwerpen haalt de luchtkwaliteitsnormen ook niet, maar had wel een plan. Of toch een plan dat de Europese Commissie ervan overtuigde dat de norm in 2015 zou gehaald worden. Antwerpen kreeg dus uitstel.

Antwerpen heeft bijvoorbeeld een plan om in februari 2017 een LEZ in te voeren in de kernstad en op Linkeroever, die zal worden gecontroleerd door zogenaamde ANPR-camera’s (Automatic Number Plate Recognition).

Nu heeft dus ook Brussel beslist om een LEZ in te voeren vanaf 2018, gecontroleerd door zulke ANPR camera’s, en ook nog eens voor het héle gewest. Met zijn 161 km² is de Brusselse LEZ dus een héél pak groter dan die in Antwerpen. Dat is een wijze beslissing, die ook wordt ondersteund door eerder geleverd studiewerk rond de impact van verschillende scenario’s voor een Brusselse LEZ: size matters.

Autogebruik, autobezit, parkeren

De Brusselse regering besliste dus over een degelijk controlesysteem, en een voldoende grote perimeter. Maar wat voor vuile voertuigen mogen er daarbinnen nog rondrijden?

In bijvoegde grafiek zie je dat Brussel een jaar later in het spel komt, maar vanaf 2019 aantakt bij wat er in Antwerpen nog mag rondrijden. De Antwerpse en Brusselse LEZ filteren allebei auto’s op basis van Euro-normen, en ook op basis van de leeftijd van de auto’s (nieuwere auto’s hebben hogere Euro-normen).

En daar zit meteen ook een probleem. Sinds #dieselgate is het officieel: die theoretische Euro-uitstootnormen zijn totaal onbetrouwbaar. In de realiteit stoten auto’s vele malen meer uit. Je kan dus niet enkel op de Euro-normen rekenen om de luchtkwaliteit sterk te verbeteren.

Om de luchtkwaliteit écht merkbaar te gaan verbeteren, heb je minder auto’s nodig, en dan vooral minder dieselauto’s. Extra voordeel: je vermindert de files en je verbetert de mobiliteit.

Omdat er een duidelijk verband is tussen autobezit en autogebruik, moet de Brusselse regering er dus voor zorgen dat een oude auto die de LEZ niet meer binnenkomt, niet zomaar vervangen wordt door een nieuwe (zogezegd minder vervuilende) auto in privébezit. Dat kan door autodeelsystemen zoals Cambio en de Brussel’Air premie verder uit te bouwen. Dat helpt meteen ook om de parkeerdruk in de dichtst bevolkte wijken te verminderen.

En parkeerbeleid Pascal? En de rijtaks Guy?

Andere maatregel om én de luchtkwaliteit en de mobiliteit te verbeteren is een zonale heffing in zones die het best bereikbaar zijn met het openbaar vervoer. Dat is dan een soort “super lage emissiezone met verbeterde mobiliteit”. Ook daar kunnen de ANPR-camera’s dienst bewijzen.

ANPR camera’s worden ook steeds meer gebruikt voor de controle en naleving van het parkeerbeleid, door mobiele eenheden. Ook een ambitieus parkeerbeleid is een hoeksteen van een degelijk mobiliteitsbeleid. De bevoegdheid van mobiliteitsminister Pascal Smet.

ANPR camera’s worden ook gebruikt voor de controle op het betalen van de jaarlijkse rijtaks. Wat ons brengt bij de nood van de hervorming van de autofiscaliteit, een bevoegdheid van minister van Financiën Guy Vanhengel, om de aankoop van auto’s te sturen naar minder diesel.

ANPR: veel mogelijkheden

U merkt het, de ANPR camera’s kunnen dienst bewijzen zowel voor leefmilieu, mobiliteit, als fiscaliteit. En dan vergeten we nog criminaliteit, waar ze nu al hun grootste toepassing vinden.

Nu moet de Brusselse regering verder bouwen op de trendbreuk die ze maakte met haar beslissing, en de mogelijkheden van de ANPR camera’s gebruiken in alle beleidsdomeinen waar nog werk voor de boeg is. Doelstelling: minder auto’s in de stad en de luchtkwaliteit voor alle Brusselaars verbeteren. We vragen dus om (veel) meer, maar de beslissing voor de LEZ is alvast een uitstekend voorgerecht.

Jeroen Verhoeven & Liévin Chemin
Medewerkers mobiliteit BRAL 

Ces dernières années, à Bruxelles, aucun projet d’urbanisme n’a suscité un débat aussi enflammé que l’aménagement du piétonnier. Les avis sont partagés. Ils se basent sur des expériences personnelles, sur des enquêtes, parfois sur des calculs ou des études sérieuses. Le piétonnier vit, mais il n’est pas rare que fassent défaut les fondations d’une discussion digne de ce nom : une bonne dose de confiance et… des données objectives. Or, des données ont été collectées en grand nombre. Le moment est dès lors venu de les rassembler et de hisser le débat au niveau supérieur ! Donc : let’s talk (about le piétonnier) !:

  • 13h - 14h: Salle des opinions (videos, textes, témoignages, speakers corner, stakeholdermapping, ...)
  • 14 h-17 h : présentations + ateliers
  • 17 h-18 h : pause
  • 18 h-19 h 30 : débat

 

Les premiers noms pour la journée d’étude sur le piétonnier sont désormais connus: 

  • Linus Van Hellemont (Social geographer at Brussels Centre for Urban Studies, en train de finaliser son doctorat sur le piétonnier de Bruxelles)
  • Gwenaël Brees (journaliste engagé, Platform Marolles, observateur, e.a. auteur de l’article « l’Art d’enterrer un parking »)
  • Cathy Macharis (VUB - Head of Research group MOBI - Mobility, Logistics and Automotive Technology Research Centre)
  • Florent Verstraeten (de Pro Velo asbl, qui a organisé des comptages de cyclistes dans et autour du piétonnier)
  • Jan Schollaert (Head of Mobility and Public Space Unit at City of Brussels, chef de projet pour le piétonnier de Bruxelles)
  • Olivier Servais (rédacteur en chef de TransportsCollectifs.net)
  • Kobe Boussauw (assistant professor of spatial planning and mobility VUB-Cosmopolis)
  • Nicholas Hemeleers (Citytools - Master in Law and urban planning, specialized in sustainable urban projects and european urban policies)
  • And many more to come… 

 

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"BXL PLANT": une publication bilingue du BRAL sur les défis et changements dans la planification à Bruxelles. 

NOTE: vous trouvez les versions NL et FR soit sur le site, soit dans la publication-ISSUU ci-dessous. 

 

Bruxelles, été 2016

Porte ouverte aux jeunes

ParckFarm T&T zet zijn deuren extra wijs open voor de jongeren uit de buurt.
'Mapping On Site' // Cuisine collective // Information sur les projets de bénévolats.
waar/où? Parckfarm TéT - Parc en chantier de Tours & Taxis
info: caroline.claus@jes.be

Voorstelling van de plannen

Présentation du Plan Particulier du Sol pour Tour & Taxis.
C'est LE plan pour le site et il est en enquête public jusqu'au 16/9.
Het plan wordt voorgesteld door:
La section Plan de la ville de Bruxelles // het studiebureau // L'Agence du Développement Territorial
waar/où? Centre communautaire Maritime, 1080 Molenbeek-Saint-Jean
info: steyn@bral.brussels

Le PPAS tant attendu de Tour&Taxis est en enquête public !

Ce plan particulier d’affectation du sol détermine combien de logements, de ha de parc, de bureaux, d’équipements collectifs … il faudra réaliser sur le site de T&T. Le développement de ce site de 45 ha, à côté du quartier Maritime, Laeken et tout près de la gare du Nord, aura un impact important sur la ville et les quartiers avoisinants.

Le PPAS est le cadre juridique que le gouvernement et le propriétaire privé devra respecter pour toute construction future sur le site. Ce plan important est en enquête public du 18 août jusqu’au 16 septembre.

Le 25 août le Bral organise ensemble avec la plateforme T&T une présentation et débat pour analyser ensemble ce PPAS.

Le plan sera présenté par la section Plan de la Ville de Bruxelles, le bureau d’études et l’Agence de Développement Territorial.

Rendez-vous au Centre Communautaire Maritime à 19h30. Rue Vandenboogaerde 93 à Molenbeek.