Articles
Thème
Dans le cadre de notre projet ‘Connecteurs’, nous vous invitons à un repas et un temps de réflexion partagée autour de Matongé.
Qu’est-ce que Matongé ? Quelles en sont les limites? Qui est-ce que ça représente ?
Programme en deux temps :
• 17h30-19h15 : Repas des connecteurs. Moment convivial d’échange et brève présentation du projet ‘’Connecteurs“. Un verre et une soupe vous seront offerts.
• 19h30-21h30 : Temps de réflexion partagée autour de Matongé, de ses ressources et de la reconnaissance culturelle. Dans le cadre d’une recherche-action-participative, nous aimerions réfléchir autour de ces trois questions avec vous.
Le projet „Connecteurs“ est entre autres une recherche-action-participative menée à Matongé.
Ce projet de recherche-action est né du constat qu’il existe des dénis de reconnaissance culturelle liés à la communauté subsaharienne à Matongé (frustrations et souffrances identitaires, discriminations en termes d’emploi, de logement et d’accès à la culture...). Le projet « Connecteurs » vise à partir des ressources et atouts de Matongé et des personnes qui y habitent ou le fréquentent (compétences, savoir-faire, passions…) pour soutenir des initiatives citoyennes collectives.
La démarche dans laquelle s’inscrit ce projet de recherche-action-participative est la „co-création“, c’est-à-dire la volonté de co-produire des savoirs entre des citoyens, des associations, des chercheurs.
C’est dans ce cadre que nous vous invitons à poursuivre l’analyse entamée depuis mars 2017, dans le but de réfléchir ensemble autour de ces questions : Matongé, ses ressources et la reconnaissance culturelle.
Voici quelques exemples de questions que nous pourrions aborder, à compléter selon vos propositions et intérêts :
- Qu’est-ce que Matongé ? Quelles en sont les limites ? Qui est-ce que ça représente ? Y a-t-il un sentiment d’appartenance / d’identité lié au quartier ? Qu’est-ce qui a fait que Matongé soit Matongé ? Quelles sont ses ressources (du quartier et des personnes : « atouts », compétences, savoir-faire…)? Quel avenir pour Matongé ? Quels sont les enjeux liés à Matongé ? Quelles sont vos rêves/envies pour Matongé ? …
- Y a-t-il déjà un cadre institutionnel qui prend en compte/reconnaît les atouts/les ressources ? Est-ce que vous avez déjà participé à des projets ou initiatives lors desquelles les ressources de Matongé ou des personnes qui fréquentent/habitent Matongé ont été mobilisées/valorisées ? Comment pourrait-on soutenir des initiatives citoyennes sur base des ressources de Matongé ? …
Cette dynamique pourra continuer et évoluer selon les envies et choix du groupe.
- Au plaisir de vous y retrouver,
Piet (BRAL), Kinch (BRAL) & Chloé (ULB)
Cet échange est organisé dans le cadre du projet CitizenDev, mené en partenariat par le BRAL vzw-asbl et la Faculté d’Architecture de l’ULB, soutenu par Innoviris (Institut Bruxellois de soutien à la recherche et l’innovation).
Les données AIR sont essentielles pour comprendre et combattre la pollution toxique dans nos villes. Grace à des initiatives comme Aircasting Brussels du BRAL ou www.influencair.be ... c'est à vous de participer à la récolte des connaissances et à utiliser leurs possibilités d'analyses!
Le 3 mars, du matin (présentations) au soir (workshops) rencontrez des porteurs de projet et leur savoir-faire, construisez votre capteur PM2.5/10 et rejoingez les citizen-scientists en mouvement, avec Civic Lab Brussels, BRAL et plein d'autres groupes citoyens actifs.
En savoir plus: https://www.eventbrite.co.uk/e/towards-clean-air-with-open-data-opendat…
Des ateliers pleins de voitures, des bricos, des grossistes, et beaucoup d’habitants. Quelle mixité donc, mais pour combien de temps encore ? Si d’emblée tout le monde semble d’accord sur l’idée de maintenir les activités économiques –Région, Port, habitants, commerçants… à y regarder de plus près les choses ne sont pas si simples.
Pourtant, c’est bien pour venir voir tout cela de plus près que nous étions une bonne soixantaine ce samedi 10/02 pour la visite-débat du quartier Masui. Et qu’y avons-nous vu ?
- Que les habitants cohabitent volontiers avec les activités économiques, mais seulement si la mobilité/logistique des uns et des autres est améliorée. Et bien sûr aussi si on maintient le dialogue.
- Que si transformer un entrepôts en logements voire bureaux est facile et rentable, l’inverse n’est pas du tout aussi vrai
- Que Perspective Brussels s’occupe de planifier l’aménagement du quartier, mais pas de la mobilité qui reste la compétence de Bruxelles Mobilité
- Que Citydev s’occupe de promouvoir l’économie à Bruxelles et est sur le point d’acheter un bel entrepôt rue Masui.
Bref, pour en savoir plus, suivez notre promenade du 10 février de près, lisez le compte-rendu complet ci-dessous.
Perpective Brussels organise jusqu’au vendredi une ‘Semaine de réflexion’ autour le ‘Plan d'Aménagement Directeur (PAD) Maximilien – Vergote’ Vous trouverez plus d’info sur entre autres le PAD dans le compte rendu et ici.
Le mercredi 7 mars, la commission de concertation de la Ville de Bruxelles examinera les demandes de certificat de la phase I du projet Neo. Au programme : plus de 500 logements, du bureau, des espaces de loisir mais surtout le plus grand centre commercial de Belgique (72.000 m² !) et les 3.700 places de parking qu’il nécessite. Et cerise sur le gâteau, une liaison avec l'A12 à travers le parc de Laeken.
Le projet prend place à côté de l'Atomium. Est-ce pour cela qu’il témoigne d'une mentalité des années 1950 ? En effet, le projet est construit sur une gigantesque dalle de béton recouvrant plusieurs milliers de places de parking, connectées par des trémies à des liaisons vers l'autoroute. La structure sur dalle qui compense la déclivité du site n’est pas sans rappeler un autre «monstre sacré» du modernisme : la Cité administrative. Ville et Région ratent ainsi une opportunité de développer un projet en phase avec les défis du XXIème siècle.
C’est pour cette raison mais aussi parce que ce projet ne répond à aucun besoin[1], qu’il sacrifie la qualité de vie des quartiers pour un produit spéculatif et qu’il nuira gravement à la qualité de vie des riverains que l’UCM, l’Unizo, IEB, BBL, le BRAL, ACV-CSC et Beweging.net Halle-Vilvoorde réunis au sein de la Plate-forme interrégionale pour une économie durable rejointe par l’ARAU, le Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, le Comité Marie-Christine/ Reine/Stéphanie et Tout Autre Chose Laeken s'opposent fermement à Neo I.
Pourquoi Neo va nous asphyxier ?
Le projet prévoit 3.200 places de parking en sous-sol rien que pour le centre commercial auxquelles il faut ajouter les 4.500 places des deux futurs parkings de dissuasion à proximité (de facto des parkings pour le centre commercial) alors que le site dispose déjà de 10.000 places sur le Parking C. Tel quel, le projet entraînera plus de 4.500 mouvements de voiture par heure aux heures de pointe le samedi ou encore 33.160 nouveaux déplacements les samedis après-midi. Un flux tout simplement impossible à absorber dans cet endroit de la Région déjà congestionné. Et incompatible avec les objectifs du Plan Iris 2 qui exige de réduire la pression automobile de 20% d'ici 2020.
Faut-il rappeler que le Conseil d'État a annulé la première version du PRAS qui créait la base légale du projet Neo en considérant qu’elle offrait une sécurité juridique insuffisante pour répondre aux problèmes de mobilité. Un recours est d’ailleurs toujours pendant contre la nouvelle version du PRAS[2].
En outre, le trafic très dense généré par le centre commercial et l’abattage planifié de 749 arbres détérioreront une qualité de l’air déjà médiocre. La norme européenne pour le NO2 n'est déjà pas respectée dans cette partie de la Région (comme en témoigne la carte ci-dessous). L’étude d’incidences pointe d’ailleurs les conséquences sur la pollution de l'air dans les zones résidentielles, notamment avenue des Magnolias où se trouvent trois écoles, ainsi que l’augmentation de la concentration des polluants « évaluée à un doublement des émissions atmosphériques sur les deux principales avenues [Houba de Strooper et Impératrice Charlotte]».
Enfin, rappelons également que les autorités régionales se sont engagées à respecter la « Convention des Maires » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de 30% d'ici 2025 (par rapport à 1990). Si la Région prend cet engagement au sérieux, aucun certificat d’environnement ou d’urbanisme ne devrait être délivré pour le Mall of Europe.
3600 voitures par heure à travers le parc de Laeken pour quel bénéfice public ?
La voirie actuelle, régulièrement congestionnée, est incapable d’absorber le flux automobile crée par le projet : les environs seront totalement bloqués.
Une nouvelle route qui sera bientôt tracée le long des palais du Heysel depuis le parking C n’arrangera rien à ce tableau. L’étude d’incidences analyse donc l’impact d’une liaison vers l’A12 et la présente comme seule alternative valable. Or ce scénario renvoie 3.600 voitures par heure à travers le parc de Laeken le samedi. De la folie pure! D’autant qu’il est probable que le gouvernement bruxellois en paiera les coûts. Un cadeau généreux pour un promoteur privé et empoisonné pour les riverains.
Même avec cette alternative, les voiries seront totalement bloquées, comme le montre la carte ci-dessous.
La seule raison d’être de ce shopping mall est un hypothétique positionnement sur la carte internationale.
Les 72.000 m² de nouvelles surfaces commerciales n’apporteront pas la moindre solution au problème posé par les 140.000 m² de surfaces commerciales inoccupées en Région bruxelloise, ni ne résoudront les problèmes de chômage. Le projet générera surtout des déplacements ou des compensations d’emplois disparus bien plus que des nouveaux emplois nets.
Quant au nouveau parc des sports, il est prévu pour une phase ultérieure : en attendant nul ne sait ce qu’il adviendra des asbl sportives qui utilisent les terrains que le projet transformera en chantier pendant au moins 4 ans. Le promoteur choisit en effet de lancer d’abord la phase la plus rentable de Neo, rentabilité qui est déjà assurée grâce aux 500 logements privés (les 90 logements publics sont là au titre de charge d’urbanisme) et à la maison de retraite (c’est aujourd’hui un produit d’investissement), le centre commercial n’y est donc pas nécessaire.
Rappelons que ce programme prend place sur un terrain public appartenant à la Ville de Bruxelles. Elle devrait y promouvoir des équipements publics dont la Région manque crûment. Or le projet ne prévoit que 15 % de logement publics. Des écoles ? Aucune. Une piscine ? On parle vaguement d’un plan d’eau. Bref, ce projet n'offre aucune valeur ajoutée pour les résidents locaux, et très peu finalement pour les habitants, tant de la Région bruxelloise que de la Région flamande.
Nous voulons un projet d’intérêt général sur un terrain public !
Il suffirait de revenir à une superficie commerciale nettement plus raisonnable de l’ordre de 15.000 m² pour que ce cauchemar cesse. Car sans centre commercial démesuré, nulle besoin de dalle de béton, de milliers de parkings en sous-sol, de trémies et liaisons autoroutières à travers un parc. Les habitants et les sols peuvent respirer, les commerçants prospérer grâce à un réaménagement équilibré du plateau du Heysel. Et, dans ce contexte, le stade Roi Baudouin peut parfaitement être rénové pour assumer ses fonctions de stade national.
Il est encore temps que les autorités bruxelloises fassent preuve de courage et de réelle ambition, se montrent progressistes et redessinent un projet prenant mieux en considération l’intérêt des habitants et des commerçants.
Contacts presse
UCM : Antoine Bertrand, 0494/254478
UNIZO Vlaams-Brabant & Brussel : Anton Van Assche, 0478/444119
IEB: Claire Scohier, 0473/667505
BBL: Erik Grietens, 0474/406394
BRAL: Steyn Van Assche, 0498/132586
ACV-CSC Brussel: Benoît Dassy, 0498/518915
Beweging.net Halle-Vilvoorde: Pieter-Jan Mattheus, Pieterjan.Mattheus@beweging.net
ARAU – Isabelle Pauthier - 02 219 33 45, 0477/330378
Comité Triangle Houba-Sobieski-Heysel, Jean-Charles Verhaege, 0473 91 12 30
Tout Autre Chose Laeken : Werner SIMON, 0484/115.192
Comité Marie-Christine-Reine-Stéphanie: Myriam Simon-Hendrick, 0486/606569
[1]Voir notre carte blanche parue dans Le Soir : http://plus.lesoir.be/141176/article/2018-02-20/le-volet-commercial-de-neo-ne-repond-aucun-besoin.
[2]http://www.ieb.be/UNIZO-IEB-le-BRAL-l-ARAU-et-BBL-en-recours-devant-le-Conseil-d-Etat-contre-la.
Si vous vous posez des questions sur la qualité de l’air que nous respirons à Bruxelles et son impact sur notre santé, venez participer aux ateliers à Molenbeek. Vous y apprendrez comment mesurer la qualité de l’air (Particules fines) dans votre quartier, lors de vos déplacements, sur le chemin de l’école de vos enfants.
Cela vous permettra de devenir des acteurs-scientifiques de votre santé !
Le Musée du Capitalisme a été mise sur pied par une quinzaine de jeunes bénévoles, lors d’une visite au Musée du Communisme à Prague. La visite interactive vous présente l’histoire du capitalisme mais aussi ses limites et ses alternatives. Les thèmes de l’alimentation, la santé, la culture, la consommation ou la finance sont abordés et discutés lors de la visite.
Cette exposition itinérante à récemment ré-ouvert les portes à Anderlecht et nous vous proposons de visiter ensemble ce musée le jeudi 29/3 à 17h30.
Déjà membre ? Alors c'est gratuit.
Pas (encore) membre ? Nous te proposons de le devenir le jour même et le BRAL payera alors ton prix libre OU tu peux aussi payer toi-même. Tout le monde est le bienvenue !
Prix: gratuit pour les membres. Les non-membres payent eux-mêmes le prix libre (prix indicatif : 2€/personne pour défrayer le guide)
Vendredi 23 février 2018, Sénat
Bruxsel’Air, BRAL, Greenpeace, IEW, Straten-Generaal et Ademloos s’adressent au sénat à la demande de la Commission Compétences Transversales. C'est une reconnaissance de l’impact de l’action citoyenne très active : les « sages du pays » réfléchissent à une réponse politique de tous les niveaux de pouvoir . L’Etat doit-il faire rapport en faveur d’une meilleure collaboration des institutions sur la qualité de l’air ?
BRAL est déjà de l'avis, et préconise un Comité interministériel pour la qualité de l'air. Le but? Mettre en place une politique de santé environnementale cohérente qui intègre la surveillance, l'assainissement, la prévention et les soins.
Avec 12 000 décès prématurés et une multitude de problèmes de santé respiratoire et autres en Belgique, la souffrance humaine est beaucoup trop élevée. Mais les coûts sociaux augmentent également; pour les soins de santé, par l'absentéisme et la réduction des performances scolaires, en raison de la perte d'attractivité de l'environnement de vie et de travail.
Rassembler toutes les connaissances et tous les instruments disponibles est nécessaire pour garantir notre droit à un air sain.
Si vous vous posez des questions sur la qualité de l’air que nous respirons aux Marolles et son impact sur notre santé, venez participer à nos ateliers en collaboration avec le BRAL (mouvement urbain pour Bruxelles). Vous y apprendrez comment mesurer la qualité de l’air (Particules fines) dans votre quartier, lors de vos déplacements, sur le chemin de l’école, du travail, ou du CPAS. Cela vous permettra de devenir des acteurs-scientifiques de votre santé !
Nous aimerions profiter de cette rencontre pour vous permettre de découvrir, de discuter, d'être inspirés et de vous impliquer. Le plan de cette première réunion est de vous donner une mise à jour sur la dernière action que nous avons fait dans le quartier, « 24h de la vie d’Ab dans l’enfer des particules fines » de rassembler les personnes qui souhaitent partager des idées et du temps et entreprendre des actions spécifiques motivantes.
La pollution de l’air a un impact important sur notre santé et sur l’environnement.
On estime ainsi que, chaque année, 12 000 belges décèdent prématurément des suites de la mauvaise qualité de l’air en Belgique. Bruxelles n’est pas épargnée par ce problème. Notre capitale, mondialement connue pour ses embouteillages, a en outre récemment été mise en demeure par la Commission européenne pour ses entorses systématiques aux normes de qualité de l’air européenne. Cinq citoyens bruxellois ont récemment décidé de poursuivre le gouvernement de la région en justice.
Organisé par BRAL.Brussels, et La petite Maison du Peuple pour #BACK2NATUREbxl
Avec le soutien de Bruxelles Environement
L'avenir de Tour et Taxis se joue pour l'instant à l'occasion d'une nouvelle enquête publique. La plateforme TouTPubliek, qui rassemble des habitants et des associations engagés dans le quartier de Tour et Taxis, a analysé le plan et considère qu'il ne répond pas suffisamment aux besoins élémentaires des quartiers avoisinants et la région.
C’est pourquoi ils font quelques propositions constructives qui donnent plus de garanties à un meilleur ancrage de la zone dans ses environs.
Le développement de T&T est une occasion exceptionnelle pour trouver des réponses aux défis sociaux, économiques et écologiques. Ne gâchons pas cette occasion !
Que pouvez-vous faire ?
- Envoyez un mail avant vendredi 13/04/2018 -minuit à commissionconcertation.urbanisme@brucity.be. Il faut mettre en pièce jointe la requête ci-inclus pour demander à être entendu à l'occasion de la Commission de concertation qui aura lieu le 25 avril. Cette réunion a souvent lieu pendant les heures de bureaux, ils vous suggèrent dès lors de demander qu'elle ait lieu en soirée. Plus nous serons à le demander, plus nous aurons de chances d'être entendus !
- Joignez vos commentaires ou revendications au mail précédent ou envoyez les séparément à commissionconcertation.urbanisme@brucity.be.
- Demandez explicitement que votre réaction soit jointe au dossier. Plus il y aura de commentaires envoyés, plus nous aurons des chances d'être entendus !
- Venez à la Commission de concertation le 25/04/18. Plus il y aura de présents, plus nous pourrons influencer les débats !
- Informez et mobilisez vos amis, voisins, connaissances et collègues !
N'oubliez pas de mettre TouTPubliek en copie de vos messages envoyés à la Commission de concertation : toutpubliek@gmail.com!
Nous comptons sur votre soutien massif,
La plateforme TouTPubliek
Le prochain Living Lab de Looper, pour plus de sécurité pour tous les usagers de la route, aura lieu le 9 MAI, 19h à l’école CHAMPAGNAT, Rue Richard Vandevelde 4, 1030 Schaerbeek.
Le programme :
19h - 19h15
Accueil avec apéritif
19h15 - 20h
Orateur invité : présentation des projets pour le quartier Helmet par la commune de Schaerbeek
20h - 21h30
Discussion et réflexion: quelles données récolter pour améliorer la sécurité routière ?
En savoir plus ou s’inscire, contactez Florence : florence[a]bral.brussels ou 02 217 56 33.
Et jetez un oeil sur le site du projet, https://looperproject.eu/.
Avec deux débats animés, Bral, avec Crosstalks et Bozar, présente sa dernière publication « Des citoyens dans la cuisine bruxellois. Des recettes pour l'autogestion démocratique ». Curieux ? Venez au débat festif le mardi 29 Mai à Bozar (Terarken 2) et argumentez avec !
Vous pouvez vous enregistrer pour le lancement du livre au site de Crosstalks. Consultez l'événement sur Facebook pour des mises à jour régulières.
Dans 8 recettes délicieusement honnêtes, nous espérons donner aux gens l'envie de travailler dans la cuisine démocratique bruxelloise eux-mêmes. Questions centrales dans le livre : « Le peuple » a-t-il suffisamment d'influence sur la politique ? Et si ce n'est pas le cas, qu'est-ce qui fonctionne le mieux : le consensus ou le conflit ?
Nous approfondirons ces dilemmes démocratiques dans la présentation du livre.
Notre démocratie est dans l'eau turbulente. La méthode et les acteurs sont en jeu. Le droit populiste sème les conflits, divise et polarise. Derrière les coulisses politiques, des lobbyistes ont un doigt dans chaque tarte. Cela crée un contre-mouvement à gauche avec de plus en plus de mouvements et de collectifs qui luttent pour le dialogue et le consensus. Pouvons-nous également défendre les droits sociaux de cette manière ? Ce contre-mouvement peut-il améliorer la société sans conflit ? Et l'expertise peut être utile, mais en même temps, elle est synonyme de tour d'ivoire et d'arrogance. Allons-nous restaurer l'expertise ? Avec les experts citoyens comme nouveau paradigme ?
Vous pouvez vous enregistrer pour le lancement du livre au site de Crosstalks. Consultez l'événement sur Facebook pour des mises à jour régulières.
Programme
17:00 - Table d'hôte de CollectActiv (Tente)
19:00 - Débat 1 : Consensus ou conflit ?
Tant de gens, tant d'opinions. La démocratie est à son mieux quand toutes ces opinions, après un débat rationnel, font avancer une société. Mais que faire si ce n'est pas possible ? Si l'un tire plus fort que l'autre ? D'un autre côté, devons-nous être d'accord avec tout le monde ? Ne pouvons-nous pas faire nos propres choses sans confrontation ? Ou bien une société n'est-elle réellement soutenue que si tout le monde a les mêmes valeurs ?
- Thomas Dawance, Chargé de projet à Community Land Trust Brussel, et impliqué dans le 123, association d'habitants & solidaires
- John’s Mbulula, MRAX (Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Xénophobie)
- François-Olivier Devaux, Réseau Transition
19:45 – Discussion avec le public
20:15 - Pause
20:30 - Débat 2: Experts ou citoyens ?
Il y a beaucoup d'acteurs dans une démocratie. Des experts peuvent être utiles, mais certains les relient à une tour d'ivoire. Faut-il restaurer le statut d'expert ? Et qu'en est-il de la demande croissante des groupes de résidents pour une place dans la prise de décision ? Les experts et les citoyens peuvent-ils se tenir côte à côte en tant qu'égaux ?
- Delphine Morel de Westgaver, Bruxsel’AIR
- Simon De Muynck, Centre d’écologie Urbaine, et IGEAT (Institut de Gestion de l'Environnement et d'Aménagement du Territoire de l’Université Libre de Bruxelles)
- Wolfgang De Meuter, Software Languages Lab au département Sciences informatiques, VUB
21:15 – Discussion avec le public
21:45 - Bar ouverte
Découvrez le livre le 29 mai au Bozar. Lisez le bientôt sur notre site. Ou devenez membre supporter et recevez le livre dans votre boîte aux lettres.
Général
BRAL considère que votre vie privée est très importante. C'est pourquoi nous traitons les données personnelles que vous nous communiquez avec soin. Nous conservons et utilisons vos données conformément aux dispositions de la loi sur la protection de la vie privée au niveau belge et européen.
Vos données seront traitées par nous :
BRAL vzw
Place du samedi 13
1000 Bruxelles
Belgique
info[at]bral.brussels
02 217 56 33
Numéro d'entreprise : 0413.7443.986
Vous pouvez toujours consulter les informations que nous avons sur vous, les faire modifier ou supprimer. Une simple demande suffit. Nous répondrons à votre demande le plus rapidement possible. Nous ne partageons jamais vos informations avec des tiers à moins que vous ne donniez votre consentement explicite à notre demande. Nous pouvons mettre les gens en contact avec nous en tant qu'intermédiaire..
BRAL prend des mesures pour empêcher les tiers d'abuser de vos données personnelles. Si vous soupçonnez que des tiers utilisent vos données de manière illégale via BRAL, veuillez nous le signaler. Si vous avez une plainte concernant la manière dont nous utilisons vos données personnelles, vous pouvez le signaler à la Commission belge pour la protection de la vie privée.
Il est possible que nous ajustions ou modifions notre politique de confidentialité à l'avenir. Nous indiquons clairement ces changements sur cette page. La dernière mis à jour était le 24/05/2018.
Traitement quotidien
Lorsque vous envoyez un courriel à (un membre du personnel de) BRAL, nous ne vous abonnons jamais automatiquement à notre bulletin BRALNEWS.
bralnews
Pour vous abonner à notre newsletter trilingue, veuillez remplir votre nom et votre adresse e-mail en utilisant le formulaire sur notre site web, ou en envoyant un e-mail à info[at]bral.brussels. Nous n'utilisons ces informations que pour la newsletter BRALNEWS. Nous vous tiendrons au courant des activités et des points de vue de BRAL et de nos membres, et nous vous demanderons parfois de soutenir des actions. Après avoir soumis votre adresse e-mail, vous recevrez un e-mail pour confirmer votre inscription. Vous pouvez le faire en cliquant sur le lien dans ce courriel de confirmation.
Nous traitons vos données en utilisant les services de MailChimp. Ils stockent vos données sur des serveurs en Europe ou aux Etats-Unis d'Amérique. Nous mesurons le nombre de lecteurs et le nombre de clics pour améliorer statistiquement notre newsletter.
Vous pouvez vous désabonner à tout moment via un lien dans la newsletter ou en demandant via info[at]bral.brussels.
Presse
Si vous envoyez un courriel à BRAL, nous ne vous abonnerons jamais automatiquement à nos communiqués de presse. Nous pouvons vous poser la question et vous pouvez l'approuver. Vous pouvez vous abonner à nos communiqués de presse en envoyant une simple demande à info[at]bral.brussels. Vous pouvez vous désabonner en cliquant sur le lien dans le communiqué de presse ou en demandant info[at]bral.brussels.
Nous mesurons le nombre de lecteurs et le nombre de clics dans le communiqué de presse. Nous ne partageons pas vos informations avec des tiers à moins que vous ne donniez votre consentement explicite à notre demande.
Membres
BRAL est une organisation membre. Nous conservons les données personnelles des membres dans un registre des membres et nous les traitons pour l'administration des membres. Nous nous basons sur l'article 18 de la loi sur les Associations et Fondations - 2 mai 2002, pour le traitement :
« Le conseil d'administration tient au siège de l'association un registre des membres. Ce registre reprend les noms, prénoms et domicile des membres, ou lorsqu'il s'agit d'une personne morale, la dénomination sociale, la forme juridique et l'adresse du siège social. En outre, toutes les décisions d'admission, de démission ou d'exclusion des membres sont inscrites dans ce registre par les soins du conseil d'administration endéans les huit jours de la connaissance que le conseil a eue de la décision. »
BRAL publie les noms des membres de l'Assemblée Générale sur notre site Web et dans notre rapport annuel. Nous le faisons pour montrer notre soutien à Bruxelles. On demandera aux futurs membres s'ils sont d'accord ou non. Ils ont le droit de refuser de le faire. Les membres existants peuvent retirer leur approbation à tout moment.
Donateurs
Nous conservons les détails personnels des donateurs, le numéro de compte bancaire et l'historique des dépôts.
cookies
Le site Web de BRAL utilise des cookies pour se souvenir de votre langue préférée. Votre navigateur installe des cookies pour faciliter l'utilisation d'un site Web. Vous pouvez supprimer ces cookies de votre navigateur à tout moment. Nous utilisons Matomo (anciennement Piwik) pour mesurer le comportement de navigation sur notre site Web. Nous n'analysons ces données qu'en tant que statistiques anonymes, et non au niveau individuel ou personnel.
Traitement de photos et de vidéos
BRAL respecte la législation sur le droit du portrait (droite sur l'image). BRAL demandera toujours, en cercle fermé, la permission de prendre une photo d'une personne, de la publier ou de la distribuer. Nous ne demandons pas la permission quand la loi ne l'exige pas. C'est de cela qu'il s'agit :
- Images dans un lieu public lorsqu'une personne est dans le domaine public, et que cette personne n'est pas le sujet principal de l'image ;
- Personnes accidentelles dans un lieu public ;
- Des gens dans la foule ;
- Personnes publiques.
Nous demandons une autorisation explicite si nous voulons utiliser l'image/vidéo, entre autres choses :
- Illustration d'un article sur le site Web ou dans un bulletin d'information.
- Une image dans une publication informative / brochure en ligne ou imprimée.
- Sur les médias sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram)
- En tant qu'image de campagne pour un projet BRAL
Fourniture à des tiers
Afin d'atteindre nos objectifs, nous avons des accords avec un certain nombre de tiers. Nous avons passé des accords avec eux afin de sécuriser vos données personnelles. Ce concerne Exact Online, CLB, Aircasting et InfluencAir.
Un certain nombre de grands partis ont adapté leurs conditions d'utilisation pour qu'elles correspondent à la norme GDPR. Ce sont Dropbox, Google (Google Drive / Google Forms / Gmail / ...), Mailchimp, Microsoft (Onedrive, Office365, Outlook, ...), Matomo (anciennement Piwik).
Nous ne divulguons jamais de données personnelles à des parties avec lesquelles nous n'avons pas conclu de contrat de sous-traitance, à moins que la loi ne l'exige et ne le permette. Si vous nous donnez votre consentement, nous pouvons partager vos renseignements personnels avec des tiers. Vous pouvez retirer cette permission en tout temps.
Mineurs
Nous ne traitons pas les données personnelles des mineurs (personnes de moins de 16 ans).
Période de stockage
BRAL ne conserve pas les données personnelles plus longtemps que nécessaire, en fonction de la finalité et de la loi. Les périodes de conservation suivantes s'appliquent :
- Donateurs : 10 ans.
- Bulletins d'information : économisez jusqu'à 3 ans d'inactivité
- Contacts du réseau et participants des projets : jusqu'à ce que quelqu'un invoque ses droits ou jusqu'à ce que l'on découvre que la personne n'exerce plus la fonction.
Sécurité des données
Nous avons pris les mesures techniques et organisationnelles appropriées pour protéger vos données personnelles contre tout traitement illicite :
- Toutes les personnes qui peuvent entendre vos coordonnées au nom de BRAL sont liées par l'obligation de confidentialité.
- Nous avons une politique de nom d'utilisateur et de mot de passe sur tous nos systèmes.
- Nous cryptons les données personnelles s'il y a des raisons de le faire.
- Nous faisons des sauvegardes des données personnelles afin de pouvoir les récupérer en cas d'incidents physiques ou techniques.
- Nous testons et évaluons régulièrement nos mesures.
- Nos employés ont été informés de l'importance de la protection des données personnelles.
Pagination
- Première page
- Page précédente
- …
- Page 232
- Page 233
- Page courante 234
- Page 235
- Page 236
- …
- Page suivante
- Dernière page