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Productive BXL était un trajet intensif entamé au début de l’année 2014 par le BRAL, Architecture Workroom et BBL dans l’intention de répondre sans parti pris à la question suivante : comment faire en sorte que Bruxelles et son hinterland retrouvent un statut de métropole productive ? Le résultat de ce trajet intterrégionale en est une publication illustrée PRODUCTIVE BXL qui présente 6 recommandations concrètes inspirées d’exemples étrangers ainsi que des nouvelles cartes de la métropole bruxelloise. Téléchargez la publication version ISSUU ici.

Le BRAL fête ses 4 décennies d’existence. Un tournant que nous ne comptons pas laisser passer sans rien faire. Qui dit anniversaire dit surtout fête (!), mais il y aura aussi une réception festive. 

27/11 - Réception festive + présentation du nouveau logo 

Nous invitons tout le monde dans nos locaux autour d’un verre et de quelques zakouskis. Ex-présidents, ex-collaborateurs, militants de fraîche date ou plus aguerris, vétérans, jeunes et vieux, polyglottes ou allophones, partenaires et sympathisants : bienvenue ! Au cours de cette réception, nous présenterons la nouvelle voie que nous avons choisie, distribuerons le dernier numéro d’Alert et dévoilerons le nouveau logo du BRAL. Ne ratez donc pas ce bel événement.

Quand ? Le 27/11 – de 18 h 30 à 22 h.

Où ? Bureau du BRAL, place du Samedi 13.

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29/11 - B(R)AL POPULAIRE! avec dj Eddy & Patrick

Samedi soir ! Zaterdagavond ! Feestje ! Party ! Harika! Dans edilim! Dansez ! Pintjes ! Dansen ! Jus bio ! Bira ! Musique ! Remmen los ! Nous fêtons nos 40 ans ! Allez ! Avec a.o. DJ Eddy & Patrick.

Quand ? Le 29/11 à partir de 21 h.

Où ? Café Beursschouwburg (Ortsstraat, 1000 Brussel)

Stay Tune? B(R)AL POPULAIRE Facebook-event.

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Promenade (uniquement pour membres du BRAL)

Promenade guidée en exclusivité avec BRAL et Hans Vandecandelaere (guide urbain et auteur du livre « Bruxelles. Un voyage à travers le monde ») sur le thème de son prochain livre, consacré au quartier du Vieux Molenbeek (sortie prévue en septembre 2015). En exclusivité ? Oui, car pour l’instant, Hans consacre tout son temps dans ce livre mais il est heureux de faire une exception pour le BRAL. Il nous présentera les lignes directrices et les premières conclusions de son travail. Une promenade sur la pauvreté mais aussi la production de richesse, l’économie formelle et informelle, la crise du logement, les brillantes solutions qui y sont apportées, la dynamique du canal, l’immigration ancienne et récente, l’arrivée d’une nouvelle classe moyenne, le réaménagement de l’espace public, l’évolution du commerce, la complexité des dépôts clandestins, etc. Attention, les inscriptions sont limitées.

Quand ? Le 29/11. Rendez-vous à 9 h 30, retour à 13 h.

Où ? Départ de Porte de Flandre.

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FR Prévenez-nous de votre présence à la réception : bral@bralvzw.be ou 02 217 56 33.

Nous avons envoyé cette invitation tous azimuts mais avons certainement oublié certaines personnes. N’hésitez pas à les en informer. Toutes les infos se trouvent sur www.bralvzw.be/40ans

 

En tant qu’association de groupes d’habitants, d’organisations et de Bruxellois, Bral a été impliquée dans l’établissement des premiers schémas directeurs . Dans ce contexte, ces dernières années, nous avons été régulièrement confrontés au déroulement difficile, voire à l’arrêt, de différents projets ‘complexes’ auxquels de nombreux partenaires participent. Les causes en sont nombreuses mais, souvent, d’autres visions politiques auprès des différents départements ou le désaccord politique entre les divers niveaux publics en sont à l’origine.

Vous pouvez lire la suite de la note ci-dessous.

Vous avez envie de cultiver des légumes et des fruits en ville, mais vous ne savez pas comment commencer ? Vous avez déjà quelques bases, mais vous souhaitez vous y connaître un peu plus, dans ce cas ces formations s’adressent à vous ? Le programme a été conçu en deux cycles, l’un plus axé sur la culture détaillée de quelques plantes et l’autre sur les grands principes du potager biologique. Comme toutes les séances sont indépendantes les unes des autres, vous pouvez vous inscrire aux séances qui vous intéressent.

Cycle 1 "Premiers pas vers un potager biologique

Cette série a pour objectif d'accompagner ceux qui n'ont jamais touché au jardinage et de donner les premières bases pour mettre en culture, au fil des séances, quelques légumes de saison. Au cours de chaque séance, quelques plantes faciles seront présentées en détail puis mises en culture.  L'edée est de parler du semis, du repiquage, des besoins spécifiques, des maladies, ... Les explications théoriques se feront en salle, la partie pratique dans les potagers. Choisissez cdessous le lieu et les dates des formations qui vous conviennent le mieux. A ParkFarm: les jeudis de 18h à 20h30 | A la Ferme d'Uccle: les lundis de 18h à 20h30.

Programme

Cycle 2 "Les grands principes du potager biologique"

Cette 2ème série a pour objectif de permettre la mise en place et le maintien au fil du temps, d’un potager diversifié, productif et en bonne santé, sans devoir recourir aux produits chimiques (engrais de synthèse, pesticides...). Les séances seront plus théoriques que celles de «Premiers pas vers un potager
biologique». Elles sont un réel complément pour bien débuter en culture potagère. Les différents thèmes sont repris dans le programme ci-dessous.
Uniquement à ParkFarm les jeudis de 18h à 21h.

Programme

Informations pratiques:

Où?

asbl ParckFarm T&T - Rue Antoine Clesse 27 à 1020 Laeken.  Métro ligne 2 et 6, arrêt Pannenhuis ou Belgica et Bus 89 arrêt "Jubilé". Entrée du parc au 191 bld du Jubilé à 1080 Molenbeek.

Ferme d'Uccle - Vieille rue du Moulin 93 à 1180 Uccle. Train (arrêt Saint-Job), Tram 92 et Bus 60 jusqu'à la Place Saint-HJob, prendre "Montagne de Saint-Job" vers la Vieille rue du Moulin. Entrée du parc au 93 Vieille rue du Moulin à 1180 Uccle (passer la barrière forestière et monter l'allée en pavés jusau'à la Ferme; les véhicules doivent rester à l'extérieur du parc.

Inscriptions:

Documentation et inscriptions par mail: formationpotager@environnement.irisnet.be. Inscriptions obligatoires - Participation gratuite.

 

Selfcity.be répertorie les diverses initiatives citoyennes sur la carte de Bruxelles. Le blog se veut être un carrefour de connaissances et d’expériences en matière d’actions ‘bottom-up’ et des organisations autonomes dans et autour de Bruxelles. Tu peux aussi apporter ta contribution en écrivant un rapport ou une réflexion, en partageant une image révélatrice ou en faisant part d’une initiative captivante. Seules 2 conditions doivent être respectées : premièrement l’action doit être pertinente, d’une manière ou d’une autre, pour Bruxelles ou ses alentours. Deuxièmement, cela doit avoir trait avec la manière dont les groupes de personnes mettent la main à la pâte pour venir à bout de faiblesses, pour mettre en place des solutions aux problèmes de la ville afin de la rendre meilleure, plus belle, plus facile ou plus agréable pour ses habitants.

Ta contribution peut être individuelle mais tu peux aussi offrir tes services à l’équipe. Nous sommes à l’écoute. Envoie-nous un e-mail.

 

Le Centre communautaire Anneessens s’est rempli de monde le 22 Juin dernier, pour notre soirée d’information sur la qualité de l'air à Bruxelles. Nous nous sommes intéressés à l'état de la qualité de l'air à Bruxelles, et avons analysés ce que Bruxelles prévoit à ce sujet. Nous avons également tourné notre regard vers l’étranger. Une chose est claire : la qualité de l'air touche le cœur des bruxellois, qui sont prêts à combattre ce problème. Un rapport.

L'état de notre qualité de l'air

Olivier Brasseur (Bruxelles Environnement) nous guide à travers la forêt de particules fines (y compris le Black Carbon), le NO2 et d'autres polluants. La réalité montre une fois de plus qu’elle se veut complexe, mais nous retenons en particulier que :

  • La pollution de l’air et l'utilisation de la voiture sont en effet intimement liés. Dans le cas du NO2, le lien est encore plus explicite.
  • Lorsque vous achetez une voiture : s’il vous plaît, ne pas acheter des diesel !
  • Un poêle à bois est très romantique, mais désastreux sur le plan des particules fines. Le peu de poêles à bois que nous avons laissent même des traces dans les statistiques. Les sources de particules fines se montrent souvent très diverses, mais l'utilisation de la voiture est assurément l’une d’entre elle. Surtout quand il s’agit de la plus petite et la plus dangereuse de toutes les particules du groupe des particules fines : le Black Carbon. Ces particules atteignent plus profondément les poumons ou se retrouvent même directement dans la circulation sanguine, et sont donc plus nuisibles.
  • La teneur en particules fines comme le NO2 dépasse les normes européennes. L'Europe nous a mis officiellement en défaut  - après 10 ans de palabre - en raison de ce dépassement de normes. Pendant ce temps, le problème du NO2 est devenu vraiment urgent. Alors que la tendance est positive pour les particules fines, le NO2 montre des pics et des dépassements de normes. Et une chose est claire : le problème ne pourra être résolu qu’en s’attaquant au parc automobile - diesels en particulier – et à l'utilisation de la voiture.

La présentation complète de la soirée se trouve en attaché plus bas.

Le gouvernement bruxellois fait des plans pour améliorer la qualité de l'air

Jeroen Verhoeven (spécialiste mobilité du Bral) décortique pour nous le plan intégré Air-Climat-Energie. Il s’agit du plan que le gouvernement bruxellois a rédigé pour répondre aux obligations internationales dans ce domaine.

Nous retenons :

  • Il s’agit principalement d’un plan qui mentionne beaucoup d’autres plans, sans priorités, sans délai. En bref, ceci n'est pas une stratégie. C’est plutôt un catalogue de bonnes intentions, sans engagement de résultat. Pourtant, la directive européenne qui établit des normes de qualité de l'air oblige les gouvernements à s’engager sur des résultats, et pas seulement sur des bonnes intentions.
  • Que l'étude d’incidence associée est elle-même particulièrement critique : “Les modalités de mise en œuvre de plusieurs actions du plan air-climat-énergie ne sont pas toujours connues avec précision. Les objectifs de certaines actions sont parfois très larges et non chiffrés. Les budgets associés aux mesures ne sont pas connus. Ce qui complique l’évaluation des incidences environnementales ou budgétaires tout comme celle des effets pour les acteurs.”
  • Actie 48 : « définir un plan d’action pour la mise en œuvre d’une tarification à l’usage pour véhicules particuliers ». Cette tarification serait tout d’un coup suffisante pour respecter les principales normes européennes en termes de pollution de l'air. Maarrrrr /// ici aussi "définir un plan" n’est pas bon et certainement pas rapide. Nous savons tous combien de temps prend ce genre de procédure dans la Belgique fédérale.
  • Nous proposons de prendre à cœur l’avis de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). , à savoir : « L’OCDE préconise de commencer par instaurer des péages de congestion dans les grandes villes avant d’instaurer un dispositif national. »
  • Lisez tout cela dans notre superbe brochure : “Het kind van de rekening, zin en onzin van rekeningrijden als oplossing voor de Brusselse Mobiliteitsknoop.”
  • Dans l’espoir que le plan intégré Air-Climat-Energie va vraiment améliorer la qualité de notre air, Bral travaille actuellement sur un recours. Gardez notre site internet à l’œil et faites nous savoir si vous souhaitez être tenu informé (bral@bralvzw.be).

Vous trouvez le plan complet sur le site de Bruxelles Environnement.

Que pouvons-nous (encore) faire en tant que citoyen ?

Ugo Taddei est juriste chez ClientEarth et va pour nous plus profondément dans 'the right to clean air in Europe'. ClientEarth est une organisation de droit de l'environnement à but non lucratif qui utilise la loi, la science et la politique pour relever les défis environnementaux clés.

En raison du dépassement des normes de qualité de l'air au Royaume-Uni à de nombreux niveaux et du manque d’ambition des plans de la qualité de l’air, ClientEarth est allé au tribunal pour exiger de meilleurs plans. Et avec succès ! Au cours de la procédure, des décisions ont été prises ou confirmées par différents tribunaux, ce qui montre leur énorme responsabilité et celle des pays européens. Ils ont donc donnés aux citoyens le droit de dénoncer leur gouvernement.

  • le droit au résumé de la qualité de l’air de Monsieur Taddei lui-même
  • le droit de respirer de l’air qui répond aux valeurs limites de l’UE
  • le droit d’exiger que les autorités préparent un plan de qualité de l’air
  • le plan doit contenir des mesures visant à atteindre les limites dans un temps le plus court possible
  • la juridiction nationale doit examiner le contenu du plan

 

À la demande de la salle, nous avons eu des explications sur ce que ClientEarth peut faire pour Bruxelles : ClientEarth peut aider les citoyens bruxellois à mener leur « dossier climat » avec succès. Et ils ont les moyens de payer les frais de justice. L'intérêt du public s’est avéré important. Bral suit le dossier.

Vous trouvez l’ensemble de la présentation en pièce jointe.

Avec ce soutien, les bruxellois concernés ont donc un moyen de levier supplémentaire dans le cas où le plan intégré Air-Climat-Energie se révèle être un flop et que le gouvernement bruxellois ne prend plus sa responsabilité. Mais d'abord et avant tout, nous devons essayer de faire un très bon plan. Consultez notre brochure et faites-nous part de vos suggestions !

Selon le mouvement urbain BRAL, Bruxelles, tout comme d’autres grandes villes en Flandre, est aujourd'hui prête à appliquer une taxation progressive afin d’éviter les problèmes d’embouteillages. Pour en arriver à cette conclusion, le mouvement se base sur des recherches approfondies (littérature) et des entretiens avec des experts, présentés dans la publication « Le dindon de la farce – le pour et le contre de la tarification routière pour résoudre le problème de la mobilité à Bruxelles ».

Bruxelles et la périphérie sont immobilisés par les embouteillages. La population se plaint, des groupes d’intérêts de tous horizons exigent des mesures. Mais ça bouchonne toujours. Le manque de volonté politique de nos autorités sur cette question est sidérant. Il y a trop longtemps que cela dure.

La clé réside dans notre politique. BRAL demande d'abord et avant tout à la Région de Bruxelles-Capitale de suivre les dynamiques existantes dans les autres villes, et de commencer par l’instauration d’une phase-test qui concernerait une zone au trafic automobile limité. Le but : réduire les files et améliorer de toute urgence la qualité de l’air. Non, cela ne coûtera pas grand-chose - cela nous apporterait même beaucoup  - et non, cela ne signifie pas un suicide politique. De plus, le système peut être mis en œuvre rapidement (en utilisant les caméras LAPI qui existent déjà pour prélever automatiquement le montant dû par les voitures).

« Éviter les files? Commencer par l'instauration d’une tarification routière progressive »

Ce serait également un signal clair si la politique ne mettait plus autant les voitures privées à l’honneur, car elles impliquent tant de coûts sociétaux et sociaux. Et ce sont des coûts que, en tant que société, nous ne voulons et ne pouvons plus supporter.

L'élimination de la congestion urbaine et l’amélioration de la qualité de l'air dans toute la Belgique et en particulier à Bruxelles est le but ultime poursuivi. Dans cette publication du Bral, nous expliquons comment nous voulons atteindre cet objectif grâce à la mise en œuvre d’un système de redevances progressive pour congestion.

Lisez "Le dindon de la farce" ci-dessous.

BRAL a introduit une note de réclamation relative au plan de la qualité de l’air (en enquête publique jusq'au 31 juillet). Voir la note en annexe.

Fin juin 2015 la BRAl a organisé une soirée d'info sur le sujet. Un PV et les présentations de cette soirée vous trouvez ici.

Plus d'infos chez notre collaborateur Jeroen Verhoeven.

 

BRAL émet un avis favorable concernant les interventions prévues au niveau des boulevards du centre, mais demande qu’un dialogue ouvert et permanent s’ouvre de toute urgence entre la Ville et les habitants. « L’autoroute urbaine que nous connaissions depuis tant d’années disparaît, tandis que l’espace public disponible au sein de ce périmètre gagne en qualité et devient plus vert. Il était grand temps. Nous demandons par contre qu’il y ait davantage de dialogue et que les riverains soient impliqués dans le processus en cours, mais aussi que les effets de ce réaménagement en dehors du périmètre concerné soient mesurés. Pour un dossier d’une telle ampleur, il aurait fallu réaliser une étude d’incidences à l’échelle du Pentagone il y a longtemps déjà. Un comité d’accompagnement, composé notamment de riverains, pourrait faire partie de la solution », explique Joost Vandenbroele de BRAL.

La demande comporte une série d’éléments positifs. Un grand nombre correspondent d’ailleurs aux recommandations retenues par le jury de l’appel à idées que BRAL a lancé au bureau d’études et à la Ville de Bruxelles en vue d’un parc Anspach (Parc Anspach Park – BRAL, 2012). Le plan prévoit notamment les éléments suivants :

  • Des boulevards « lisibles », avec des zones de flânage, des zones de séjour et des zones de passage
  • Une multiplication des espaces verts, notamment grâce à la création de « pocket parks »
  • Une prise en compte des cyclistes et des personnes à mobilité réduite
  • Davantage de bancs et du mobilier urbain de qualité
  • Une accessibilité garantie pour tous, conformément au concept d’espace partagé
  • Création d’un bassin dans la rue Orts, et de pièces d’eau sur la place De Brouckère
  • Un agrandissement du parc jusque sur la place Fontainas
  • Une meilleure lisibilité des accès vers le métro
  • La création de deux grands parkings souterrains pour vélos

 

Les demandes de permis n’apportent malheureusement aucune réponse à quelques autres questions clés :

  • Comment seront aménagées les « zones de séjour » ? À quoi ressembleront les pocket parks ? Où se situeront les terrasses ? Il faut impérativement éviter qu’à long terme, la zone de séjour se remplisse de terrasses privées. Nous demandons une stratégie pour définir le périmètre de ces terrasses, ainsi qu’un pouvoir de codécision pour toutes les parties prenantes, y compris les riverains.
  • Quelle place est réservée aux initiatives citoyennes ? L’une des propositions retenues dans le cadre du trajet de participation consiste à prévoir un espace que les riverains peuvent s’approprier. Or, il est actuellement impossible de savoir où se situeront ces espaces.
  • De la place est-elle prévue pour le jeu sur les boulevards du centre ? Les intervenants du trajet de participation ont explicitement demandé du mobilier urbain multifonctionnel : les bancs ou les abris pour vélos peuvent également faire office de jeux. Les plans pourraient faire preuve d’une plus grande créativité en la matière.
  • Les interventions temporaires d’aujourd’hui peuvent-elles être intégrées dans le projet définitif ? Un grand nombre de Bruxellois ont déjà adopté les tables de ping-pong et les bancs. Il serait judicieux de vérifier ce qui fonctionne ou non.

 

Pour le reste, BRAL déplore également que les deux dossiers actuellement soumis à enquête publique ne couvrent que le périmètre restreint du piétonnier. « Le dossier pour le réaménagement des boulevards du centre ne peut pas être envisagé indépendamment de la mobilité autour de cette zone, dans le Pentagone et en dehors. Malheureusement, la Ville de Bruxelles n’a toujours pas défini de plan global de mobilité, ni même de plan global concernant uniquement le Pentagone. Le "plan de circulation" n’est pas à proprement parler un "Plan Communal de mobilité", car il n’a été précédé d’aucun trajet de participation, d’aucune étude d’incidences. Ce "saucissonnage" fait qu’il est impossible aujourd’hui d’évaluer l’impact du projet sur la mobilité. Il y a des règles, nous demandons à la ville de les suivre », précise BRAL.

BRAL propose de constituer, durant cette phase de test, un comité d’accompagnement chargé de suivre de près les développements en cours. Les riverains et les associations doivent être représentés au sein de ce comité et l’évaluation doit s’effectuer sur la base de critères transparents. Nous avons envoyé cette proposition déjà en juin 2015 par lettre au bourgmestre Yvan Mayeur, aux échevines compétentes Els Ampe et Ans Persoons ainsi qu’au ministre de la Mobilité Pascal Smet dès le mois de juin 2015, mais à ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse.                                                                                                          

CONTACT BRAL :

Joost Vandenbroele : +32 473 85 35 37 – joost@bral.brussels

  • BRAL va introduire une réclamation dans le cadre de l’enquête publique. BRAL expliquera également ses remarques et suggestions à la commission de concertation du 14 octobre. Une partie d’entre elles figure d’ores et déjà dans le présent communiqué de presse. La note complète se trouve en annexe.
  • BRAL est l’une des cosignataires de la Platform Pentagone, qui regroupe des riverains (et leurs comités), des commerçants et des intervenants isolés autour de ce dossier. Celle-ci a fait circuler une pétition demandant à la Ville de Bruxelles de revoir entre autres son approche (www.platformpentagone.be).
  • La demande – introduite par Beliris – se divise en deux volets : « Réaménagement des boulevards du centre à Bruxelles – Boulevard Anspach – Place De Brouckère – Boulevard Émile Jacqmain – Rue Saint-Michel – Boulevard Adolphe Max – Rue Grétry – Halles Saint-Géry – Rue du Marché aux Poulets – Rue Paul Devaux – Rue Jules Van Praet – Rue des Pierres – Plattesteen – Rue des Teinturiers – Place Fontainas » et « Réaménagement de la Place de la Bourse – Rue Henri Maus – Rue de la Bourse – Rue de Tabora» (zone UNESCO). Chaque demande s’accompagne d’un rapport d’incidences, mais à des fins de visibilité et compte tenu des nombreux chevauchements entre les deux demandes, nous les considérons comme un seul et même dossier dans notre réclamation.
  • À l’heure actuelle, le plan de circulation pour le Pentagone est encore en phase de test, phase qui se prolongera au moins jusqu’en mars 2016. Parallèlement, des procédures d’adjudication sont toujours en cours pour 4 nouveaux parkings souterrains (ainsi que pour l’extension d’un 5e). Or, rien ne prouve que ceux-ci soient réellement nécessaires.

Le site de Thurn & Taxis –site de 45 ha dans le centre de Bruxelles- connait une histoire de planification longue et tumultueuse. Des permis d’urbanisation ont été demandés, modifiés, oubliés et parfois exécutés. C’est ainsi que les bureaux de Bruxelles Environnement sont opérationnels et que les habitants du quartier ont vu des arbres et du gazon surgir le long du parcours qui relie le nouveau parc aux projets de voisinage Parckfarm et L28. Toutefois les habitants et les organisations, aussi ceux qui essayent de suivre le dossier, restent sur leur faim avec de nombreuses questions sans réponses.

Le parc restera t’il accessible à tous ? De quoi aura-t-il l’air en fin de compte? Où se situeront les entrées ? La Coulée Verte , la jonction vers le place Bockstael, verra t’elle le jour ou non ? Où, pour qui et quel genre de bâtiments construira t’on encore sur le site ? Y aura-t-il aussi des écoles et des infrastructures de sport ? La réalisation du projet créera t’elle de l’emploi ? Et où roulera finalement ce tram dont on parle depuis tellement longtemps ? Ou est-ce que ce sera plutôt un bus ?

Pour éclairer quelque peu l’obscurité ambiante,  BRAL, mouvement pour Bruxelles, et Stadslabo JES/Laboratoire Urbain organisent un débat sur l’avenir de Thurn & Taxis.

Une raison supplémentaire d’organiser le débat aujourd’hui est l’arrivée imminente du plan particulier d'affectation du sol (PPAS). Pour une meilleure compréhension retournons brièvement vers 2008. C’est alors que -après un long trajet participatif avec bon nombre de débats- le «plan directeur» pour Thurn & Taxis fut approuvé. C’est la dernière fois qu’il fut question d’une vue globale sur l’avenir du site. Depuis lors nous attendons des mesures supplémentaires pour concrétiser cette démarche dans un cadre juridique, ce cadre juridique étant un PPAS. Et bien que le «plan directeur» a été entretemps dépassé par la réalité, la ville de Bruxelles et le gouvernement ont continué activement à développer un PPAS. Ce plan sera donc aussi LE plan qui déterminera l’avenir du site de Thurn & Taxis. Il est donc grand temps pour un nouveau débat public.

Programme: 19 à 21h                     

  • Présentation des plans par Pierre Lemaire, responsable de projet T&T auprès de l’Agence pour le Développement Territorial (ADT)  
  • Un parc Tout Public? Présentation sur l’accessibilité au public et la gestion sociale de l’espace public dans les environs de Tour & Taxis par Le Conseil des Jeunes Molenbeek et Caroline Claus (JES)​

 

Débat:

  • Rudi Vervoort, Ministre-President du Gouvernement de la Région de Bruxelles Capitale
  • Geoffroy Coomans de Brachène, Echevin de l’Urbanisme et du Patrimoine de la Ville de Bruxelles
  • Sarah Turine, Echevine de la Jeunesse, de la Cohésion Sociale et du  Dialogue Interculturel de la commune de Molenbeek
  • Michel de Bièvre, General Manager T&T (Extensa)
  • Kristiaan Borret, Maître architecte de la Région Bruxelles Capitale

Moderateur: Steyn Van Assche, BRAL

Le débat commence à 19 h, et se déroulera dans le (ex-)restaurant TASSO du Dépôt Royal sur le site de T&T (86c Avenue du Port). Tout le monde est le bienvenu à partir de 17h30 dans le Parckfarm pour une boisson et une collation. Nous marcherons ensemble vers l’endroit du débat.

Le débat sur Facebook.

Contact BRAL, Steyn Van Assche - steyn@bral.brussels - 0498/13 25 86

Contact JES: Caroline Claus - caroline.claus@jes.be - 0492/ 462 996

A propos de BRAL: BRAL, mouvement pour Bruxelles, suit depuis la fin des années 90 le dossier de près et organisa la participation des habitants lors de l‘élaboration du plan directeur. L’organisation initia également l’utilisation temporaire du site. Le mot-clé Tour & Taxis sur le site web vous donnera accès à une vaste série d’articles et de publications sur le site et son environnement.

A propos de JES: JES Stadslabo/laboratoire urbain est depuis 2006 actif en matière de participation de la jeunesse autour du développement de Tour & Taxis.  Dans notre combat pour une ville propice aux jeunes et aux enfants nous avons organisés la participation des jeunes lors de l‘élaboration du plan directeur. Ensuite et en attendant les développements à suivre nous avons organisé pendant trois étés consécutifs une plaine de jeux de construction sur le site. Sur base du savoir acquis sur les besoins (urgents) et sur les souhaits des enfants et des jeunes qui grandissent dans les quartiers environnants, nous avons œuvrés pendants les années passées , et ceci au travers de l’action et du dialogue, pour une approche du renouveau et du développement de l’environnement public dans et autour du site de Tour & Taxis mieux axés sur  les jeunes. Depuis 2014 JES à démarré dans le quartier Maritime voisin une antenne d’animation socio-éducative des jeunes . JES est également un des  partenaires du projet Parckfarm à Tour & Taxis. Plus d’infos sur JES & sur la participation dans l’espace public (nl)

 

Le vendredi 9 octobre il y a eu un débat sur Télébruxelles entre Jeroen Verhoeven (BRAL) et Joost Kaesemans (FEBIAC). Regardez le débat ici. (à partir de 51 secondes).

Vous pouvez lire notre point de vue sur la taxation au kilomètre, le péage urbain, et la taxation zonale dans notre publication: "Le dindon de la farce. Le pour et le contre de la tarification routière pour résourdre le problème de la mobilité à Bruxelles".  (aug.2015)

Le 12 octobre promoteurs, politiques et maitre architecte se sont réunis à Tour & Taxis pour expliquer les dernières nouvelles relatif au développement du site. Est-ce que le parc sera public ou fermé par des grilles ? Quels seront les liens entre le site et les quartiers avoisinants ? Quels sont les équipements collectifs prévus ? Quel type de logements ? Découvrez les réponses et bien d’autres éléments dans la présentation de l’Agence de Développement Territoriale (annexe) et dans ce compte rendu.

Pour les images et les informations complémentaires, nous vous renvoyons à la présentation de l'Agence de Développement Territoriale (ADT) que nous joignons en annexe. Les visualisations donnent une idée des volumes et de l'implantation. 

Le parc?

  • Le parc sera bien public. Pour rappel, la majeure partie du site est la propriété d'un promoteur (Extensa). Il y aura une avenue publique de 22 m avec rangées d'arbres et un site pour le tram dans le prolongement de la rue Vandenboogaerde. Cet axe nord-sud reliera le quartier Maritime (Molenbeek) et le quartier Marie-Christine (Laeken). L'avenue constituera un accès important au site et donc au parc. Pour la clarté, ce passage ne sera PAS accessible aux voitures.

 

  • En outre, la première phase du parc – la partie qui est déjà aménagée – sera prolongée en direction de l'avenue du Port pour créer un parc dans l'axe est-ouest. Le parc tel que revendiqué dans le manifeste Tour & Taxis TouT Publiek (2007) et la liaison nord-sud seront donc une réalité. Pour rappel, il n'était pratiquement pas question de parc en 2004, et encore moins de liaisons vertes vers la place Bockstael et le parc Béco (actuelle allée du Kaai). Le caractère public du parc souhaité de manière unanime formait un point important du débat. Ainsi, le maître architecte a dit : « Si un parc est public, il doit l'être de manière radicale. » Le propriétaire n'y était pas opposé. Cette information constitue donc un progrès. Il en va de même de l'accès par la place du Laekenveld et le pont du Jubilé. Par contre, l'accès prévu au coin de la rue de l'Escaut et de la rue Picard a été retiré des plans. Pour ceux qui suivent ce dossier depuis longtemps, ces questions sont connues depuis longtemps, mais n'étaient pas acquises jusqu'à présent. Ainsi, la demande de permis récente ne prévoyait pas d'accès au parc.

« Si un parc est public, il doit l'être de manière radicale. » 

  • Le débat a également clarifié que le parc et/ou sa gestion ne seront pas cédés aux pouvoirs publics en une fois. À terme, ce transfert implique que Bruxelles Environnement sera responsable du parc. Pour Bral et JES, cela constitue la meilleure garantie que le parc sera vraiment public et la seule manière de gérer le parc Tour & Taxis de manière cohérente avec les parcs environnants. Mais ce point n'est pas encore clair. Pour le promoteur le transfert devrait se dérouler par étape.

 

  • Lisez ici l'article paru dans Brusselnieuws à l'occasion du débat.

Liens sociaux?

  • À propos du parc:  JES et les habitants des quartier avoisinants ont souligné qu'il fallait non seulement des liens physiques, mais aussi des liens sociaux. À cette fin, l'implication du quartier et des associations locales est très importante. La demande a été formulée de construire ces liens sociaux à partir de MAINTENANT et de consulter les partenaires locaux. Le propriétaire se réjouit de disposer de points de contact plus clairs, notamment avec le Conseil des jeunes de Molenbeek. Outre des gardiens de parc classiques, des intervenants ont également demandé d'engager des personnes actives dans la médiation sociale qui ont les compétences nécessaires pour assurer le bon déroulement de la cohabitation dans ce nouvel espace public. Bruxelles Environnement, le service régional qui devrait en assurer la gestion à terme (voir point précédent), doit également y jouer un rôle

 

  • À propos des futurs habitants: des participants ont indiqué que différentes associations et habitants du quartier s'efforcent d'accueillir et d'intégrer les nouveaux venus. Ils souhaitent également le faire avec les futurs habitants du site. Pour l'instant, il s'agit d'initiatives bénévoles disposant de peu de moyens. Bref, il faudra plus de soutien. L'échevin compétent a dit qu'il y était favorable. L'emploi et les équipements collectifs sont également des leviers importants qu'il faut utiliser pour intégrer le site dans son environnement.

Habitations?

  • Le type d'habitations prévues sur le site a également fait l'objet de questions. Pour l'instant, il n'est pas question de construire des logements sociaux, mais bien de logements « conventionnés ». On peut les comparer avec des habitations de classe moyenne comme Citydev (ancien SDRB) en construit aussi. Leur construction est imposée comme charge urbanistique dans le cadre des permis qui ont déjà été accordés. L'arrêté du gouvernement du 23 avril 2009 impose 30 % de logements conventionnés. Mais l'analyse juridique a montré qu'un plan particulier d'affectation du sol (voir « Qu'en est-il du PPAS ? ») ne peut pas l'imposer. Il faut donc rester vigilant et poursuivre le débat (politique) à ce sujet. Le reste des habitations se situera dans le segment plus cher.

 

  • Dans une première phase, on construira des habitations dans la zone M près de la gare maritime (voir la présentation de l'ADT). Jusqu'à récemment, cette zone faisait l'objet d'un mélange obscur de permis octroyés précédemment et de leurs modifications. Suite à notre demande entre autres, un nouveau plan directeur a heureusement été établi pour cette zone (lien communiqué de presse http://www.bral.brussels/fr/artikel/tour-taxis-pas-de-permis-pour-le-bâ…). Il sera développé par le biais d'un concours dirigé par le Maître Architecte. L’îlot qui est déjà en construction n'en fait pas partie.

 

  • Le propriétaire souhaite prévoir de la place pour des équipements collectifs, mais demande des engagements des pouvoirs publics.

Équipements collectifs?

  • Le développement d’un nouveau quartier doit inclure des équipements collectifs. Lors du débat, nous avons appris qu'il y avait des projets de création d'une école. Une enquête révèle qu'il n'y a pas encore d'accords officiels avec des écoles en particulier, mais la Région, la ville de Bruxelles et Extensa ont l'ambition de construire deux écoles (sans doute une francophone et une néerlandophone). Le propriétaire souhaite prévoir de la place pour des équipements collectifs, mais demande des engagements des pouvoirs publics pour remplir les fonctions et d’y installer des écoles, crèches etc, mais les pouvoirs publics s'abstiennent de répondre. On attend donc qu'ils clarifient la situation.

Emploi?

  • Outre des habitations, le promoteur développe surtout des projets de bureaux sur sa partie du terrain (principalement côté Avenue du Port). Sur sa partie, le Port de Bruxelles développera à nouveau des activités industrielles (à ce sujet, voir le « projet TACT » dans la présentation de l'ADT). Comme information nouvelle, on a appris que l'implantation paysagère de cette partie du site sera également dessinée par Bas Smets qui a conçu le futur parc. Cela renforcera la cohérence paysagère du site.

Mobilité?

  • Une autre question portait sur le tram éventuel qui traverse le site et surtout dans l'avenue Bockstael. Cette question suscite beaucoup d'inquiétude. Il n'y a pas eu de réponse claire, parce qu'il n'y a pas encore de décision relative au désenclavement par les transports publics. Mais on s'accorde sur le fait qu'une desserte efficace est une nécessité absolue et qu'un tram serait parfaitement adapté. Mais il n'y a toujours pas de décision définitive quant au trajet exact. Note de la rédaction : un tram passant dans le site présente l'inconvénient de partager le parc en deux, mais l'avantage de garantir le caractère public du parc et de désenclaver de manière optimale le pôle emploi sur la partie du port de Bruxelles et de la future école.

Le tram éventuel qui traverse le site et surtout dans l'avenue Bockstael suscite beaucoup d'inquiétude.

  • Quoique la ville de Bruxelles ne soit pas favorable à la création du pont Picard (le pont au-dessus du canal en prolongation de la Rue Picard) et préfère désenclaver le site par le pont des Armateurs, il a bien été décidé d'aménager le pont Picard. Des études de mobilité antérieures montrent également la nécessité de ce pont.

 

  • À propos du réseau RER (et de la station Pannenhuis), on a fait remarquer qu'elle ne se trouve pas à proximité de la zone de bureaux prévue. Il faut donc encore réfléchir à la mobilité à travers le parc.

 

  • Pour la mobilité automobile sur le site, voir le point « parc ». On remarque que les voitures venant de la rue Dieudonné Lefèvre pourraient  traverser le site vers l'avenue du Port. Elles passeraient donc devant une des deux écoles prévues et tourneraient à gauche avant d'arriver au parc.  

 

Qu'en est-il du PPAS ?

  • Le plan particulier d'affectation du sol (PPAS) pour l'ensemble du site qu'on attend depuis 2009 n'existe pas encore. Tous les partenaires concernés disent que le dossier évolue dans la bonne direction et qu'on entame la dernière ligne droite. Mais la fin semble incertaine. C'est surtout la ville de Bruxelles qui semble encore avoir des questions. Vu le dépit évident, nous demandons à la région et à la ville d'éviter les combats de coqs à propos de l'avenir de Tour & Taxis. Les riverains et les Bruxellois ne peuvent qu'en faire les frais. Il faut continuer à travailler sereinement.

 

Et maintenant ?

  • À la question de savoir comment les différents acteurs informeront clairement les intéressés, l'ADT a proposé d'ouvrir une sorte de « maison de l'information » à propos des projets relatifs à Tour & Taxis. Extensa veut également contribuer à une meilleure information.

 

  • À propos de la participation du quartier dans la suite du développement du site et plus particulièrement du parc, rien ne s'oppose à ce que cette participation commence maintenant (suggestion proposée lors du débat). À cet égard, on peut tirer des leçons des expériences du ParckFarm T&T et de l'Allée du Kaai, mais aussi des nombreuses autres initiatives déployées dans les quartiers voisins. Nous organisons une rencontre informelle à ce sujet au ParckFarm T&T à une date indéterminée en novembre.

 

  • Le PPAS ne sera vraiment terminé qu'en 2016. Quand ce sera le cas, une enquête publique d'un mois permettra à tout le monde de prendre connaissance des plans et de faire des remarques. Normalement, il y aura une autre soirée d'information et de débat avant ou au début de cette enquête publique.

 

Finalement le BRAL et JES s’engagent également à continuer à suivre les avancements des dossiers et à continuer de protéger les intérêts des quartiers avoisinants tels que décrit dans le manifeste Tour & Taxis,  rédigé par Bral de 25 associations locales et régionales avec les éléments clés de ce qu'elles estiment une bonne réaffectation de Tour & Taxis. Il date de 2007 mais reste d'actualité. Visitez régulièrement nos sites ou inscrivez-vous à nos newsletters.

Contact BRAL: Steyn Van Assche