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Si vous devenez membre, vous vous impliquez de manière politiquement indépendante pour un Bruxelles durable.
Ça veut dire que vous croyez en la vision du BRAL et vous voulez faire avancer notre travail, par exemple en soutenant nos actions.
Nous avons besoin de votre soutien dans notre lutte pour une ville respectueuse de l'environnement, abordable et inclusive.
Concrètement ?
- Vous ferez partie d'un vaste réseau de personnes et d'organisations qui se préoccupent de Bruxelles. Dans nos « BRALcafés », vous pouvez échanger des idées sur les thèmes du BRAL pour faire avancer la ville.
- Vous donnez à notre vision une voix plus forte
- Vous recevrez toutes les publications du BRAL (papier et numérique). D’ailleurs, nous avons besoin de votre adresse. Envoyez-nous un courriel avec votre adresse (info at bral.brussels) et recevez nos courriers !
- Vous serez invité à tous nos événements et bénéficierez de tarifs préférentiels.
- Vous pouvez emprunter des livres à notre bibliothèque
Devenir membre est simple comme bonjour
- La cotisation s’élève à 25 euros par an. Vous pouvez virer ce montant sur le compte BE74 5230 8083 3007 avec la communication « Cotisation + nom et/ou association »
- Vous pouvez nous soutenir comme individu, un groupe de riverains ou une association. Chaque année, nous vous invitons à renouveler votre adhésion.
Voulez-vous faire encore plus ?
Vous souhaitez organiser un événement avec le BRAL ? Vous souhaitez nous présenter votre organisation ? Voulez-vous également nous aider à déterminer l'orientation de BRAL lors de notre assemblée générale ? Contactez Raf (raf[at]bral.brussels). Il se fera un plaisir de vous rendre visite.
Bruxelles offre toutes les chances à ses habitants
Bruxelles est une ville qui accueille ses habitants et donne des opportunités de développement et de promotion sociale. Dans cette optique, l’éducation, le développement économique, l'emploi et la redistribution sociale sont des éléments cruciaux. Les différences sociales ou économiques entre les personnes sont légères. Tout le monde peut se permettre un logement décent et adéquat. Le droit à l’habitat l'emporte sur le droit à la propriété privée.
Bruxelles est une ville verte et compacte
Bruxelles est une ville qui, afin de répondre à la croissance de la population, est condensée de manière réfléchie et efficace. L’inoccupation n’existe plus. Quelques zones non construites abritent de nouvelles maisons, des commerces, de l’emploi et des services. Les zones restantes sont devenues nature en ville. Les bâtiments et la nature sont intimement liés. Les espaces verts forment un réseau, afin que l’air frais et sain puisse circuler entre les édifices et afin d’encourager une biodiversité maximale.
Bruxelles est une ville hétérogène
Bruxelles est une ville où prime la mixité sociale et fonctionnelle. Il n'existe pas de grandes différences entre les quartiers, pas de zones monofonctionnelles et une grande variété de fonctions se rencontrent au pied des bâtiments. Chaque quartier bénéficie d'un accès proportionnel aux équipements publics, à l'air pur, ...
Bruxelles bouge durablement
Bruxelles est une ville où chaque résident - même les moins mobiles - et chaque utilisateur se déplace de manière douce et écologique. Grâce à la proximité des fonctions, la plupart des déplacements se font à pied ou à vélo. Pour les distances plus longues, il existe des bandes vélo rapides et des transports publics hautement écologiques et ponctuels. Tout est produit à proximité, et non pas à l'autre bout du monde. Les produits sont livrés via un système de transport de marchandises écologique et performant. L’utilisation de la voiture a diminuée et les résidents et usagers de la ville ont ainsi réappropriés l'espace public qu’ils ont remplis de verdure et de zones de loisirs.
Bruxelles est moins dépendante des énergies fossiles
Bruxelles est une ville qui économise radicalement l'énergie, aussi bien l'électricité que le chauffage. Bruxelles génère sa propre électricité, grâce à une multitude de petites sources d'énergie verte. Cette énergie est distribuée via un réseau efficace. L'air de Bruxelles est ainsi plus pur.
Bruxelles produit moins de déchets
Bruxelles est une ville qui produit moins de déchets. Les citadins et les utilisateurs consomment beaucoup moins et tous les matériaux et produits sont compostés ou recyclés. Les ressources sont utilisées avec parcimonie. L'eau est purifiée et réutilisée autant que possible.
Bruxelles est une ville créative
Bruxelles est une ville ambitieuse, créative et dynamique. Les idées et les initiatives novatrices en rapport avec la gestion de la ville, l'écologie, l'art et l'architecture bénéficient d'un espace pour se développer. Ces derniers sont pleinement soutenu par la politique.
Bruxelles est une ville cocreative
Bruxelles place la participation citoyenne au cœur de sa politique. Tous les pouvoirs publics, les résidents et les usagers de la ville participent au processus de réflexion et collaborent lors de toutes les étapes de la politique : préparation, mise en œuvre, suivi et évaluation. L’autorité travaille autant que possible de manière intégrée, y compris au-delà des frontières régionales.
BRAL, Janvier 2011
Le BRAL comme mouvement
En tant qu’association de soutien aux habitants, aux organisations et aux bruxellois, il est primordial que le BRAL soutienne ses partisans et ses membres qui se battent pour un Bruxelles durable. Le BRAL appuie et soutient ainsi les habitants. Mais les actions et les positions du BRAL prennent aussi forme - et sont mises en œuvre - en consultation avec nos membres et sympathisants. Nous préconisons une politique participative et nous encourageons autant que possible la participation interne de nos membres et sympathisants.
Cela nécessite naturellement une certaine ouverture, et aussi une présence sur le terrain. Nous pouvons ainsi détecter et renforcer les nouvelles dynamiques et les nouvelles tendances.
En outre, le BRAL travaille constamment au tissage d’un réseau d'acteurs urbains de toutes sortes comme des universitaires, des acteurs privés, des habitants, des bureaux d’étude, des organisations de la société civile, ... Ensemble, nous construisons une ville durable.
Le BRAL comme interlocuteur auprès des pouvoirs publics
Le BRAL est officiellement reconnu comme partenaire du gouvernement régional de Bruxelles. Le BRAL est membre de la Commission régionale de la mobilité, du Conseil régional de l'environnement et du Conseil Fédéral du Développement Durable. Nous défendons systématiquement notre vision au sein de ces commissions.
Nous livrons aussi des conseils d'expert à divers organismes gouvernementaux, parlementaires et groupes de travail, comités de soutien et autres consultations formelles. De même, nous faisons entendre notre voix de différentes manières auprès des décideurs lorsqu’il s’agit d’accords non officiels.
La combinaison de tous les moyens est essentielle. Les actions publiques et des communiqués de presse vont de pair avec la participation à des comités consultatifs, mais aussi avec des contacts personnels avec les décideurs politiques à différents niveaux. Il n’est en effet pas possible de construire la ville selon sa vision si l’on reste seul dans son coin. La transparence et le dialogue entre les différents acteurs constituent des éléments tout à fait impératifs à nos yeux.
Le BRAL comme pôle de connaissance et d'innovation
Pour être un partenaire pertinent du pouvoir public et pour soutenir les habitants dans leur lutte, il est important d'être au courant des derniers plans et projets, mais aussi des études académiques et des concepts, des projets d'autres acteurs de la ville, etc. Et ce, tant à Bruxelles, qu’au niveau de la Flandre, de la Belgique ou de l’Europe. Le BRAL échange des connaissances avec des partenaires bruxellois, belges et internationaux. Le BRAL diffuse aussi sa connaissance auprès de ses membres et d’un réseau plus large via divers moyens de communication.
Les défis de Bruxelles sont aujourd'hui tellement importants qu’ils nécessitent le développement de nouveaux concepts, de nouvelles façons de développer notre ville et donc une innovation permanente. Et Bruxelles déborde d'innovation. De ce côté-là, le BRAL est ouvert, et encourage la collaboration et la création d’espaces qui permettent de renouveler les actions et les projets.
Le soutien que nous recevons de nos membres est l'axe principal du BRAL. Le BRAL compte deux types de membres : les membres adhérents et les membres de l'assemblée générale. Les membres adhérents croient en notre vision et aiment parfois participer à une activité (de membre) afin de se discuter ou de soutenir une action, mais ne ressentent pas nécessairement le besoin de s'impliquer dans le BRAL en tant qu'organisation. Devenir membre adhérent est très facile !
Les membres de l'assemblée générale s'engagent davantage dans l'organisation. Ils et elles veulent participer à l'orientation du BRAL. L'assemblée générale du BRAL se réunit au moins deux fois par an. Enfin, il y a les bénévoles non rémunérés du conseil d'administration du BRAL, qui dirigent l'organisation sans but lucratif.
Conseil d’administration
Le conseil d'administration, composé de cinq administrateurs au minimum et de treize administrateurs au maximum, gère l’asbl BRAL. L'assemblée générale nomme les administrateurs. Le président de l'assemblée générale est également président du conseil d'administration. Nos administrateurs exercent leurs fonctions à titre gratuit.
Voici la composition de notre conseil d'administration actuel (depuis mai 2024) :
- Tom Lootens (président)
- Gaëtan Van der Smissen (trésorier)
- Ginette Bauwens
- Sarah Hollander
- Patrick Deboosere
- Kristien Van den Houte
Assemblée générale
Le BRAL est fier que ces membres fassent partie de notre assemblée générale (dernière mise à jour 12/2022) :
- Beursschouwburg (Melat Gebeyaw Nigussie)
- Beweging B-H-V
- Brukselbinnenstebuiten vzw (Anne Brumagne en Tine Debosscher)
- Brussel Natuur vzw (Mario Ninanne)
- Buurthuis Bonnevie vzw (Félicien Dufoor)
- Buurtwinkel Aneessens (Bart Van de Ven)
- Cycloperativa (Yanick d'Otreppe)
- De Groene Wandeling Neder-Over-Heembeek vzw (Benoît Elleboudt)
- Dewey asbl (Mathieu Simonson)
- EUGC (Frans Nijs, Carolien Zandbergen)
- Fietsersbond vzw - Brussel (Roos Munk)
- G.A.Q. vzw – Brussel Noord-Oostwijk (Christian Dekeyser)
- GC De Markten (Isolde Boutsen)
- GRACQ (Florine Cuignet)
- Maritiemcomité - Havenwijk (Rose-May Liebaert)
- Natuurpunt vzw - Brussel (Kenny Meganck)
- Ploef! (Indira Osumba)
- Pro Velo (Jasmina Fiase)
- Vereniging Leopoldswijk en Europese wijk van Brussel vzw (Renée Coen)
- walk.brussels vzw
- Wijkcomité Neerpede blijft! (Johan Van Waeyenberge en Steven De Ridder)
- Ginette Bauwens
- Liévin Chemin
- Etienne Christiaens
- Mie Demin
- Pierre Demol
- Luk De Raeve
- Patrick Deboosere
- Hans Eelens
- Nicolas Goubau
- Christine Goyens-Le Maire
- Sarah Hollander
- Tom Lootens
- Albert Martens
- Christian Pollok
- Fabien Stiénon
- Thierry Timmermans
- Anton Van Assche
- Kriestien Van Den Houte
- Gaëtan Van der Smissen
- Hanne Van Reusel
- Georges Vanhamme
- Jean-Pol Van Steenberghe
- Sofie Vermeulen
- Gudrun Willems
340 réactions écrites, un grand nombre de riverains et d’associations : le débat était animé ce mardi à la commission de concertation du très contesté projet Lebeau-Sablon.
Ce fut très instructif grâce aux nombreuses interventions très construites des opposants dont celle du comité Sauve Lebeau Sablon, et nous y avons (ré-)entendu, entre autres choses, ceci :
- Ce projet -cheval de Troie gigantesque d’un parking gigantesque- se trouve déjà en présence de pas moins de 1500 places de parking dans un rayon de 10 min à pied
- Ce n’est pas parce que le bâtiment actuel est déjà bien plus haut que ses voisins que le futur doit refaire la même chose et déroger aussi loin des limites de hauteur du RRU. Pour rappel, nous nous trouvons là en zone de verdoiement prioritaire selon le PRDD. Si projet il y a, il serait plus avisé pour le quartier d’alléger/ouvrir la volumétrie existante (sans tout détruire) et valoriser les connexions piétonnes autour de l’immeuble, vers l’Albertine et le Sablon. Une vision d’ensemble et long terme du quartier serait opportune.
- La géothermie, cette technique permettant de chercher loin sous la terre de la chaleur pour le bâtiment, peut comme dans ce projet peser en faveur d’une démolition-reconstruction car c’est une source importante d’énergie renouvelable à même de compenser le bilan énergétique et qu’elle demande un accès au sol. Ce que les études du RIE ne font pas apparaître, c’est que même une rénovation pourrait permettre de la géothermie !
- ...Et bien sûr : démolir et reconstruire la quasi entièreté d’un îlot qu’il serait possible de maintenir, c’est aujourd’hui tout simplement anachronique.
L’échevine Ans Persoons a annoncé que la commission de concertation se prononcera a priori fin de semaine prochaine. Le BRAL, Inter-Environnement Bruxelles et l'ARAU soutiennent les riverains et demandent un avis négatif. Affaire à suivre !
L’Autre Atelier, une initiative du BRAL, Filter Café Filtré Atelier et Heroes for Zero, descendait dans la rue pour améliorer la sécurité routière à Bruxelles. Pendant trois balades nous avons inspecté la situation à Ganshoren, Sint-Gilles et Evere.
Avec les antennes locales de citoyens de Heroes for Zero 1083/0, 1060/0 et 1140/0, l’Autre Atelier est descendu dans la rue pendant les marches "Boots on the ground" en partant de la perspective de l'expérience quotidienne. Au cours des promenades, les problèmes d'infrastructure, de politique criminelle , etc. sont illustrés et discutés.
Les parcours à Ganshoren, Sint Gilles et Evere ont toutes été documentées dans un film de 4 minutes et le résultat peut être trouvé sur notre canal Youtube.
- Lien vers le docu de la promenade à Ganshoren : https://www.youtube.com/watch?v=0y-szTZKS0E
- Lien vers le docu de la promenade à Sint-Gilles : https://www.youtube.com/watch?v=OtGtDTq4zmc
- Lien vers le docu de la promenade à Evere : https://www.youtube.com/watch?v=E71d-EG_F9Y
L'Autre Atelier est une contribution des mouvements citoyens BRAL, Filter Café Filtré Atelier et Héroes for Zéro au processus de planification du nouveau plan d'action pour la sécurité routière 2021-2030 du gouvernement bruxellois.
L'objectif de l'Autre Atelier est de sortir le débat sur la sécurité routière du contexte formel du processus de planification et de l'amener à l'endroit qui compte : la rue. Nous invitons les habitants de Bruxelles à s'inspirer de villes inspirantes, à observer les défis sur le terrain et à imaginer à quoi pourrait ressembler une ville sûre et saine à l'avenir.
La semaine dernière, nous avons rencontré le cabinet Vervoort au sujet du Plan B Josaphat. La lutte autour de Josaphat porte principalement sur la première phase du PAD Josaphat. Cette phase 1, comme prévu actuellement, concrétise la friche à l'Ouest des voies. L'arrêt de la première phase a été la première demande du consortium de #PlanBJosaphat.
Malheureusement, il y a peu de bonnes nouvelles à signaler. Heureusement, la phase 1 n'arrivera pas tant qu'il n'y aura pas de nouveau PAD. Mais que contiendra ce nouveau PAD ? Le cabinet n'a pas montré ses cartes au cours de notre conversation. Ils ont déclaré qu'ils prendront en compte nos préoccupations et qu'ils "feront ce qui est possible" pour nous accommoder. Ce qu'ils n'ont pas fait : montrer leurs plans ou indiquer de quelle manière ils veulent nous rencontrer. Une conversation ouverte et transparente est difficile. Ce qui est clair, c'est qu'ils ne veulent pas lâcher la phase 1. Dommage. De plus, aucun moment approfondi/groupe de travail/réunion avec les partenaires de #PlanBJosaphat n'est prévu avant que le gouvernement lui-même ne prenne officiellement une décision. Notre main tendue pour la cocréation n'a donc pas été acceptée.
Pour rappel, avec #PlanBJosaphat nous avons proposé un principe clair ("laisser le vert là où il est, et construire là où il est déjà pavé") qui permettait encore diverses interprétations- concrètes, clairement démontrées par cinq scénarios ambitieux. Le gouvernement choisit de laisser toute cette créativité et ces connaissances inutilisées. Quelle occasion manquée !
Le timing utilisé par le gouvernement Vervoort est également désastreux. L'étude d'impact supplémentaire sera terminée à la fin du mois de février, et non à la fin du mois de janvier comme prévu initialement. Début mars, ils décideront de ce qu'ils considèrent être le meilleur scénario. Ainsi, quelques jours après l'étude, un nouveau plan serait déjà prêt ? Ne soyons pas stupides, le nouveau plan est déjà largement prêt, sinon ce timing est impossible. Le fait qu’il poursuivent la phase 1 sans attendre cette étude est très inquiétant.
Fin mars, le nouveau plan serait alors soumis à l'examen du public. Les discussions se poursuivront donc à partir de l'enquête publique sur ce plan.
Néanmoins, la bataille continue :
- La phase 1 ne commencerait pas tant que le PAD ne serait pas en place. Selon le contenu, il est possible de modifier la phase 1 actuelle et, si nécessaire, de réviser la procédure.
- Le 8 mars, Sauvons la Friche Josaphat sera entendue par la Commission du développement territorial. Cela a été rendu possible grâce à la pétition très réussie - plus de 14.000 signataires - appelant à une alternative radicale. Nous attendons avec impatience la réponse officielle de M. Vervoort. Il n'y a pas eu de véritable débat jusqu'à présent. Il faut espérer que le nouveau plan n'aura pas été approuvé d'ici là. Sinon, ce sera une mesure pour rien.
- Nous n'en resterons pas là si la phase 1 reste dans sa forme actuelle. Nous allons maintenir la pression. Vous en entendrez parler.
En attendant, vous pouvez rester informé grâce à notre bulletin d'information. Vous pouvez également vous joindre à nous pour soutenir la lutte pour une ville durable.
Steyn Van Assche
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