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Cette mesure, objet à l’époque d’âpres discussions au sein du gouvernement bruxellois, a été prise le 14 octobre 2022 et limitait pour un an la possibilité d’indexer les loyers en fonction de la Performance Energétique du Bâtiment (PEB). Le secteur associatif portait alors l’espoir d’une limitation totale d’indexation de tous les loyers, mais avait su faire « contre mauvaise fortune bon cœur », comme dit la formule. 

Un an plus tard, le gouvernement n’a pas pu se mettre d’accord sur la reconduction de la mesure. Elle aurait été pourtant bienvenue pour tous et toutes les locataires ayant du mal à nouer les deux bouts : ils et elles sont en grand nombre. Pour rappel, la Région bruxelloise est composée à plus de 60% de locataires ! 

Les dépenses concernant le logement restent les postes les plus importants dans les budgets des ménages : 34% en moyenne, un chiffre qui grimpe jusqu’à 70% pour les plus précaires. D’après Perspective.brussels, la moitié de la population bruxelloise en situation de risque de pauvreté vit dans des logements considérés comme trop exigus par rapport à la taille de leur ménage. 

Si la fin de la limitation de l'indexation nous paraissait tristement symbolique, c'est parce qu'elle marquait, en cette fin de législature, l’épuisement des espoirs de voir naître des mesures réellement protectrices des locataires. 

Il y a pourtant eu plusieurs projets normatifs en la matière sous cette législature. Mais ils ont souvent été abandonnés ou trop largement vidés de leurs ambitions initiales lors de leur adoption à la suite d'oppositions politiques internes à la majorité : grille indicative des loyers, Commission paritaire locative, réforme de l’ordonnance bail, production de logements sociaux largement en dessous des besoins, etc. 

Tout au plus peut-on encore espérer que les partenaires de la majorité se mettent d’accord sur un mécanisme empêchant le rattrapage de l’indexation de l’année dernière. 

Alors, face à ces constats, devons-nous rester positif·ves, négatif·ves, plein·es d'espoir ou résigné·es ? Probablement un peu tout ça à la fois. Nous continuerons de plaider pour un encadrement des loyers à Bruxelles - et particulièrement l'interdiction d'indexer les passoires énergétiques -, pour la création de plus de logements sociaux, pour la mise en place effective de la Commission paritaire locativeMais ce qui nous inquiète le plus, c'est que les partis politiques n'ont pas tous l'air d'avoir perçu l'urgence de la situation : la crise du logement décent et abordable est un problème sociétal majeur qui devrait fédérer plutôt que diviser les forces politiques. 

Voilà pourquoi le vendredi 13 octobre 2023 était pour nous un jour de deuil, mais aussi un nouveau départ, en vue des échéances législatives de 2024. 
 

Le dernier mot sur ce sujet n’est pas encore dit, non plus par le BRAL. Entretemps, vous êtes le bienvenu au débat politique organisé entre autres par nos membres Bonnevie et Buurtwinkel Anneessens sur la gentrification, ce samedi 21 octobre à 14h30 au dépôt royale à Tour & Taxis. Trouvez plus d’infos sur Facebook et notre site. Pendant ce débat, vous pourrez demander aux personnes élues quelles actions ils et elles vont encore prendre avant les élections… et après. 

La Plateforme Logement est un regroupement informel d’associations et d’organisations syndicales. Ses membres sont les suivants : CSC Bruxelles, FGTB Bruxelles, Équipes Populaires Bruxelles, MOC Bruxelles, Rassemblement Bruxellois pour le Droit à l’Habitat (RBDH), Inter-Environnement Bruxelles (IEB), Fédération Bruxelloise Unie pour le Logement (FéBUL).
 

 

Le sans-abrisme n’est pas une fatalité, il y a toujours des solutions

Les Infirmiers de rue essaient d’aider les plus vulnérables d’entre nous à trouver un toit. Avec le soutien de Brussel Helpt, les Infirmiers de rue veut investir à l’installation des modules de logement durables pour eux et elles. Vous pouvez en découvrir plus sur BRUZZ.

 

BRAL-spaghetti

Est-ce que ça vous intéresse d'apprendre à connaître notre travail sur l'urbanisme, l'environnement, la mobilité ou la qualité de l'air à Bruxelles? 
Commandez votre spaghetti chez nous !

 

Le dimanche 12 novembre après-midi, Bond Beter Leefmilieu et partenaires organiseront une marche vers Brussels Airport. Parce que Brussels Airport veut s'agrandir. Nous n’en dormons plus !

Parce qu'il n'y a pas de place pour:

  • Plus de dommages pour notre santé et celle de nos enfants en raison de la perturbation du sommeil et de l'inhalation de substances cancérigènes.
  • Plus de gaz à effet de serre.
  • Dégradation de nos espaces naturels par l'azote et l'eau polluée.
  • Davantage d'embouteillages, en raison de l'augmentation du nombre de camions et de voitures.

La licence de l'aéroport expire l'année prochaine. Il est donc temps de changer. Manifestez avec nous pour:

  • L'interdiction des vols de nuit.
  • Un maximum de 220 000 mouvements aériens par an.
  • Une zone à faibles émissions dans le ciel, afin que seuls les avions à faibles émissions de CO2 et les moins bruyants puissent atterrir.
  • Des limites de bruit et de fréquence de survol pour tous les riverains.

En pratique :

  • A partir de 13h, rassemblement à la sortie de la gare de Zaventem, place Karel Quitman (attention: non pas à la gare SNCB de Brussels Airport).
  • 14h départ en cortège vers l'aéroport de Bruxelles. Distance : 2,5 km. Tout le monde est le bienvenu ! Nous ferons en sorte que cet événement soit convivial et musical. Apportez votre oreiller, car à la fin de l'événement, nous organiserons une grande grasse matinée !
  • Fin à 16h.

Voici l'événement Facebook

Partagez l'action et venez en grand nombre !

Nous invitons trois personnes pour une introduction

  • Tom Truyts (UC Louvain) va parler des instruments existants pour taxer l'utilisation de la voiture (tarification routière, péages, etc.) et de leur impact potentiel.
  • Mathias De Meyer (Bruxelles Mobilité) raconte de la répartition de la possession d'une voiture parmi les ménages bruxellois.
  • Alexandra Woelfle (Ligue des Familles) parlera plus en détail des profils de mobilité des familles.

Ensuite, c'est à vous. Vous aurez le temps d'échanger et de discuter de la question suivante : comment s'appuyer sur les mécanismes du marché qui rendent la conduite ou le stationnement plus chers sans accroître les disparités dans l'accessibilité à une mobilité appropriée pour tous?

Vous souhaitez participer à la discussion ?  Rejoignez le BRAL- café « Tarification routière et justice sociale » le 29 novembre à 19h au Jardin de ma sœur, rue de la Grand Hospice 54, 1000 Bruxelles. Il nous reste 5 places. Inscrivez-vous via ce lien.

Au plaisir de vous voir

Bien à vous, 

L'équipe du BRAL

Voici la liste des endroits où nous manquons encore d'ambassadeurs :

Les ambassadeurs ne doivent pas nécessairement se trouver exactement au point de mesure. S'ils sont dans le quartier, cela suffit.

Connaissez-vous des citoyens actifs, des organisations sympathiques ou des commerçants engagés qui souhaiteraient devenir ambassadeurs d'un de ces points ? Envoyez un courriel à expair@bral.brussels si vous avez un ambassadeur en tête.

Merci d'avance !

Bien à vous

L'équipe ExpAIR,

Zoë et Eva

Dans les centres-villes, qu’ils soient qualifiés d’historiques, touristiques ou commerçants, les espaces publics de plain-pied se généralisent. La suppression des trottoirs surélevés au profit d’un seul niveau pour tous les usages font petit à petit disparaître le profil classique de nos rues, qui était pourtant bien ancré dans nos paysages urbains historiques et qui répondait à de multiples fonctions. Si les raisons invoquées pour les aménagements de type plain-pied sont légitimes et difficilement contestables (accessibilité de l’espace public aux personnes à mobilité réduite, élargissement de l’espace dédié aux cheminements piétons), les conceptions de plain-pied provoquent des évolutions qui peuvent être questionnées dans leurs effets : sécurité des piétons et des usagers les plus fragiles (enfants, personnes âgées), manque de lisibilité et de cohérence entre les places et voiries, standardisation des aménagements, changement de la profondeur historique de nos rues et du patrimoine viaire. 

Face à cette mutation de la rue, les autorités locales disposent de peu d’outils pour évaluer les réels bienfaits de cette option d’aménagement qui semble s’inscrire dans un mouvement plus global, dépassant clairement nos frontières bruxelloises. 

walk.brussels, en collaboration avec l'Atelier de Recherche et d'Action Urbaines (ARAU) proposent de prendre du recul sur la reconfiguration actuelle de nos espaces publics, en organisant une journée d’étude dédiée à l’objectivation des atouts et faiblesses des aménagements de plain-pied et à l’analyse critique de disparition des trottoirs dans les quartiers centraux et commerçants. 

Informations pratiques 

 

Programme 

  •  9h00-9h15 – Accueil / café  

  • 9h15-10h15 – Histoire et enjeux patrimoniaux des trottoirs – Christophe Loir, Professeur à l’Université libre de Bruxelles, membre de la Commission royale des Monuments et des Sites 

  • 10h15-11h00 – Le trottoir, objet de mépris et de convoitise – Isabelle Baraud-Serfaty, maitre de conférence à l’Ecole Urbaine de Science po et autrice du livre « Trottoirs ! Une approche économique, historique et flâneuse »  

  • 11h15-12h00 – Enjeux du « Manuel des espaces publics bruxellois » de 1995 – Marie Demanet, urbaniste, ERU  

  • 13h00-14h00 – Le plan piétons de la Ville de Gand – Veerle Bekaert, service piétons du Mobiliteitsbedrijf Stad Gent  

  • 14h00-14h45 – Le partage de l'espace public - Isabelle Janssens, Bruxelles Mobilité 

  • 14h45 - 15h00 – Questions-réponses  

  • 15h00-15h15 – Pause café  

  • 15h15-17h00 – Le rôle et l’utilité des trottoirs pour la mobilité active et les PMR 

 Avec Florine Cuignet (GRACQ), Mathieu Angelo (CAWAB) Arne Robbe (Walk.brussels),  

Tim Cassiers du BRAL va modérer le débat. 

 

Nous vous annoncions dans notre newsletter du 19 octobre que le Plan d'Aménagement Directeur (PAD) Max était tout juste à l'enquête publique. Entre parenthèses : Apache nous a parlé sur le PAD Max. Selon nous, il y a plein de potentiel de faire de cette partie du Quartier Nord un quartier abordable, vue que presque toutes les terrains sont en mains publics. 

Par contre, on ne s'attendait pas à ce qu'un PAD en cache un autre... Le 20 octobre, on découvre que le Plan d'Aménagement Directeur Défense sur et autour de l'ancien site de l'OTAN est également soumis à enquête publique. Ce PAD compte également plusieurs centaines de pages entre les volets informatifs, règlementaires et stratégiques et les études étudiant les incidences sur l'environnement. 

Calendrier pernicieux pour la démocratie citoyenne

Il y a quelques mois de cela dans le cadre d'ateliers participatifs sur la réforme du Code Bruxellois de l'Aménagement du Territoire (CoBAT), nous avions plaidé à perspective.brussels d'éviter la mise à l'enquête publique de deux PADs simultanément. Cela devient une tâche presque impossible pour les associations de correctement lire et analyser les documents. Qu'en est-il alors pour les citoyens impliqués ayant des activités professionnelles et privés en plus ? Visiblement notre demande est tombée dans l'oreille d'un sourd. 

Que savez-vous de … la Défense ? 

Le BRAL était parti à la découverte des enjeux sur ce site à la limite entre la Région bruxelloise et la Région flamande il y a quelques années. Plusieurs intervenants nous avait dévoilé les prémices des plans pour ces terrains anciennement militaires. Vous pouvez découvrir le compte rendu de notre tour à vélo sur notre site ou la vidéo récapitulant la journée. 

L'ensemble des documents peuvent être consultés à l'adresse suivante. Vous pouvez en prendre connaissance et y répondre jusqu’au 22 décembre 2023.  Souhaitez-vous nous informer de votre réaction ? Une adresse : benjamin@bral.brussels.

Ce signifie, par contre aussi, que nous avons besoin d'une vision et des actions politiques ambitieuses, qui protègent nous et notre cadre de vie de façon socialement juste. On a besoin de ça maintenant, pas plus tard. Rejoignez-nous ce 3 décembre 2023 dans le Marche climat à Bruxelles !

Le BRAL fait partie de la Coalition Climat. Ce mouvement compte plus de 100 organisations belges qui défendent notre environnement. Ensemble, nous demandons au élus d’aujourd’hui et demain de protéger notre cadre de vie. Lisez ici les recommandations de la Coalition Climat. 

Coordinateur·rice de Campagnes

Fondée en 2019, l’ASBL Les chercheurs d’air a pour mission de combattre la pollution de l’air à Bruxelles qui, chaque année, est responsable de plusieurs centaines de morts prématurées. Pour ce faire, notre organisation mène des campagnes de sensibilisation en collaboration étroite avec les citoyen·nes. Notre objectif est de pousser les pouvoirs publics à prendre rapidement des mesures concrètes et ambitieuses pour que nous puissions respirer un air sain.

 

Mission au sein de l’ASBL

Les rues scolaires font partie de ces mesures qui permettent d’améliorer la qualité de l’air. Nous demandons donc, via une campagne dédiée, l’augmentation de leur nombre et de leur qualité en région bruxelloise. Nous recherchons un.e Coordinateur·rice expérimenté·e et très motivé·e pour mener et renforcer cette campagne.

En tant que Coordinateur·rice de campagnes, vous aurez les missions suivantes :

  • Mener des travaux de recherche, en collaboration avec des tiers comme des bureaux d’études par exemple, pour encourager l’augmentation du nombre de rues scolaires
  • Organiser des événements festifs en rue avec des écoles, des parents et des enfants pour demander plus de rues scolaires
  • Coordonner des actions de sensibilisation pour convaincre les parents qui amènent leurs enfants à l’école en voiture de privilégier d’autres moyens de transport moins polluants
  • Accompagner dans leurs démarches administratives auprès des communes les parents et/ou les écoles qui voudraient une rues scolaire
  • Faire le suivi proactif, auprès des 19 communes et de la Région, du déploiement des rues scolaires
  • En collaboration avec la Chargée de Communication de l’asbl, créer du contenu pour sensibiliser les parents aux dangers de la pollution de l’air sur la santé des enfants et à l’importance de créer des rues scolaires
  • Intervenir dans des classes pour parler de la pollution de l’air aux enfants
  • Réaliser un travail de veille sur la création de rues scolaires à l’échelle locale, nationale et européenne
  • Rechercher des financements

Expérience professionnelle

3 ans d’expérience dans la gestion de projets et la coordination de campagnes en collaboration avec des acteurs externes, idéalement en rapport avec des problématiques environnementales. Il est également demandé d’avoir au minimum un bachelier.

Compétences techniques et humaines

  • Bonne expérience en coordination de campagnes (élaboration d’une stratégie, création et coordination d’une coalition, communication interne et externe, relations avec les pouvoirs publics, etc.)
  • Bonne expérience en gestion de projets (objectifs, budget, échéances, rapports, etc.)
  • Excellente maîtrise du français et bonne maîtrise du néerlandais et de l’anglais
  • Bonne connaissance du fonctionnement de la politique bruxelloise (communes et région)
  • Une bonne connaissance de la problématique de la pollution de l’air en ville est un atout
  • Être autonome, proactif et savoir gérer le stress
  • Savoir travailler de manière collaborative, constructive et être capable de trouver des solutions quelque soit le contexte
  • Aimer s’exprimer en public (réunions, télé, radio)

Particularités du contrat

  • Entrée en fonction au plus tôt le 2 janvier 2024 et au plus tard fin janvier 2024
  • Contrat à durée déterminée de 12 mois. Renouvellement lié à l’obtention de subsides.
  • Temps de travail : 80% (31 heures par semaine)
  • Salaire mensuel brut : 2.800 €
  • Avantages autres : chèques repas d’une valeur faciale de 8 euros, indemnité vélo, télétravail possible à raison d’un jour par semaine
  • Lieu de prestation : à domicile (un jour par semaine) ou en coworking (Rue d’Edimbourg 26, 1050 Ixelles) mais forcément à Bruxelles
  • Prestations possibles le soir et pendant le week-end

 

Le dossier de candidature comprendra

  • Un CV d’une page maximum
  • Une lettre de motivation d’une page maximum dans laquelle vous expliquez pourquoi vous pensez correspondre à cette offre d’emploi

Les CV non accompagnés d’une lettre de motivation ne seront pas considérés.

Les candidatures doivent être envoyées à l’adresse email jobs@leschercheursdair.be le samedi 9 décembre au plus tard avec comme objet “Candidature Coordinateur·rice campagnes”.

Une première sélection est opérée sur base du dossier de candidature. Les candidat.es retenu.es seront invité.es à un entretien oral la semaine du 18 décembre.

 

L'Université catholique de Louvain, l'Université de Namur et la Vrije Universiteit Brussel organisent une recherche pour sonder les habitudes et les sentiments sur le télétravail, prenant compte de tels facteurs comme le bien-être, la productivité, et l’usage de l’énergie. 

Quelle est votre expérience ? Comment pouvez-vous organiser votre travail ? Pouvez-vous faire du télétravail ? Avez-vous découvert des avantages ou des inconvénients ? Déplacez-vous vous chaque jour au travail, travaillez-vous surtout à distance ou un peu des deux ? 

Laissez-le savoir aux rechercheurs ! Prévoyez une demi-heure pour répondre aux questions. 

 

Malgré notre cuisine limitée, nous avons tout de même réussi à mettre sur la table une délicieuse bolognaise aux légumes. Je suis très heureuse que nous ayons pu, en tant qu'organisation, apporter notre contribution à la collecte de fonds pour une organisation aussi importante et nécessaire que Street Nurses. En outre, il est agréable de constater que certains ont profité de cette soirée pour faire un peu plus connaissance avec le BRAL. Alors qui sait, peut-être que cela nous apportera de nouveaux membres après avoir vu notre bureau de l'intérieur. Merci à l'organisation de BrusselsHelps et félicitations pour les recettes élevées !

Les projets locaux peuvent faire la différence ; ils sont également très urgents. La Flandre souffre d'une grave pollution de l'air. Nos poumons, le climat et la nature ont besoin de politiques audacieuses qui rendent notre cadre de vie plus sain et notre mobilité plus durable et inclusive. Il n'est pas possible de rester les bras croisés et d'attendre, il faut agir maintenant. Le Fonds pour la qualité de l'air est là pour les citoyens et les organisations qui veulent créer un changement dans leur quartier.

Le Fonds pour la qualité de l'air a été créé par Greenpeace Belgique en collaboration avec Be Planet. L'objectif est d'atteindre le plus grand nombre possible de citoyens et d'organisations qui ont besoin d'une aide financière pour réaliser leur projet en faveur d'une meilleure qualité de l'air et d'un environnement de vie sain.

Vous avez une idée d'une valeur de 5 000 à 10 000 euros ? Soumettez votre projet avant le 19 janvier 2024 ou suivez une session d'information en ligne pour en savoir plus. Vous trouverez ci-joint les principales informations sur l'appel à projets et le communiqué de presse envoyé par Greenpeace.

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