Thème

Dans les centres-villes, qu’ils soient qualifiés d’historiques, touristiques ou commerçants, les espaces publics de plain-pied se généralisent. La suppression des trottoirs surélevés au profit d’un seul niveau pour tous les usages font petit à petit disparaître le profil classique de nos rues, qui était pourtant bien ancré dans nos paysages urbains historiques et qui répondait à de multiples fonctions. Si les raisons invoquées pour les aménagements de type plain-pied sont légitimes et difficilement contestables (accessibilité de l’espace public aux personnes à mobilité réduite, élargissement de l’espace dédié aux cheminements piétons), les conceptions de plain-pied provoquent des évolutions qui peuvent être questionnées dans leurs effets : sécurité des piétons et des usagers les plus fragiles (enfants, personnes âgées), manque de lisibilité et de cohérence entre les places et voiries, standardisation des aménagements, changement de la profondeur historique de nos rues et du patrimoine viaire. 

Face à cette mutation de la rue, les autorités locales disposent de peu d’outils pour évaluer les réels bienfaits de cette option d’aménagement qui semble s’inscrire dans un mouvement plus global, dépassant clairement nos frontières bruxelloises. 

walk.brussels, en collaboration avec l'Atelier de Recherche et d'Action Urbaines (ARAU) proposent de prendre du recul sur la reconfiguration actuelle de nos espaces publics, en organisant une journée d’étude dédiée à l’objectivation des atouts et faiblesses des aménagements de plain-pied et à l’analyse critique de disparition des trottoirs dans les quartiers centraux et commerçants. 

Informations pratiques 

 

Programme 

  •  9h00-9h15 – Accueil / café  

  • 9h15-10h15 – Histoire et enjeux patrimoniaux des trottoirs – Christophe Loir, Professeur à l’Université libre de Bruxelles, membre de la Commission royale des Monuments et des Sites 

  • 10h15-11h00 – Le trottoir, objet de mépris et de convoitise – Isabelle Baraud-Serfaty, maitre de conférence à l’Ecole Urbaine de Science po et autrice du livre « Trottoirs ! Une approche économique, historique et flâneuse »  

  • 11h15-12h00 – Enjeux du « Manuel des espaces publics bruxellois » de 1995 – Marie Demanet, urbaniste, ERU  

  • 13h00-14h00 – Le plan piétons de la Ville de Gand – Veerle Bekaert, service piétons du Mobiliteitsbedrijf Stad Gent  

  • 14h00-14h45 – Le partage de l'espace public - Isabelle Janssens, Bruxelles Mobilité 

  • 14h45 - 15h00 – Questions-réponses  

  • 15h00-15h15 – Pause café  

  • 15h15-17h00 – Le rôle et l’utilité des trottoirs pour la mobilité active et les PMR 

 Avec Florine Cuignet (GRACQ), Mathieu Angelo (CAWAB) Arne Robbe (Walk.brussels),  

Tim Cassiers du BRAL va modérer le débat. 

 

Nous vous annoncions dans notre newsletter du 19 octobre que le Plan d'Aménagement Directeur (PAD) Max était tout juste à l'enquête publique. Entre parenthèses : Apache nous a parlé sur le PAD Max. Selon nous, il y a plein de potentiel de faire de cette partie du Quartier Nord un quartier abordable, vue que presque toutes les terrains sont en mains publics. 

Par contre, on ne s'attendait pas à ce qu'un PAD en cache un autre... Le 20 octobre, on découvre que le Plan d'Aménagement Directeur Défense sur et autour de l'ancien site de l'OTAN est également soumis à enquête publique. Ce PAD compte également plusieurs centaines de pages entre les volets informatifs, règlementaires et stratégiques et les études étudiant les incidences sur l'environnement. 

Calendrier pernicieux pour la démocratie citoyenne

Il y a quelques mois de cela dans le cadre d'ateliers participatifs sur la réforme du Code Bruxellois de l'Aménagement du Territoire (CoBAT), nous avions plaidé à perspective.brussels d'éviter la mise à l'enquête publique de deux PADs simultanément. Cela devient une tâche presque impossible pour les associations de correctement lire et analyser les documents. Qu'en est-il alors pour les citoyens impliqués ayant des activités professionnelles et privés en plus ? Visiblement notre demande est tombée dans l'oreille d'un sourd. 

Que savez-vous de … la Défense ? 

Le BRAL était parti à la découverte des enjeux sur ce site à la limite entre la Région bruxelloise et la Région flamande il y a quelques années. Plusieurs intervenants nous avait dévoilé les prémices des plans pour ces terrains anciennement militaires. Vous pouvez découvrir le compte rendu de notre tour à vélo sur notre site ou la vidéo récapitulant la journée. 

L'ensemble des documents peuvent être consultés à l'adresse suivante. Vous pouvez en prendre connaissance et y répondre jusqu’au 22 décembre 2023.  Souhaitez-vous nous informer de votre réaction ? Une adresse : benjamin@bral.brussels.

Ce signifie, par contre aussi, que nous avons besoin d'une vision et des actions politiques ambitieuses, qui protègent nous et notre cadre de vie de façon socialement juste. On a besoin de ça maintenant, pas plus tard. Rejoignez-nous ce 3 décembre 2023 dans le Marche climat à Bruxelles !

Le BRAL fait partie de la Coalition Climat. Ce mouvement compte plus de 100 organisations belges qui défendent notre environnement. Ensemble, nous demandons au élus d’aujourd’hui et demain de protéger notre cadre de vie. Lisez ici les recommandations de la Coalition Climat. 

Coordinateur·rice de Campagnes

Fondée en 2019, l’ASBL Les chercheurs d’air a pour mission de combattre la pollution de l’air à Bruxelles qui, chaque année, est responsable de plusieurs centaines de morts prématurées. Pour ce faire, notre organisation mène des campagnes de sensibilisation en collaboration étroite avec les citoyen·nes. Notre objectif est de pousser les pouvoirs publics à prendre rapidement des mesures concrètes et ambitieuses pour que nous puissions respirer un air sain.

 

Mission au sein de l’ASBL

Les rues scolaires font partie de ces mesures qui permettent d’améliorer la qualité de l’air. Nous demandons donc, via une campagne dédiée, l’augmentation de leur nombre et de leur qualité en région bruxelloise. Nous recherchons un.e Coordinateur·rice expérimenté·e et très motivé·e pour mener et renforcer cette campagne.

En tant que Coordinateur·rice de campagnes, vous aurez les missions suivantes :

  • Mener des travaux de recherche, en collaboration avec des tiers comme des bureaux d’études par exemple, pour encourager l’augmentation du nombre de rues scolaires
  • Organiser des événements festifs en rue avec des écoles, des parents et des enfants pour demander plus de rues scolaires
  • Coordonner des actions de sensibilisation pour convaincre les parents qui amènent leurs enfants à l’école en voiture de privilégier d’autres moyens de transport moins polluants
  • Accompagner dans leurs démarches administratives auprès des communes les parents et/ou les écoles qui voudraient une rues scolaire
  • Faire le suivi proactif, auprès des 19 communes et de la Région, du déploiement des rues scolaires
  • En collaboration avec la Chargée de Communication de l’asbl, créer du contenu pour sensibiliser les parents aux dangers de la pollution de l’air sur la santé des enfants et à l’importance de créer des rues scolaires
  • Intervenir dans des classes pour parler de la pollution de l’air aux enfants
  • Réaliser un travail de veille sur la création de rues scolaires à l’échelle locale, nationale et européenne
  • Rechercher des financements

Expérience professionnelle

3 ans d’expérience dans la gestion de projets et la coordination de campagnes en collaboration avec des acteurs externes, idéalement en rapport avec des problématiques environnementales. Il est également demandé d’avoir au minimum un bachelier.

Compétences techniques et humaines

  • Bonne expérience en coordination de campagnes (élaboration d’une stratégie, création et coordination d’une coalition, communication interne et externe, relations avec les pouvoirs publics, etc.)
  • Bonne expérience en gestion de projets (objectifs, budget, échéances, rapports, etc.)
  • Excellente maîtrise du français et bonne maîtrise du néerlandais et de l’anglais
  • Bonne connaissance du fonctionnement de la politique bruxelloise (communes et région)
  • Une bonne connaissance de la problématique de la pollution de l’air en ville est un atout
  • Être autonome, proactif et savoir gérer le stress
  • Savoir travailler de manière collaborative, constructive et être capable de trouver des solutions quelque soit le contexte
  • Aimer s’exprimer en public (réunions, télé, radio)

Particularités du contrat

  • Entrée en fonction au plus tôt le 2 janvier 2024 et au plus tard fin janvier 2024
  • Contrat à durée déterminée de 12 mois. Renouvellement lié à l’obtention de subsides.
  • Temps de travail : 80% (31 heures par semaine)
  • Salaire mensuel brut : 2.800 €
  • Avantages autres : chèques repas d’une valeur faciale de 8 euros, indemnité vélo, télétravail possible à raison d’un jour par semaine
  • Lieu de prestation : à domicile (un jour par semaine) ou en coworking (Rue d’Edimbourg 26, 1050 Ixelles) mais forcément à Bruxelles
  • Prestations possibles le soir et pendant le week-end

 

Le dossier de candidature comprendra

  • Un CV d’une page maximum
  • Une lettre de motivation d’une page maximum dans laquelle vous expliquez pourquoi vous pensez correspondre à cette offre d’emploi

Les CV non accompagnés d’une lettre de motivation ne seront pas considérés.

Les candidatures doivent être envoyées à l’adresse email jobs@leschercheursdair.be le samedi 9 décembre au plus tard avec comme objet “Candidature Coordinateur·rice campagnes”.

Une première sélection est opérée sur base du dossier de candidature. Les candidat.es retenu.es seront invité.es à un entretien oral la semaine du 18 décembre.

 

L'Université catholique de Louvain, l'Université de Namur et la Vrije Universiteit Brussel organisent une recherche pour sonder les habitudes et les sentiments sur le télétravail, prenant compte de tels facteurs comme le bien-être, la productivité, et l’usage de l’énergie. 

Quelle est votre expérience ? Comment pouvez-vous organiser votre travail ? Pouvez-vous faire du télétravail ? Avez-vous découvert des avantages ou des inconvénients ? Déplacez-vous vous chaque jour au travail, travaillez-vous surtout à distance ou un peu des deux ? 

Laissez-le savoir aux rechercheurs ! Prévoyez une demi-heure pour répondre aux questions. 

 

Malgré notre cuisine limitée, nous avons tout de même réussi à mettre sur la table une délicieuse bolognaise aux légumes. Je suis très heureuse que nous ayons pu, en tant qu'organisation, apporter notre contribution à la collecte de fonds pour une organisation aussi importante et nécessaire que Street Nurses. En outre, il est agréable de constater que certains ont profité de cette soirée pour faire un peu plus connaissance avec le BRAL. Alors qui sait, peut-être que cela nous apportera de nouveaux membres après avoir vu notre bureau de l'intérieur. Merci à l'organisation de BrusselsHelps et félicitations pour les recettes élevées !

Les projets locaux peuvent faire la différence ; ils sont également très urgents. La Flandre souffre d'une grave pollution de l'air. Nos poumons, le climat et la nature ont besoin de politiques audacieuses qui rendent notre cadre de vie plus sain et notre mobilité plus durable et inclusive. Il n'est pas possible de rester les bras croisés et d'attendre, il faut agir maintenant. Le Fonds pour la qualité de l'air est là pour les citoyens et les organisations qui veulent créer un changement dans leur quartier.

Le Fonds pour la qualité de l'air a été créé par Greenpeace Belgique en collaboration avec Be Planet. L'objectif est d'atteindre le plus grand nombre possible de citoyens et d'organisations qui ont besoin d'une aide financière pour réaliser leur projet en faveur d'une meilleure qualité de l'air et d'un environnement de vie sain.

Vous avez une idée d'une valeur de 5 000 à 10 000 euros ? Soumettez votre projet avant le 19 janvier 2024 ou suivez une session d'information en ligne pour en savoir plus. Vous trouverez ci-joint les principales informations sur l'appel à projets et le communiqué de presse envoyé par Greenpeace.

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www.fondsgezondelucht.be

ls et elles invitent des riverain.e.s, des personnes concernées ou non, expérimentées ou non, des associations, etc. sur le sujet de l'évaluation et de la valeur de la biodiversité sur la Friche Josaphat. Il n’est pas nécessaire d’avoir de l’expérience de la biodiversité en ville. Pendant un après-midi le dimanche 17 décembre, vous pourrez traiter 

  1. la façon dont la valeur biologique de la Friche Josaphat a été sondé (entre autres par le truchement formidable des sciences citoyennes),  
  2. ainsi que sur le sens et l'utilité d'avoir de la biodiversité en milieu urbain (une façon d'évoquer également des questions d'éthique de la conservation, d'écologie politique, etc.). 

 Le but de l’atelier est d’identifier des questions franches et ouvertes autour de cette évaluation et autour du sens et de la valeur de la biodiversité. Par après, les expert.e.s tentent de répondre à ces questions, sans masquer les incertitudes.  

Version longue - Atelier(-débat) autour de la biodiversité en ville : le cas de la Friche Josaphat 

En 2018, la Région bruxelloise entame les démarches afin d’adopter un Plan d’Aménagement Directeur sur le site Josaphat, ancienne gare de triage située à Schaerbeek et à Evere. L’endroit est un espace non bâti de 25 hectares considéré comme l’une des dernières grandes friches de Bruxelles, sur lequel des espèces animales et végétales ont pu s’implanter ces trente dernières années. 

Ce projet de construction de 1200 logements et d’équipements connexes (écoles, crèches, …) a suscité beaucoup de controverse et de réactions négatives de la part des riverains du site et d’associations. En cause : la disparition d’une biodiversité prétendument exceptionnelle dans la Friche Josaphat. Bruxelles Environnement reconnaît la zone comme étant de haute valeur biologique ; des associations et collectifs comme Natagora et « Sauvons La Friche Josaphat » se mobilisent pour une modification ou un abandon de ce projet d’aménagement. 

À partir de la controverse sur la place de la biodiversité et des espaces ouverts en ville, plusieurs questions essentielles se posent. Comment évalue-t-on concrètement la biodiversité d’un site comme celui de la Friche ?  Quelle est la robustesse et la valeur de cette évaluation ? Comment décide-t-on qu’une espèce est rare, ou très rare ? Pourquoi, dans le fond, a-t-on besoin de biodiversité dans les villes ? Quel sens y a-t-il à l’existence de nombreuses espèces en milieu urbain et quelle est leur valeur face à l’humain ? 

Autant de questions intéressantes qui doivent faire l’objet d’un dialogue entre les expert·e·s de l’évaluation et de la valeur de la biodiversité et les citoyen·ne·s que ces questions d’aménagement urbain concernent de près ou de loin. 

Notre événement prendra la forme d’un atelier(-débat) durant lequel expert·e·s et citoyen·ne·s seront amené·e·s à co-construire ensemble toutes les questions qui se posent face à l’enjeu de l’aménagement de la Friche Josaphat et son impact sur la biodiversité. L’objectif commun sera d’apprendre à poser les bonnes questions. Dans un second temps, les expert·e·s seront amené·e·s à tenter de répondre à toutes les questions qui auront émergé, en explicitant les défis liés à l’incertitude dans la recherche scientifique. 

Nous souhaitons convier à la fois les riverains et associations concernées et initiées à la problématique de la Friche Josaphat mais également celles et ceux qui s’interrogent sur le rôle véritable et la valeur de la biodiversité en ville. Ce dispositif de médiation scientifique a pour objectif la création de questionnements communs auxquels la recherche et les méthodes scientifiques prétendent répondre. 

Pratiquement, l’événement se déroulerait le dimanche 17 décembre, de 15h à 18h, au Python Bar à Schaerbeek. Une heure serait dédiée à la partie « atelier » et co-construction des questions par les citoyen·ne·s et les expert·e·s. Environ 45 minutes seraient consacrées à un temps de réponse à ces questions par les expert·e·s. Enfin, l’événement se conclurait avec un débat sur les apports et ouvertures possibles suite aux échanges de l’après-midi. 

La Commission régionale de développement (CRD) a sorti son avis sur la proposition du gouvernement relative au plateau du Heysel fin octobre. Voici les versions complètes en FR et NL. Cette Commission doit donner son avis sur de tels grands projets urbains, et le gouvernement doit tenir compte de ces avis. Les conclusions de son avis sont très claires : il est grand temps d’envisager autre chose sur le plateau du Heysel, et ce via un processus participatif avec les opposants au centre commercial. Nous donc ?!  

Pour ceux et celles qui connaissent déjà le dossier : rebelote. Mais la grande question persiste : quand est-ce que le gouvernement va-t-il écouter ? Après les élections (locales), peut-être ? Pour ceux et celles qui ne connaissent pas encore le dossier : la Ville de Bruxelles – avec le soutien de la Région - veut construire coute-que-coute un grand centre commercial de plus de 70.000 m² juste à côté de l’Atomium, qui s’appelle NEO. La saga NEO sur le plateau du Heysel est pleine de saltos urbanistiques. On vous conseille de regarder la vidéo de cet été afin de comprendre pourquoi nous et d’autres acteurs de la société civile sont contre ce projet ou lisez les articles sur notre site avec comme mot clé NEO.  

Voici déjà les conclusions de l’avis se trouvant à la page 10 :   

La Commission maintient son avis précédent, auquel elle renvoie. Elle insiste sur les éléments suivants :  

  1. Le projet de modification du PRAS est justifié par le projet NEO, or de nombreux éléments de ce projet sont mis en cause, y compris par les autorités publiques (comme l’abandon d’un nouveau centre international de congrès au bénéfice de la rénovation des infrastructures existantes des Palais, le maintien du stade de football, etc..) et par toutes les instances d’avis, qui dénoncent l’obsolescence de ce projet. La Commission estime qu’un réexamen complet est nécessaire, ce qui n’a pas été fait.  
  2. Sans le centre commercial, la modification du PRAS n’est pas nécessaire, puisque les affectations actuelles permettent la réalisation de commerces comme complément usuel des fonctions internationales de la zone.  
  3. D’autres fonctions qu’un centre commercial pourraient être prévues sur le site telles qu’un centre logistique, un terrain de sport, un centre de formation, une université, … La dimension logistique est absente du projet malgré le besoin crucial de zones de logistique et de pôles de distribution. L’accessibilité de cette zone (hub de transports) permettrait d’avoir une zone de distribution vers de plus petits centres.  
  4. La Commission demande que soit réservé un quota de logements différenciés et abordables. Elle insiste également pour que la maîtrise foncière reste dans le domaine public. Elle plaide donc pour la poursuite immédiate du PAD initié en 2019, qui pourra prendre en compte ces objectifs : il n’est pas logique que sur un site aussi stratégique au niveau régional et métropolitain, la Région laisse la main à la Ville de Bruxelles, même si celle-ci est propriétaire du site.  
  5. La Commission suggère au Gouvernement de réfléchir à un processus de médiation participative avec consultation des opposants au centre commercial, afin d’envisager collectivement des alternatives pour cette zone, comme cela a été fait en Région flamande avec le projet Uplace.  

Nous espérons que le gouvernement prendra cet avis à cœur surtout en ce qui concerne le centre commercial, la maîtrise foncière et les logements, car le temps fil, aussi pour les indemnisations tant craints.  

Avec nos équipes et nos membres, nous voulons trouver une solution à ce problème. Comment développer des mécanismes fiscaux pour l'utilisation de la voiture en ville qui garantissent aux personnes en situation de vulnérabilité de pouvoir se déplacer ? Le BRAL- café « Tarification routière et justice sociale » avait lieu le 29 novembre à 19h au Jardin de ma sœur, rue de la Grand Hospice 54, 1000 Bruxelles.

Nous avons invité trois personnes pour une introduction :

  • Tom Truyts (UC Louvain) parlait des instruments existants pour taxer l'utilisation de la voiture (tarification routière, péages, etc.) et de leur impact potentiel. (Voici sa présentation.)
  • Mathias De Meyer (Bruxelles Mobilité) racontait de la répartition de la possession d'une voiture parmi les ménages bruxellois. (Voici sa présentation.)
  • Alexandra Woelfle (Ligue des Familles) n’était pas présente, mais vous pouvez trouver l’analyse des profils de mobilité des familles sur son site.

Après, les participants pouvait échanger et discuter de la question suivante : comment s'appuyer sur les mécanismes du marché qui rendent la conduite ou le stationnement plus chers sans accroître les disparités dans l'accessibilité à une mobilité appropriée pour tous?

Un rapport suivra, mais une chose est sûre : le dernier mot n'a pas été dit sur ce sujet ! Nous vous tiendrons au courant des suites que nous donnerons ici.

Tim & Lieselotte

Nouveau recours, nouveaux permis, nouveau PAD, nouveau packaging : l'ARAU, le BRAL et IEB vous invitent in situ à une balade-conférence de presse entre la gare du Nord et le canal pour dévoiler toutes les informations urbanistiques les plus récentes qui viennent une nouvelle fois bouleverser le quartier Nord. 

Infos pratiques : 

Rendez-vous le mercredi 13 décembre à 10h devant l'entrée de la gare du Nord, côté Boulevard Simon Bolivar 

Contacts :  

ARAU : Marion Alecian, 0472542917 m.alecian@arau.org  

BRAL : Benjamin Delori, 0471 47 42 72 benjamin@bral.brussels  

IEB : Martin Rosenfeld, 0476 38 88 34, martin.rosenfeld@ieb.be 

 

Chaleureusement

L'équipe du BRAL

Nouveau recours, nouveaux permis, nouveau PAD, nouveau packaging : l'ARAU, le BRAL et IEB vous invitent in situ à une balade-conférence de presse entre la gare du Nord et le canal pour dévoiler toutes les informations urbanistiques les plus récentes qui viennent une nouvelle fois bouleverser le quartier Nord. 

Infos pratiques : 

Rendez-vous le mercredi 13 décembre à 10h devant l'entrée de la gare du Nord, côté Boulevard Simon Bolivar 

Contacts :  

ARAU : Marion Alecian, 0472542917 m.alecian@arau.org  

BRAL : Benjamin Delori, 0471 47 42 72 benjamin@bral.brussels  

IEB : Martin Rosenfeld, 0476 38 88 34, martin.rosenfeld@ieb.be 

 

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