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Le BRAL est un mouvement urbain qui se bat pour un Bruxelles durable. 
Le BRAL se bat pour un Bruxelles solidaire et respectueux de la santé de ses habitants et de l’environnement.
De la mobilité à l’urbanisme, nous plaçons les Bruxellois au cœur de notre action. Comment ? Nous les soutenons grâce à nos connaissances et les aidons à prendre eux-mêmes des initiatives. Ensemble, nous défendons notre vision auprès des pouvoirs publics. Autour de la table quand c’est possible, sur des barricades quand il le faut. Nous sommes critiques mais constructifs, un brin rebelles mais toujours nuancés.

Description de la fonction

Vous souhaitez soutenir les Bruxellois et Bruxelloises dans leurs actions collectives, impliquer les membres du BRAL dans vos réflexions et vos actions et collaborer avec la société civile bruxelloise au sens large. Vous assimilez aisément la législation nationale et internationale en matière de mobilité et d’environnement, aussi complexe soit-elle, et parvenez à la rendre accessible aux membres et à la base du BRAL. Vous formulez des conseils constructifs sur la politique pour les administrations locales et régionales ainsi que pour les cabinets. Les comités consultatifs font partie de votre habitat. En résumé, vous vous affirmez comme un maillon proactif entre les Bruxellois et Bruxelloises, la société civile et les autorités de notre capitale.

  • Vous avez une bonne connaissance de la politique de mobilité à Bruxelles, ou possédez des capacités avérées qui vous permettront de vous familiariser rapidement avec cette matière. Good Move, SmartMove, mailles apaisées, modal shift, principe STOP : un·e collaborateur·rice BRAL est capable de s’exprimer avec aisance et esprit critique sur tous ces sujets mais aussi de s’orienter dans des dossiers complexes.
  • Vous avez une bonne connaissance de la politique environnementale de Bruxelles, ou possédez des capacités avérées qui vous permettront de vous familiariser rapidement avec cette matière. Qualité de l’air, énergie, climat, niveau sonore, etc., vous travaillez sur tous ces thèmes afin de contribuer à la concrétisation d’un Bruxelles durable.
  • Vous représentez le BRAL au Conseil de Mobilité régional et vous suivez avec vos collègues les évolutions dans d’autres comités consultatifs (Conseil de l’Environnement, Conseil fédéral de développement durable, Conseil supérieur bruxellois pour la conservation de la nature).
  • Vous travaillez en équipe et en étroite collaboration avec les membres et la base du BRAL. Vous vous exprimez en public avec aisance et communiquez de manière accessible sur les sujets les plus complexes.
  • Vous entretenez activement le contact avec des représentant·e·s des différents pouvoirs publics bruxellois au niveau local et régional (figures politiques, administrations, cabinets, etc.).
  • Vous collaborez à de nouveaux projets relatifs à la mobilité et à l’environnement à Bruxelles, avec nos membres, d’autres associations urbaines et les administrations des autorités bruxelloises.

Qualités générales exigées

  • Vous prenez des initiatives pour faire avancer les choses, vous réfléchissez de manière stratégique et vous appréciez le travail en équipe. Vous aimez débattre avec vos collègues et réfléchissez avec eux et elles à des actions et des propositions.
  • Vos collègues peuvent compter sur votre engagement et votre enthousiasme. Vous bénéficiez d’une certaine latitude pour travailler de manière autonome mais vous appréciez aussi le travail à ddeux ou à plus pour imaginer des actions, effectuer des analyses ou développer de nouvelles idées.
  • Vous formalisez avec vos collègues, les membres du BRAL et son conseil d’administration la politique et les points de vue du BRAL.
  • Vous êtes présent·e dans la ville parce que vous allez chercher vos partenaires et discuter avec la population et les associations partout dans Bruxelles. Vous aimez Bruxelles, mais aussi rencontrer de nouvelles personnes et découvrir des endroits inconnus.
  • Vous avez une bonne connaissance du français et du néerlandais. La maîtrise de l’anglais constitue un atout important.
  • Vous n’hésitez pas à travailler en dehors des heures de bureau (soirée, week-end) lorsque c’est nécessaire.

Notre offre

Au sein du BRAL, vous ne travaillez pas seul·e, vous pouvez compter sur une équipe de collègues enthousiastes qui n’hésitent pas à vous apporter de l'aide et des conseils. Notre bureau situé au cœur de la ville est un endroit où vous pouvez les retrouver pour réfléchir, discuter et vous réunir, mais aussi partager un petit moment de détente. Vous y rédigez des analyses et vos textes. Parfois, vous faites aussi du télétravail afin d’avancer sur une nouvelle proposition ou un rapport en toute sérénité.

  • Un travail varié qui fournit une contribution visible au développement durable de Bruxelles
  • Un environnement enthousiaste qui permet à l’esprit d’initiative et à la créativité de chacun·e de s’exprimer
  • Des contacts avec des Bruxellois et Bruxelloises de toutes origines, des comités et des associations
  • Un contrat à durée déterminée (100 % ETP, 80 % discutable) jusqu’au 31 décembre 2022, avec prolongation éventuelle pour une durée indéterminée
  • Date d’entrée en fonction : effet immédiat
  • Une rémunération conforme aux barèmes du secteur socioculturel (B1c de la CP n° 329.01), avec prise en compte de toute expérience pertinente
  • Le remboursement des trajets travail-domicile en transport en commun ou une indemnité de vélo
  • Des horaires de travail flexibles qui respectent l’équilibre travail/vie privée

L’offre vous intéresse ?

Envoyez-nous votre lettre de motivation et votre CV au plus tard le lundi 25 octobre à 12 h :

  • par e-mail : raf@bral.brussels
  • ou par courrier : Raf Pauly (coordinateur), BRAL – Mouvement urbain pour Bruxelles, place du Samedi 13, 1000 Bruxelles.

Déroulement du processus de recrutement

  • 25 et 26 octobre : nous procédons à une première sélection sur la base de la lettre de motivation et du CV
  • 26 et 27 octobre : nous informons les personnes sélectionnées et programmons ensemble un entretien la même semaine
  • 27, 28 et 29 octobre : nous organisons un test écrit (sur place, environ 1 h) et les entretiens
  • 10 novembre : nous annonçons le nom de la personne sélectionnée

Des questions sur l’offre d’emploi ou la procédure ? Besoin de clarifications ? N’hésitez pas à contacter Raf, notre coordinateur : raf@bral.brussels, 0487 319 420.

 

Schaerbeek Formation est une gigantesque plateforme ferroviaire au nord de la gare de Schaerbeek. Quel est l'avenir de ce dernier grand espace ouvert de Bruxelles ? BRAL se lance dans l'enquête avec une sélection d'intervenants de premier plan.

Après notre tour dans et autour du domaine militaire d'Evere (OTAN) en 2020, c’est reparti en 2021 pour un autre tour à vélo en exclusivité. Cette fois à la gare de Schaerbeek Formation. Une occasion unique de visiter ce site ferroviaire inaccessible au public et de tenter de résoudre ensemble certains mystères.  

Schaerbeek Formation est une gigantesque plateforme ferroviaire juste au nord de la gare de Schaerbeek et à l'ouest de Haren sur le territoire de la ville de Bruxelles. Un coup d’oeil sur la carte suffit pour se rendre compte que les distances sont grandes, trop grandes pour une formule à pied, en route donc pour un tour à vélo ! 

En 2021, nous n'avons aucune idée de ce que l'avenir réserve à notre dernier grand espace ouvert. 

Que savons-nous de Schaerbeek Formation ?   

Le site est encore principalement utilisé comme lieu de nettoyage et d'entretien des trains. En 2011, une partie en avait été déclarée idéale pour y mettre un temple national du football. Cependant, il n’en est plus question dans le Schéma Directeur de Schaerbeek Formation de 2013, où le centre logistique intermodal souhaité a quant à lui continué à jouer un rôle central. En 2021, nous n'avons donc aucune idée de ce que deviendra ce grand terrain, mais tout ce que nous savons, c'est que le Fonds de l'Infrastructure Ferroviaire (FIF), toujours propriétaire à ce jour, a mis 40 hectares en vente... 

Autre indice important : l'accord de coalition (2019-2024). Celui-ci mentionne clairement que "le gouvernement lancera également une étude générale sur la possibilité de rouvrir la Senne dans la zone de Schaerbeek-Formation.", tout en faisant un lien explicite avec la crise climatique. Exciting ! 

Mystères d’un site ferroviaire en évolution

Nous voici donc avec suffisament de questions pour une enquête dans les profondeurs. Où en est cette étude? Y a-t-il un plan paysager pour le site? Est-il encore question d’un grand centre logistique? Y a-t-il de la place pour des industries? Et si oui, quel type d’industrie? Le rail et le canal à côté seront-ils mis à profit ? Où vont les affluents de la Senne en sous-sol? Et d’où viennent tous les terrils? Pouvons-nous conserver, renforcer, relier la richesse écologique ? Y a-t-il des liens possibles avec le monde habité (Haren, Schaerbeek, Neder-over-Heembeek, Vilvorde, …)? Que fait-on des frontières régionales dans l’élaboration des plans ? 

Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre avec vous et une sélection d'intervenants de premier plan. Peut-être trouverons-nous même des réponses ! 

 En présence, entre autres, de   

  • Mme Tai, Présidente du Conseil d'Administration du Fonds de l'Infrastructure Ferroviaire (FIF)  

  • Valérie TANGHE, Manager cluster portuaire au Port de Bruxelles  

  • Amandine Tiberghien de Natagora  

  • Martin Ohsé, Bruxelles Environnement, Département Eau 

  • Thomas Van den Boogaerde et Léone Drapeaud , Chargés de projet Stratégie territoriale chez Perspective   

  • Viabuild, entreprise de construction  

  • Simon Kerkhofs (SNCB)  

  • Marie Coûteaux (BRAL) : nouveau projet cocreate Super Terram 

Le nombre de places étant limité, merci de vous inscrire via le formulaire. Départ à 14h sur la place de la gare de Schaerbeek (place Princesse Elisabeth). N’oubliez pas votre vélo. Fin prévue vers 17h30. Important : veuillez apporter vos propres écouteurs ou un casque à mettre sur des récepteurs (par exemple ceux de votre téléphone portable). Nous fournissons des récepteurs afin que vous puissiez écouter ce qui est dit au micro à distance. Prenez soin de ce matériel afin que nous puissions le rendre en bon état.

Il est grand temps de repenser notre modèle de société. Dans le nouveau mémorandum la Coalition Climat propose plus d’une centaine de mesures pour mettre en œuvre une transition juste vers une société bas carbone en Belgique.

A la lumière de la prochaine marche pour le climat et de la conférence sur le climat à Glasgow, nous partageons - avec plaisir et urgence - le mémorandum de la Coalition Climat pour un Green New Deal vert belge.

Voici le memorandum.

Ce 10 octobre, il y aura la marche pour le climat Back to the Climate – évidemment que vous venez. Si vous souhaitez donner un coup de main comme steward, vous pouvez vous inscrire sur ce formulaire. RDV à 11h30, lunch prévu.

Table des matières

1. Introduction: un défi urgent, une opportunité unique

2. Faire de la Belgique un leader responsable  
2.1. Sur la scène européenne  
2.2 sur la scène internationale  

3. Transformer l'économie belge pour un futur durable et juste  
3.1 Mesures transversales  

3.2 Mesures sectorielles  
3.2.1. Fournir une énergie propre, abordable et sûre  
3.2.2. Mobiliser l'industrie pour une économie propre et circulaire  
3.2.3. Rénover le bâti efficacement en termes d'énergie et de ressources.  
3.2.4. Accélérer la transition vers une mobilité zéro émission  
3.2.5. Élaborer un système alimentaire équitable, sain et respectueux de
l'environnement  
3.2.6. Préserver et restaurer les écosystèmes et la biodiversité  
3.2.7. Œuvrer à une consommation raisonnée dans un cadre d’économie circulaire  

3.3 Financer la transition  
3.3.1. Recommandations générales  
3.3.2. Recommandations spécifiques  

3.4 Mettre la transition juste au cœur des politiques climatiques

4. Améliorer la gouvernance et la participation

Ce dimanche, plus de 50.000 personnes ont convergé dans les rues de Bruxelles. Une foule massive a répondu présent à l’appel de la Coalition Climat, plus diversifiée et déterminée que jamais. Face à une crise climatique toujours plus tangible, les citoyennes et citoyens ont fait part de leur inquiétude et ont interpellé le monde politique: “Combien de victimes faudra-t-il encore avant de vraiment passer à l’action”? 

Un signal fort

Quelques semaines avant un important sommet européen et la COP26 de Glasgow, la Coalition Climat envoie un signal fort aux représentants politiques belges. 

La Belgique dispose des ressources et de solutions pour lutter contre la crise climatique mais, à quelques semaines de la COP, elle n’a toujours pas de vrai plan climat soutenu par toutes ses entités”, explique Nicolas Van Nuffel, président de la Coalition Climat. “Nous demandons la mise sur pied d’un Green New Deal belge, qui repose sur des actions ambitieuses et concrètes”.

Les événements météorologiques extrêmes se sont succédé en 2021 : inondations, feux de forêt, vagues de chaleur... faisant toujours plus de victimes humaines et détruisant des pans entiers de nature. Une nature pourtant extrêmement précieuse pour nous aider à faire face aux conséquences du changement climatique. Des politiques fortes sont nécessaires pour lutter contre les causes et les conséquences de la crise climatique, et protéger en priorité les populations les plus vulnérables, qui en sont les premières victimes. 

Cet été, la crise climatique nous a frappé directement ici en Belgique, meurtrière” explique Bernadette Leemans, habitante de Chaudfontaine, victime des inondations et présente à la marche. “J’avais déjà participé aux marches climat par le passé mais aujourd’hui je ne suis plus simplement une citoyenne inquiète, je suis une réfugiée climatique”. 

Une mouvement climat de plus en plus diversifié 

Plus de 90 organisations actives dans tout le pays ont pris part à la préparation de cette marche. Organisations environnementales et Nord-Sud, syndicats, mouvements de jeunesse, … rejoints cette fois par des mutualités, des organisations des droits humains, de lutte contre la pauvreté, le mouvement pour la paix, des organisations socioculturelles, etc. 

Les mobilisations citoyennes de ces dernières années sont parvenues à mettre le climat à l’agenda politique. Il est maintenant temps de traduire les promesses politiques en action concrète" conclut Nicolas Van Nuffel. “Le mouvement climat a montré qu’il est incontournable, et continuera à se battre tant que nos responsables politiques ne seront pas à la hauteur du défi climatique”.

Plus d’information

Contact

 
Coalition Climat

La Coalition Climat est une asbl nationale qui réunit plus de 80 organisations de la société civile belge (ONG environnementales, de coopération au développement, syndicats, mutualités, organisations de jeunesse, mouvements citoyens) autour de la justice climatique. Elle fait pression auprès des décideurs politiques pour des mesures fortes et mobilise un large public pour une société juste et respectueuse du climat.
www.coalitionclimat.be

Le nouveau plan pour la Friche Josaphat - qui est plus ou moins un copier-coller de l'ancien - n'atteint pas la barre. Nous lançons donc un appel à répondre en masse à l'enquête publique en cours et à demander au gouvernement de changer d'avis. 

Le contexte 

Au mois d'août 2021, le gouvernement bruxellois a présenté au public un nouveau plan d’aménagement directeur (PAD) pour le site de la Friche Josaphat. L'enquête publique sur le PAD Josaphat a débuté le 16 septembre et se poursuivra jusqu'au 25 novembre. La version précédente du plan a été accueillie par une protestation massive. Le gouvernement bruxellois a promis de tenir compte des protestations et une étude supplémentaire sur la biodiversité a été ordonnée. Vous pouvez trouver les plans actuelles sur les site de Perspective.brussels. Le BRAL a étudié ces plans et vous invite à réagir.

Qu'est-ce qui a changé ?  

Si l'on met les deux plans côte à côte, le changement est immédiatement visible : une zone de construction a été supprimée pour faire place à un "Bioparc" de... 1,28 ha. C’est très petit si on compare ça avec la taille totale du site : l’Est et l’Ouest ensemble font 24 ha.

Néanmoins, quelques changements positives sont apparus : il n'y a plus de trafic motorisé de transit et les places de stationnement à côté du parc ferroviaire ont disparu. Il y a quelques autres changements mineurs, mais il faut avouer : le nouveau plan est plus ou moins un copier-coller de l'ancien. C’est justement ce que les associations et les collectifs de citoyens souhaitaient éviter en proposant le #PlanBJosaphat, un plan radicalement nouveau et cohérent.  

C’est ce que nous voulons encore : un plan radicalement nouveau, cohérent et co-construit. Nous lançons donc un appel à répondre en masse à l'enquête publique en cours et à demander au gouvernement de changer d'avis. 

De nombreux arguments avaient déjà été listés dans le cadre du manifeste du #PlanB, n'hésitez pas à les utiliser. Nous l'expliquons également pour vous dans cette vidéo. Nous expliquons ci-dessous pourquoi nous restons sur notre avis, pourquoi la nouvelle version ne suffise pas non plus.

Voici quelques idées qui pourraient vous inspirer : 

Préservation de la biodiversité

Un milieu de plus en plus rare en Région de Bruxelles-Capitale

Plus de 1000 espèces ont été observées sur ce site. Cette richesse est reconnue non seulement par les amoureux de la nature locaux mais aussi pour les associations nationales de protection de la nature (Natagora et Natuurpunt) ou encore par l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique. Plusieurs articles scientifiques ont été publiés sur la friche, attestant de son intérêt certain pour la faune et la flore belges.

La nature a besoin d'espace. De nombreuses études montrent que la surface est un facteur critique pour de nombreuses espèces et pour la qualité d’un réseau écologique.[1] 

Avec un bioparc de 1,28 hectare, il y aura moins d'espèces, celles qui seront présentes seront moins nombreuses, les oiseaux migrateurs perdent un espace de repos sur leur route. 

Il est vrai que le bioparc est complété par un “wadi parc” et le “sport parc”, ce qui augmente la surface végétalisée. Cela dit, cette dernière est largement destinée à des activités de loisirs. 

Notre demande : la création d’un “bioparc” de 14 hectares (sur les 34 du PAD)

La localisation a aussi de l’importance 

La partie la plus riche du site en termes de biodiversité sera la première à disparaître sous les pelleteuses. 75% des espèces de la friche ont été observées sur la partie du site où il est prévu de développer la phase 1. Dans ce contexte, il est difficile de croire que les pouvoirs publics ont réellement pris la mesure des impacts du projet sur la biodiversité.

Nous avons conscience que la Région est déjà en dialogue avec différents interlocuteurs pour le développement de cette phase 1 mais nous rappelons que la loi sur les marchés publics (art. 85) stipule que les gouvernements ont toujours le droit d'arrêter une procédure.   

  Notre demande : STOP à la phase 1 du projet

La nature, c’est une histoire de connexion et de réseau

La nature a besoin aussi de connexion pour persister - d’où le développement au niveau européen du réseau Natura 2000 par exemple, ou encore en Région de Bruxelles-Capitale du réseau écologique bruxellois. 

Pour préserver les connexions au sein de la friche mais aussi vers l'extérieur et la diversité des milieux, les talus boisés sur l’ensemble de la zone complètent la diversité des milieux/biotopes. Dès lors, non seulement les talus parc doivent être préservés mais aussi l’ensemble de talus présent au nord du Bioparc, remplacé actuellement par des logements. 

De plus, la friche et sa préservation offrent l’opportunité d’une continuité verte entre le centre- ville et la périphérie bruxelloise.

Notre demande : la préservation de toutes les zones de talus

Lutte contre le réchauffement climatique 

Pour limiter le réchauffement urbain, pour faire face à la multiplication attendue des épisodes de canicule et d’inondation dans les années à venir, la nature est l’une des solutions. Dans ce contexte, il semble absurde de se priver des nombreux services que rend aujourd’hui cet espace en termes de captation de CO2, de couloir de fraîcheur, de gestion de l’eau et de prévention face aux inondations, …

Dans le nouveau plan, ces enjeux sont reconnus : les Wadi parcs ont, pour partie, l’objectif d’être au service d’une gestion de l’eau plus pertinente et on constate aussi une volonté de perméabilisation progressive dans la zone urbanisée actuelle.

Un espace ouvert et perméable réduit par ailleurs également le stress thermique. Si une construction plus compacte peut réduire les émissions de gaz à effet de serre (dues aux transports), elle augmente le risque de stress thermique urbain. Les zones urbaines formant des îlots de chaleur qui deviennent encore plus invivables du fait du réchauffement climatique, le refroidissement du centre de Bruxelles devient une question urgente. Nous devons nous attaquer à ce problème maintenant de manière planifiée !

Un réseau vert et bleu permet d'étendre le refroidissement de l'extérieur de Bruxelles vers le centre. En alternant les zones bâties avec de larges zones vertes, il devient possible de ventiler naturellement la ville grâce au flux d'air dus à l'alternance de zones fraîches et chaudes. Cette idée est basée sur le concept de la ville à doigts ou le modèle de la ville à lobes et a été développée dans la première moitié du 20ème siècle. Des villes comme Copenhague, Amsterdam, Hambourg et Stockholm ont déjà commencé à l’appliquer. En Belgique, la ville de Malines fait partie de celles qui travaillent sur ce concept.

Comme indiqué dans le Manifeste #PlanB, la surface imperméabilisée dans la partie industrielle y est très importante par rapport aux activités qui s'y déroulent. Mais pourquoi se compliquer la tâche en imperméabilisant massivement d'un côté et perméabilisant quelques mètres de l’autre ?

Dans tous les cas, cela n'aura guère d'impact sur la surface totale qui disparaîtra sous le béton.

Notre demande : Garder le vert là où il existe et faire le gris sur le gris

D’autres pistes issues du #PlanB

Les bureaux vacants (nouveaux chiffres et tendances)

La tendance précède déjà la crise que nous connaissons tous : le télétravail augmente, ce qui impacte l’immobilier bruxellois, même si d’autres facteurs influencent bien sûr la vacance des bureaux. Le récent rapport de Perspective sur le sujet le montre : le taux de vacance des bureaux a légèrement augmenté (de 954 870 m² en 2018 à 978 424 m² en 2020). Les effets de la crise corona ne sont pas encore totalement visibles dans les chiffres et que beaucoup de nouveaux bureaux sont prévus (415 202 m² déjà approuvés).

A titre d’exemple, nous pouvons citer la Régie des bâtiments dont les chiffres sont révélateurs. Alors qu'en 2012, celle-ci fournissait encore 100 postes de travail pour 110 employés à temps plein. En 2018, elle en comptait 82 et dans un avenir proche, elle n'en fournira plus que 58.

D'autres acteurs majeurs, comme la Commission européenne, ont également annoncé des réductions drastiques. Il est difficile d'avancer un chiffre exact, mais la Banque nationale de Belgique estime que les surfaces de bureaux nécessaires diminueront de 22 % au cours des cinq prochaines années. Le gouvernement doit jouer un rôle de pionnier afin d'utiliser ces espaces pour créer des logements abordables et agréables pour les habitants de Bruxelles.

Notre demande : mettre (encore) plus d'efforts dans la reconversion des bureaux

Les opportunités de l’Avenue Léopold III

Dans son plan I Love Josaphat, le collectif de citoyens Team Léopold III propose, à juste titre, de mieux utiliser le potentiel de l'avenue Léopold III. Leur réflexion est la suivante : “Le boulevard Léopold III se situe tout près et parallèle au site Josaphat : c’est un axe majeur construit dans les années 1960 pour relier le centre-ville à l’aéroport. Le long du boulevard Léopold III, il y a plusieurs immeubles de bureaux qui sont vacants ou qui le deviendront bientôt. Il y a aussi plusieurs parcelles qui sont à peine construites et que l’on pourrait facilement densifier. De plus, plusieurs de ces sites sont de la propriété publique. Ne serait-il pas plus logique de densifier aux endroits les plus accessibles et autour des nouveaux nœuds de transport public ?”. Selon leurs calculs, cela pourrait conduire à la création de 1552 logements. Le gouvernement doit examiner toutes les opportunités AUTOUR de la friche de sorte à préserver un maximum les espaces végétalisés existant.

Notre demande : un élargissement du périmètre pris en compte dans le PAD, de sorte à analyser toutes opportunités 

Du logement oui, mais du logement social

La croissance démographique est inférieure aux prévisions d'il y a dix ans, moment du début du projet de PAD Josaphat. En 2010, un boom démographique s’annonçait et donc la nécessité de faire face au besoin en logement. En janvier 2019, déjà, le Bureau fédéral du Plan a ajusté ses prévisions : d'une croissance annuelle prévue de 10 000 personnes, il s'attendait à une croissance de 3 600 personnes par an.

Toutefois, le besoin en logement est bien là mais c’est un besoin en logement abordable. C’est là qu’est l’urgence. Le plan actuel prévoit 45% de logements publics. C’est sans doute le plan le plus ambitieux sur la question du logement social en Région de Bruxelles-Capitale mais cela reste très faible au vu de l’importance de la tâche.

Notre demande : 

  • Prenons le temps de faire un NOUVEAU PAD et s’il faut commencer, développons d’abord le quartier de la gare à l'est des voies ferrées (au nord de la zone industrielle actuelle)
  • Les terrains publics restent publics 
  • 60% des logements sont des logements sociaux

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C’est quoi une enquête publique ?

C’est un moment prévu par la loi durant lequel les pouvoirs publics permettent aux différentes parties prenantes de la société (citoyens individuellement mais aussi en collectif, associations, entreprises, écoles, …) de prendre connaissance d’un projet d’aménagement ou d’une future politique et de donner leur avis sur le projet d’aménagement proposé. Généralement divers documents sont mis à disposition de ceux qui auraient envie de s'intéresser au projet : un résumé non-technique, une sorte de synthèse, un rapport ou une étude d’incidences.

Le BRAL trouve dommage que la participation citoyenne se limite à une enquête publique dans ce dossier important. Nous sommes en faveur d’une vraie co-création en amont du processus, afin d’améliorer les plans. En l'absence de ce type d'initiative, nous comptons sur votre participation pour vous faire entendre ! Nous vous fournissons quelques astuces ci-dessus pour faciliter votre participation à l'enquête publique.

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Participez avant le 25 novembre - Merci !

Vous êtes convaincu que les plans pour la friche Josaphat doivent changer ? Alors faites entendre votre voix ! Vous pouvez participer avant le 25 novembre en envoyant vos arguments et points de vue en spécifiant simplement le cadre :

Des commentaires ? Des suggestions ? Vous pouvez nous contacter via info at bral.brussels.

Perspective expliquera les plans officielles pendant une réunion publique le 26 octobre.

[1] Joscha Beninde, Michael Veith and Axel Hochkirch, “Biodiversity in cities needs space: a meta-analysis of factors determining intra-urban biodiversity variation”, Ecology Letters, (2015) 18: 581–592

Piétons, automobilistes, cyclistes : nous partageons tous la route… ce qui n’est pas sans provoquer certaines tensions ! Convaincus qu’une bonne cohabitation sur la route passe notamment par une meilleure connaissance du code de la route et une meilleure compréhension entre usagers, le GRACQ – Les Cyclistes Quotidiens et Pro Velo s'engagent, à partir du lundi 11 octobre, sur le terrain comme sur la toile. Les différentes actions de sensibilisation s’inscrivent dans le cadre de la campagne automnale « Happy Streets ».

Mieux se comprendre pour mieux cohabiter

À l’instar de nombre de leurs voisins européens, les Belges effectuent une transition sans précédent vers des comportements de mobilité plus durables. Mais dans un espace public encore largement consacré à la voiture, le changement amène son lot d’interrogations : piétons, cyclistes et automobilistes peinent parfois à cohabiter sur la route, au point d’adopter des comportements dangereux ou agressifs.

Premier pilier d’une bonne cohabitation : le code de la route, un langage commun pour comprendre le comportement des autres usagers sur la route et assurer la sécurité de tous.

« Dans nos formations à la conduite en ville, on débute toujours par un rappel théorique. Quel que soit leur mode de déplacement habituel on s’aperçoit que ce sont toujours les mêmes aspects du code de la route qui sont méconnus de nos participants et qui engendrent des situations conflictuelles. »  - Tom Geens, responsable département éducation chez Pro Velo

Sensibilisation sur le terrain et sur la toile

Pas moins de 26 actions portées par les équipes bénévoles du GRACQ prendront place à Bruxelles et en Wallonie, du 11 au 22 octobre 2021. L’objectif : échanger entre usagers dans un esprit positif autour des règles du code de la route parfois méconnues : la zone avancée pour cycliste, la distance latérale de dépassement ou encore le cédez-le-passage cycliste au feu.

> Consulter l’agenda des actions de terrain à Bruxelles et en Wallonie 

Parallèlement aux actions de terrains Pro Velo fait le point sur les ingrédients essentiels à une bonne cohabitation. Que peut-on faire pour mieux se voir et mieux s’entendre ? Sur son site web et ses réseaux sociaux Pro Velo encourage tous les types d’usagers à agir ensemble sur la route pour plus de courtoisie et de sérénité.

Happy Streets - Ensemble sur la route

Nous souhaitons tous nous déplacer de façon sûre et sereine. Durant tout l’automne, Pro Velo et le GRACQ proposeront à l’ensemble des usagers de la route de mener une réflexion positive autour de la cohabitation dans un espace public en mutation, au travers de différentes initiatives : actions de sensibilisation, communication, formations, podcast…

Une campagne à suivre sur les sites et les réseaux sociaux des deux associations :

Contact presse

Photo: Eric Danhier, Visit.Brussels

Juste avant les vacances d'été, la Plateforme interrégionale pour une économie durable avait eu vent de la volonté d’une partie du Gouvernement bruxellois de donner un coup d’accélérateur à la modification partielle du PRAS (Plan régional d’affectation du sol) nécessaire à la réalisation du projet Neo, modification attaquée à trois reprises, et avec succès, par une partie des membres de la Plateforme.

Le point qui devait être discuté au Conseil des Ministres fut finalement retiré en raison de divergences de vues au sein du gouvernement. Ces divergences sont apparues au grand jour dans la presse la semaine dernière, questionnant  la pertinence de poursuivre le développement d’un méga-centre commercial de 72.000 m² dans un contexte cumulé de crise climatique et économique.  Pourquoi la Région bruxelloise gaspillerait-elle encore son énergie à déployer un cadre juridique pour permettre la réalisation d’un centre commercial cannibale ?[1]

Chaque jour nous rappelle pourtant que l'événementiel, le tourisme et le commerce, ont été touchés de plein fouet par la pandémie du Covid-19. Cette perturbation conséquente de notre économie devrait  être vue comme une opportunité pour effectuer des changements durables et  repenser le plateau du Heysel  selon un nouvel équilibre moins prédateur.

Rappelons qu’en cette période d’urgence climatique, le Gouvernement bruxellois travaille d'arrache-pied à une Stratégie Régionale de Transition Economique, inspirée du modèle du Donut, un modèle que pourrait suivre l'aménagement du plateau du Heysel. Mais ce n’est pas la voie qu’une partie du gouvernement souhaite visiblement emprunter en cherchant encore une fois à modifier le PRAS, modification dont le seul intérêt est de permettre la création de 72.000 m² de commerces.  

Depuis sa naissance, la Plateforme se veut un partenaire constructif de la transition économique de la Région bruxelloise. La Plateforme demande qu'un effort commun soit mené pour trouver une lecture du réaménagement du Heysel qui puisse combiner les intérêts des acteurs économiques et ceux des habitants de la Région bruxelloise.

À l’instar des nombreux parlementaires qui ont déjà interpellé le Ministre-Président sur le sujet,  la Plateforme demande une réévaluation de l’ensemble du projet en concertation avec les habitants et les acteurs socio-économiques et exige une plus grande transparence sur les engagements pris, les montants dépensés ou engagés pour un projet dont la valeur globale dépasse le milliard d’euros.

Pour la Plate-forme interrégionale pour une économie durable :

IEB: Claire Scohier, 0473/66 75 05
BRAL: Steyn Van Assche,  0498/132586
BBL: Erik Grietens, 0474/40 63 94
ARAU: Jean-Michel Bleus  02/219 33 45
UNIZO Vlaams-Brabant & Brussel: Anton Van Assche, 0478/44 41 19
CSC: Benoît Dassy   0498/ 51 89 15
UCM : Sophie Heuskin 0494/302631

*La Plateforme interrégionale pour une Economie Durable se compose des organisations suivantes : Bond Beter Leefmilieu (BBL), le Brussels Raad voor het leefmilieu (Bral), Inter-Environnement Bruxelles (IEB), ARAU (Atelier de Recherche et d'Action Urbaines), ACV Regio Halle-Vilvorde, ACV-CSC regio Brussels, Beweging.net Brussel-Halle-Vilvoorde, l’Union des Classes Moyenne Bruxelles (UCM) et Unizo Vlaams-Brabant & Brussels

[1]L’étude de marché qui appuie le développement du centre commercial montre que plus de 50 % de la clientèle viendrait de Bruxelles. Cela impliquerait donc forcément un potentiel de cannibalisation au détriment des centres commerciaux existants notamment ceux du centre-ville. Une enquête qui vient d’être réalisée par Hub Brussels sur Docks Bruxsel montre que l’offre présente à  Docks Bruxsel est à 90 % similaire à celle qui existe ailleurs en Région de Bruxelles-Capitale, en particulier dans le centre-ville - rue Neuve et Porte de Namur. Plutôt que de fournir une offre complémentaire, le centre commercial se révèle surtout un concurrent du centre-ville, ce que confirme une analyse comparée de la typologie des clients - selon l'âge, le statut socioprofessionnel, la composition de ménage - fréquentant ces différents lieux.

 

La proximité des espaces verts et le contact social avec le voisinage sont bénéfiques pour le bien-être mental des Bruxellois. En revanche, la pollution de l’air et les embouteillages provoquent souvent une grande détresse mentale.

Ces résultats ont été présenté pendant le Symposium Santé Urbaine le 19 octobre 2021. La recherche a été menée entre autres par des chercheurs de l’Université d’Anvers, sur le lien entre le bien-être mental des Bruxellois et leur lieu de résidence. Cet article est apparu sur BX1 via Belga. Dans l'Avenir, on pouvait lire que la mortalité liée à la pollution est plus grande dans les quartiers pauvres de Bruxelles, des résultats d'une recherche de Green & Quiet, dont le BRAL est parrain. La vidéo complète du Symposium se trouve sur Youtube. Voici plus d'infos sur le projet NAMED. Voici plus d'infos sur Green & Quiet.

Quel est l’impact du cadre de vie bruxellois (pollution atmosphérique et sonore, environnement bâti et naturel) sur la santé mentale des Bruxellois? C’est à cette question que des scientifiques de l’Université d’Anvers, de Sciensano et de l’Institut de recherche sur la nature et les forêts, entre autres, ont voulu répondre. Pour le projet NAMED (NAture impact on MEntal health Distribution, ndlr.), ils ont combiné une enquête à grande échelle auprès des Bruxellois avec des entretiens sur place pour recueillir les différentes perceptions du cadre de vie et de sa qualité.

« Les personnes qui ont le sentiment de faire partie d’une communauté, qui font l’expérience de la compréhension et du soutien mutuels, se sentent mieux dans leur peau », explique la chercheuse Laura Lauwers pour l’illustrer l’un des principaux constats de l’étude. En outre, le trafic est un facteur déterminant. L’insécurité routière, la mauvaise qualité de l’air et la pollution sonore sont des éléments gênants qui ont un impact négatif.

Les environnements naturels, en revanche, offrent la possibilité d’échapper à l’agitation de la ville. Les entretiens montrent que les Bruxellois y attachent une grande importance. “Les espaces verts créent un équilibre mental. Même des parterres de fleurs ou une fontaine, ont déjà un effet positif“, explique Mme Lauwers. Les recommandations des chercheurs sont claires: impliquer les citoyens dans l’aménagement urbain, donner la priorité aux quartiers défavorisés et, surtout, assurer la sécurité. Les autorités devraient investir dans des infrastructures prévoyant des espaces avec de l’eau et de la verdure, font-ils également savoir. Mais outre l’importance des grands espaces verts, un petit espace vert sécurisé ou social, tel qu’un compost de quartier près du domicile, a également un effet positif, indiquent encore les chercheurs.

Plus d’info sur les projets NAMED et Green & Quiet (dont le BRAL est parrain)

Dans le cadre de la mise en œuvre du plan régional de mobilité Good Move, Bruxelles Mobilité souhaite se faire une idée des habitudes de déplacement et du niveau de satisfaction des usagers par rapport à l'offre de mobilité dans la Région de Bruxelles-Capitale. À cette fin, elle lance une enquête en ligne auprès de tous les résidents et navetteurs de Bruxelles. La participation est ouverte jusqu'au 31 octobre.

Baromètre de la mobilité : donnez votre avis | Bruxelles Mobilité (mobilite-mobiliteit.brussels)

Photo: Stadsbiografie, Bert Boogaerts

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Pour freiner les conséquences du dérèglement climatique et la perte massive de la biodiversité, la Ville de Bruxelles dans le cadre de son Plan Canopée, s’engage à préserver ses espaces verts, à valoriser son patrimoine arboré et à intensifier la plantation d’arbres.

L’arbre en ville, un outil puissant pour préserver notre santé en milieu urbain. Il produit de l’oxygène, absorbe la pollution, rafraichit la ville, sans oublier sa contribution au développement de la biodiversité.

Madame Zoubida Jellab, Echevine des Espaces Verts a le plaisir de vous convier à

LA SEMAINE DE L’ARBRE

Au programme : Plantations d’arbres par le service des Espaces verts, plantations participatives et citoyennes, balades botaniques guidées, conférences*, distribution d’arbustes fruitiers, habillage de Manneken Pis, Folklore du Meyboom, et colloque* avec la présence de Joëlle Zask, professeur de philosophie de l’Université Aix-Marseille, Luc Schuiten, architecte et Bas Smets, architecte paysagiste.

Rejoignez-nous la semaine du 22 au 28 novembre.

Au plaisir de vous rencontrer !

Programme via QR code ou https://www.bruxelles.be/semaine-arbre

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* Inscription et Covid Safe Ticket sont obligatoires pour les activités à l’intérieur de l’Hôtel de Ville

 

Sauvetage de Tour et Taxis, de la brasserie Wielemans Ceuppens ou encore du Familistère Godin. Création d’asbl à vocation sociale et solidaire ou encore d’institutions culturelles de premier plan... Bruxelles doit beaucoup à Guido Vanderhulst (1940 - 2019). Ce lundi 15 novembre, cela faisait tout juste deux ans qu’il nous a quittés. A cette occasion, un collectif d’associations et de personnalités lance une pétition afin de faire reconnaitre l’étendue de son travail et son impact dans le domaine du patrimoine industriel et social bruxellois. L’objectif : faire inscrire le nom de Guido Vanderhulst dans l’espace public. Le lieu pressenti : la passerelle au-dessus du canal reliant Anderlecht à Molenbeek au niveau de la rue de Gosselies.
Plus d’infos et signer est par ici. Lisez notre interview avec Guido dans la publication « Thurn & Taxis ».